Le graffeur Meyso est né en 1991 à Marseille, où il vit encore une partie de l’année, et a fait ses études aux beaux-arts de Marseille-Luminy où il sera diplômé en 2013 ; il a 28 ans.
Artiste de rue parisien - il a grandi à Paris -, sa passion pour le graffiti l’a poussé à voyager à travers le monde notamment en Europe de l’Est et en Amérique Latine. Ces voyages lui ont permis de peindre des nouveaux supports et de découvrir d’autres modes de vie et d’autres culture...

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  Biographie de Meyso

  Le graffeur Meyso est né en 1991 à Marseille, où il vit encore une partie de l’année, et a fait ses études aux beaux-arts de Marseille-Luminy où il sera diplômé en 2013 ; il a 28 ans.
  Artiste de rue parisien - il a grandi à Paris -, sa passion pour le graffiti l’a poussé à voyager à travers le monde notamment en Europe de l’Est et en Amérique Latine. Ces voyages lui ont permis de peindre des nouveaux supports et de découvrir d’autres modes de vie et d’autres culture qui l’inspirent pour développer son travail. Sa vision de la création est en constante transformation et évolution. Du papier à la toile, de la toile au mur, du mur à l’installation et à la sculpture, Meyso est en constante recherche de nouvelles écritures.
  Son travail correspond à sa propre vision et essaie de donner vie à la ville, une machine en constante évolution, révélant les détails et les secrets qui existent entre les murs et le ciel.
  Le jeune artiste a peint de très nombreux murs, notamment en Amérique du Sud et particulièrement au Mexique ; ce pays lui est cher, n’a-t-il pas épousé récemment une mexicaine ! Meyso vient de réaliser ses toutes premières estampes dans le célèbre atelier parisien de lithographie Clot-Bramsen (une véritable institution créée en 1896). Son travail a été présenté une première fois au Salon Art & Art Bas-tille de novembre dernier. Il participera prochainement à une exposition au sein du dit atelier, puis également à la sixième Urban Art Fair organisée à Paris (en octobre 2020) où seront proposées quelques-unes de ses pièces uniques.
  La nouvelle génération apprécie beaucoup son travail, d’aucun y voyant un enchevêtrement urbain, d’autre comme l’expression d’une écologie urbaine, des villes en tant que super-organisme.
  Au cours des dernières décennies, le street-art a largement investi nos rues, comme dans beaucoup de pays. Des villes importantes sont aujourd’hui aussi réputées pour « leurs murs » (Melbourne, Lis-bonne, Buenos Aires, New York, Paris, Los Angeles et bien d‘autres encore). Si cela n’a originelle-ment pas été très bien accueilli, les œuvres font maintenant partie de notre quotidien urbain à tel point qu’ils deviennent, dans certains cas, le résultat de commandes publiques.
  Loin de l’art clandestin, le street-art est devenu un art interactif, fédérateur et démocratique. L’objectif n’est pas d’embellir sans intégrer l’œuvre à un contexte et au vécu des habitants. Le street-art fait écho à la ville, à son histoire, son paysage et son architecture dans un processus d’appropriation de ces œuvres de la part de la population qui vivra avec elles au quotidien.
  Sans doute le street-art permet-il au public de renouer avec l’art contemporain.
  Quelques ouvrages généraux sur le Street Art :
  

  

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