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Timbre de François Boisrond
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). 
Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
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Quelques notes de biographie
François Boisrond est né en 1959 à Boulogne-Billancourt, près de Paris. Il fait ses études à l’Ecole nationale des arts décoratifs de Paris de 1977 à 1980 ; il y rencontre Di Rosa, puis Combas.
En 1981, il fait partie du mouvement de la Figuration libre et figure naturellement dans l’exposition « Finir en beauté » organisée par Bernard Lamarche-Vadel dans son appartement parisien. Ses oeuvres seront également présentées, en 1982, à l’exposition « Ateliers 81-82 » du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. S’inspirant des produits visuels (objets de publicité, affiches, autocollants, jeux vidéo, etc.), s’inspirant du monde de la bande dessinée, François Boisrond peint à l’acrylique des toiles figuratives et énigmatiques, très colorées, aux formes simplifiées souvent cernées de noir. Il représente essentiellement des personnages, parfois emblématiques, dans des situations de la vie quotidienne, mais aussi des paysages urbains, maritimes ou ruraux.
Parallèlement à ce travail, Boisrond réalise des affiches publicitaires ou humanitaires. Depuis les années 90, l’artiste s’intéresse à l’imagerie publique, à celle de la vie quotidienne qui envahit la réalité de chacun. En 1989, François Boisrond participe à l’exposition collective « Nos années 80 » organisée à la Fondation Cartier pour l’Art Contemporain (Jouy-en-Josas). Il présentera son travail dans des expositions personnelles à la galerie Beaubourg (Paris), ainsi qu’à New York et Londres.
François Boisrond vit et travaille à Paris où il enseigne à l’Ecole des beaux-arts.
"Je suis très superstitieux. Par exemple j'utilise toujours le même crayon, le même pinceau, si j'en perds un, je flippe! » - François Boisrond
Les artistes s'affichent
L'art et les artistes s'affichent : manifestes, galeries, musées, expositions personnelles ou collectives. Sur les murs ou dans les vitrines, sages ou rebelles, les affiches préviennent, argumentent, montrent. Certaines ont été composées spécialement par un artiste pour tel ou tel événement, d'autres austères n'ont que la lettre.
Quelques unes ont été créées en technique lithographique, la plupart sont de simples reproductions offset. Nombreux sont ceux qui aiment à collectionner ces rectangles d'art, papier brillant ou papier mat, monochromes ou en jeux de couleurs, de beaucoup de mots ou presque muettes.
Nous sommes heureux aussi de pouvoir saluer, par le biais de cette rubrique, des galeries mythiques comme celles de Denise René, Louis Carré, Claude Bernard, Berheim Jeune, Maeght, Pierre Loeb et d'autres encore.
Catalogue(s) raisonné(s)
Catalogue(s) raisonné(s)
Non réalisé à ce jour. Tous les catalogues raisonnésPiste bibliographique & autres
A lire sur l'artiste :
- « Lisible pour M. », B. Lamarche-Vadel, Ed. Unes, 1983
- « F. Boisrond », H. Obalk, Cat., Musée d'art contemporain, Bordeaux, 1985
- « Sérieux, décontracté », Ed. Marval, 1987
- « Pignon-Ernest - Boisrond », in revue Eighty, n°27, 1989
- « Paris-ci », Ed. Le Dernier Terrain Vague, s.d. (1993)
- « F. Boisrond 1987-89 », H.Obalk, Art Random, Ed. Kyoto Shoin International, 1999
- « Petits rien et presque tout », collectif, Ed. Fondation COPRIM, 2000
- « Il était une fois la figuration libre », P. Piguet, Ed. Adam biro, 2002
- « F. Boisrond », monographie, collectif, Ed. Actes Sud, 2012
- « Oeuvres sur papier », E. Brugerolles, J.M. Bustamante et autres, Ed. ENSBA, 2016
A lire de l'artiste :
- « Propos de F. Boisrond », Hector Obalk (via internet)
- « La chronique de F. Boisrond, sténographe du monde », in journal Le Monde, 07/2016
Site internet :
Aucun site internet dédié à cet artiste.En savoir plus :
Timbre de François Boisrond
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). 
Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
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Au-delà des oeuvres actuellement en stock, il m’a semblé utile de vous donner à voir ou à connaître d’autres oeuvres de l'artiste. Ces pièces, vendues ou retirées de la vente, ont été dans le stock de la galerie dans un passé récent.
Cette rubrique vous permettra de mettre une image sur un titre ou l’inverse, ou tout simplement d’en découvrir un peu plus sur l’oeuvre de l'artiste. Quelle que soit la raison, pour le plaisir des yeux ! Michelle Champetier