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Miguel Kohler-Jan
"Dans notre environnement naturel, la magie est partout et tout se métamorphoses. "
+ Timbre
Timbre de Miguel Kohler-Jan
timbre fictif
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
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+ Son écriture
Document manuscrit
Document en reproduction / Ce document n'est pas à la vente
Quelques notes de biographie
Le peintre français Miguel Kohler-Jan est né à Paris en 1929, d'origine alsacienne du côté de son père et uruguayenne du côté maternel. Après avoir suivi son enseignement au Lycée Louis Le Grand, il fera des études de droit et obtient son diplôme à l'université de la Sorbonne en 1955. C'est à l'issu de ces études qu'il réalise que ses deux véritables passions vont à l'art et à l'Amérique du Sud. Il part pour l'Uruguay et étudie les arts plastiques à Montevideo.
Parallèlement à ses études de l'art, il participe à des travaux archéologiques sur différents sites en Amérique du Sud et approfondit ses connaissances en archéologie dans plusieurs musées de différents pays (Uruguay, Pérou, Panama, Chile et Bolivie). Par ses voyages, il découvre toute la variété des trésors culturels qui vont influencer son oeuvre tout au long de sa carrière artistique. A cette époque, son travail est figuratif, exprimant toutes les facettes de la vie qui l'entoure et bouscule son imagination. Sa première exposition personnelle est organisée à Montevideo en 1964.
Miguel Kohler-Jan prend une place dans le milieu culturel local, s'installant véritablement à Montevideo ; il y occupe rapidement un poste de commissaire des Beaux-Arts dans le Comité gouvernemental de la République d'Uruguay. Il participe à l'organisation d'expositions internationales, notamment en faveur de jeunes artistes français, d'Europe occidentale et des pays de l'Est.
En 1968, l'artiste représentera l'Uruguay à Monaco lors du IVème Grand Prix International d'Art Contemporain de la Principauté ; il y reçoit le Grand Prix. Il devient membre de l'Association Internationale des Arts Plastiques de l'UNESCO.
Miguel Kohler-Jan fait ses débuts en France en 1969, participant au Salon d'Automne ; la Ville de Paris acquiert l'une de ses oeuvres à cette occasion.
L'artiste habite Paris au début des années 70. C'est à cette période où il décide d'abandonner la peinture pour se consacrer à la gravure. L'art Aztèque prend à partir de cette période de plus en plus de place dans sa création. Il est également fasciné par la numérologie et la symbolique qu'elle exprime. Sa plongée dans le monde de la gravure le conduit à maîtriser les jeux de couleurs sur le papier, à graver à l'encre et à créer des combinaisons de xylographies.
Au milieu des années 80, Miguel Kohler-Jan s'installe dans le sud de la France, à Nice. C'est là que commence une nouvelle étape dans sa vie artistique, la création d'oeuvres de sable. Le sable devient « son élément » qu'il utilise pour la gravure ou des compositions uniques. L'artiste fait désormais appel à ce qu'il trouve dans la nature, tout en laissant plus que jamais s'exprimer ses origines uruguayennes.
Au cours de sa carrière artistique, Miguel Kohler-Jan aura exposé ses oeuvres régulièrement en France comme en Uruguay, mais aussi dans de nombreux autres pays, expositions personnelles ou collectives (Portugal, Porto-Rico, Cuba, Japon, Allemagne, Danemark, Brésil, Italie, Suède, Pologne, Norvège, Egypte, Chine, etc), recevant plusieurs distinctions.
Le peintre-graveur Miguel Kohler-Jan est mort à Nice en 2011, il avait 81 ans.
Il y a dans l'oeuvre de Miguel Kohler-Jan une ambiance de féerie et de mystère telle qu'elle doit surgir sous l'éclat oscillant d'un soleil crépusculaire sur les vestiges architecturaux d'un univers fabuleux. Georges Dussaule.
Les artistes s'affichent
L'art et les artistes s'affichent : manifestes, galeries, musées, expositions personnelles ou collectives. Sur les murs ou dans les vitrines, sages ou rebelles, les affiches préviennent, argumentent, montrent. Certaines ont été composées spécialement par un artiste pour tel ou tel événement, d'autres austères n'ont que la lettre.
Quelques unes ont été créées en technique lithographique, la plupart sont de simples reproductions offset. Nombreux sont ceux qui aiment à collectionner ces rectangles d'art, papier brillant ou papier mat, monochromes ou en jeux de couleurs, de beaucoup de mots ou presque muettes.
Nous sommes heureux aussi de pouvoir saluer, par le biais de cette rubrique, des galeries mythiques comme celles de Denise René, Louis Carré, Claude Bernard, Berheim Jeune, Maeght, Pierre Loeb et d'autres encore.
Catalogue(s) raisonné(s)
Catalogue(s) raisonné(s)
Non réalisé à ce jour. Tous les catalogues raisonnésPiste bibliographique & autres
A lire sur l'artiste :
- « Salon d'Automne », Cat. d'exposition collective, Paris, 1969
- « Vingt deux peintures », Cat. Galerie Pernety, Paris, 1975
- « L'arte e il Torchio », Cat. d'exposition collective, Crémone, Italie, 2005
- « Works from the 70s and 80s », Cat. Gallery E. Shchukina, Londres, 2014
A lire de l'artiste :
- Pas d'ouvrage ou de catalogue référencé.
Site internet :
Aucun site internet dédié à cet artiste.En savoir plus :
+ Timbre
Timbre de Miguel Kohler-Jan
timbre fictif
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
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Au-delà des oeuvres actuellement en stock, il m’a semblé utile de vous donner à voir ou à connaître d’autres oeuvres de l'artiste. Ces pièces, vendues ou retirées de la vente, ont été dans le stock de la galerie dans un passé récent.
Cette rubrique vous permettra de mettre une image sur un titre ou l’inverse, ou tout simplement d’en découvrir un peu plus sur l’oeuvre de l'artiste. Quelle que soit la raison, pour le plaisir des yeux ! Michelle Champetier
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