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Timbre de Pierre-Yves Le Duc
timbre fictif
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). 
Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
Découvrir tous les timbresQuelques notes de biographie
Pierre-Yves Le Duc est né en France en 1964. Ses origines italiennes le conduisent à fréquenter les cours d’italien de la Faculté des Lettres de la Sorbonne, où il obtiendra une Maîtrise en 1988. Déjà conquis par la ville de Naples lors de précédents voyages, il décide de s’y installer cette même année après avoir obtenu une bourse d’études universitaires.
Les toutes premières années seront vécues sous le signe de la confrontation – lieux de vie et personnes, ombres et traces de témoignages et présences séculaires – et de la découverte en général des richesses de la cité parthénopéenne. Là, il fréquente assidument le milieu artistique tout en maintenant le contact avec les autres centres culturels importants.
En 1989 il réalise ses premiers travaux. Mais ce n’est qu’en 1992, rencontrant Alfredo Bovio di Giovanni - 85 ans - qu’il décide de se consacrer définitivement à l’art. Mis à part l’amitié profonde qui les uniera jusqu’à la mort d’Alfredo (1995) il tirera notamment profit de cette rencontre en acquérant un sens profond de sa propre individualité à travers la recherche artistique. Le tournant des années 93-94 est marqué par une fracture où l’œuvre structure l’espace et provoque un dialogue dynamique. Dans ses installations complexes où le lieu est indissociable de l’œuvre qui s’y développe, la distance entre espace et œuvre se réduit à un point de rencontre inéluctable et nécessaire.
En mai 1994 c’est l’heure de la première confrontation avec le public. Il choisit la place de S. Domenico Maggiore pour installer son “cénacle” - treize toiles représentant chacune un vagin géant (180x180 cm) placées de façon circulaire autour du totem phallique de l’obélisque baroque. Recherche qu’il poursuit en mai 1995 avec d’immenses détails anatomiques de pénétrations (18 toiles 188x388 cm) dans une parfaite ambivalence du signe avec une éruption volcanique. Les “neuf muses et les neufs poètes” prévus pour l’hémicycle monumental de la place du Plébiscite seront l’objet d’une censure politique.
En décembre 1996 il descend dans les tréfonds de l’acqueduc gréco-romain et y installe un travail intitulé “les quarante voleurs”, 41 monolithes disposés en labyrinthe figurant autant de vagins, à la fois synthèses du corps féminin comme expression de la vanité enserrée dans les bras de la mort que représente le filigrane d’un squelette.
En décembre 1998 avec “médium” au Lazzareto de Naples - le plus complexe et le plus abouti de ses travaux - il se lance dans un type d’installation qui voit la parfaite fusion et intelligence de l’œuvre dans l’espace.
En février 2004, il présente l’installation “gu” dans le Grand Salon de la Méridienne du Musée archéologique de Naples.
Depuis lors, parallèlement à d’autres travaux (la vidéo-installation « osso-buco », la sculpture-performance « Rosarno, desperate houses lives » réalisés à la Kaplan’s project gallery de Naples, et l’installation «bonificarsi, please !» exposée au PAN de Naples, il travaille à « spray » et « dédordements », ainsi qu’aux vidéo-installations « cosmic whore », imaginée pour un espace post-industriel, et « motion painting », vidéo-intallations où la lumière est au centre de sa recherche. En 2008 il présente « Soap Opera » à la Changing Role Gallery et « Motion Painting Project» dans la galerie 41artecontemporanea de Turin puis en 2010 à Naples où est présenté le cycle complet de Soap Opera. Enfin, il expose « erotoritratti » (erotic selfportraits), d’abord dans le Palais Royal de Portici, puis dans la Kaplan’s project de Naples. En 2012 il inaugure l’expo personnelle « Sacred portal », autour du thème de l’érotisme, dans la Bill Lowe Gallery de Atlanta.
Que l'oeuvre d'art soit politique, éthique, théorique ou intime, il est de la responsabilité de l'artiste de s'interroger sur ces aspects, sans quoi l'objet de ses recherches est sans fondement, purement esthétique et formel. P-Y Le Duc
Les artistes s'affichent
L'art et les artistes s'affichent : manifestes, galeries, musées, expositions personnelles ou collectives. Sur les murs ou dans les vitrines, sages ou rebelles, les affiches préviennent, argumentent, montrent. Certaines ont été composées spécialement par un artiste pour tel ou tel événement, d'autres austères n'ont que la lettre.
Quelques unes ont été créées en technique lithographique, la plupart sont de simples reproductions offset. Nombreux sont ceux qui aiment à collectionner ces rectangles d'art, papier brillant ou papier mat, monochromes ou en jeux de couleurs, de beaucoup de mots ou presque muettes.
Nous sommes heureux aussi de pouvoir saluer, par le biais de cette rubrique, des galeries mythiques comme celles de Denise René, Louis Carré, Claude Bernard, Berheim Jeune, Maeght, Pierre Loeb et d'autres encore.
Catalogue(s) raisonné(s)
Catalogue(s) raisonné(s)
Non réalisé à ce jour. Tous les catalogues raisonnésPiste bibliographique & autres
A lire sur l'artiste :
- « Gu », John Giorno et autres, Musée Archéologique National, Naples, 2004
- « Soap opera », in Changing role-Move over Gallery/Paper Gallery, n°3, 2004-2005
- « Le Duc », M. di Mauro, La gionave arte in Campania, Ed. Guida, Naples, 2007
- « Corvino+Multari », in revue OFX, Intern. Magazine of Architecture, Milan, 2008
A lire de l'artiste :
- « Nowhere no war », Maria Roccasalva, Ed. Tullio Pironti, Naples, 2005
Site internet :
www.pierreyvesleduc.comEn savoir plus :
Timbre de Pierre-Yves Le Duc
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). 
Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
Découvrir tous les timbresVoir & découvrir
Au-delà des oeuvres actuellement en stock, il m’a semblé utile de vous donner à voir ou à connaître d’autres oeuvres de l'artiste. Ces pièces, vendues ou retirées de la vente, ont été dans le stock de la galerie dans un passé récent.
Cette rubrique vous permettra de mettre une image sur un titre ou l’inverse, ou tout simplement d’en découvrir un peu plus sur l’oeuvre de l'artiste. Quelle que soit la raison, pour le plaisir des yeux ! Michelle Champetier