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Catalogues raisonnés

  2. Catalogues raisonnés

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Nos catalogues raisonnés

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Comme souvent dans le métier de galeriste, les catalogues raisonnés sont des ouvrages incontournables dans le monde de l’estampe. Ouvrages de références absolus sur chaque artiste, pour une période donnée ou pour l’ensemble de la création du dit artiste, ils tiennent la meilleure place dans la bibliothèque du passionné ou du collectionneur de tel ou tel artiste. Le catalogue raisonné a pour but de répertorier les œuvres d’un artiste en indiquant leur titre, les formats, la qualité du support, la technique utilisée de chaque œuvre. Dans le domaine de l’estampe, on trouvera également le tirage et la numérotation, l’éditeur de l’œuvre et, souvent, l’atelier d’imprimerie. Le catalogue raisonné permettra de situer l’estampe dans le parcours de son créateur, d’en mesurer l’importance, d’éviter . . . les « faux » (une planche qui ne peut être signée par exemple, parmi une multitude d’autres exemples). Le catalogue raisonné doit être le plus exhaustif possible, ce qui oblige souvent leur auteur à publier un ou plusieurs suppléments. De même, pour certains artistes pourtant universellement reconnus, de tels ouvrages sont incomplets ou n’ont simplement pas encore été réalisés à ce jour ; dans ces deux cas, on peut parfois se référer à des catalogues d’expositions importantes lorsqu’ils sont abondamment illustrés. Vous trouverez, ci-dessous, la liste complète, et en constante évolution, des catalogues raisonnés actuellement présents dans la bibliothèque de notre galerie une documentation bâtie sur de nombreuses années, 612 références que nous mettons à votre service. Ces ouvrages ne sont pas à la vente.
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Liste des cataloguespar artiste

Lorsque le catalogue raisonné d’un artiste comporte plusieurs volumes, nous avons parfois choisi de ne montrer qu’une seule des couvertures. De même, nous avons fait le choix de mettre en avant les ouvrages plus spécifiquement liés au monde de l’estampe.

  • A
    Adam Henri-Georges
    "Les sculptures", par I. Jianou, in "Adam", Ed. Arted, Paris, 1968

    Catalogue raisonné - Henri-Georges Adam

    "Les sculptures",
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    Le livre « Adam » par Waldemar George et Ionel Jianou a été publié en 1968 par Arted, Editions d’Art à Paris. Après divers témoignages rendus à Adam et une étude sur la vie et l’œuvre de l’artiste, l’ouvrage propose, par I. Jianou, le catalogue raisonné des sculptures d’Henri Georges Adam. L’auteur répertorie 170 références, dont 17 maquettes : bois, bronze, plâtre, pierre, béton, acier, terre chamotée, plaque de cuivre découpée, marbre, granit. Les références 171 à 182 concernent les médailles réalisées par l’artiste. Les préoccupations d’Adam ont porté sur trois voies principales : la création de nouveaux rapports entre la sculpture et l’architecture, la réalisation de grands ensembles monumentaux en plein air, la mutation des formes organiques en valeurs plastiques.
    "L’oeuvre gravé", par B. Gheerbrant, Ed. La Hune, 1957

    Catalogue raisonné - Henri-Georges Adam

    "L’oeuvre gravé",
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    Sculpture, gravure, tapisserie ; la première exposition de ces trois aspects de l’art d’Adam fut organisée à la Galerie Maeght (Paris) en 1949. Etabli et publié (en 1957) par Bernard Gheerbrant et les Editions La Hune, le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Henri-Georges Adam répertorie 83 œuvres imprimées (gravures), entre 1939 et 1957. Il est la référence pour l’artiste en ce domaine, y compris pour les œuvres réalisées dans le cadre du livre illustré (« Les Chimères » de Gérard de Nerval) ou exécutées dans le cadre d’une série formant un tout (« Dalles, sable et eau », 1956-1957). Sa technique de graveur lui est propre : il reste fidèle à la matière, le cuivre rouge, qu’il découpe la plupart du temps pour dégager la forme, et à l’outil, le burin. Les surfaces sont couvertes de longues tailles rigoureusement parallèles que viennent recouper d’autres tailles témoignant d’une patience et d’une force peu communes. Adam a définitivement libéré la gravure du cadre conventionnel de la cuvette rectangulaire et a lancé dans l’espace blanc de la feuille les formes dynamiques de son temps.
    Adnan Etel
    "Les estampes/The prints 2014 - 2021", Ed. Galerie Lelong & Co, 2023.

    Catalogue raisonné - Etel Adnan

    "Les estampes/The prints 2014 - 2021",
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    Le catalogue raisonné des gravures d’Etel Adnan, « Les estampes/The prints »,  regroupe les œuvres de l’artiste réalisées entre 2014 et 2021. L’ouvrage a été édité par la Galerie Lelong à Paris en 2023. Introduit par un texte de l’artiste en français (traduit en anglais), l’artiste explique le plaisir qu’elle a pris de travailler avec la Galerie Lelong et la découverte du procédé de l’eau forte qui l’a séduit. On y retrouve une centaine de gravures classées par ordre chronologique où sont représentés ses thèmes de prédilections : des compotiers au tracé « matissien », le fameux mont Tamalpaïs qu’elle a célébré toute sa vie, les encriers et pots de couleurs, les paysages abstraits aux couleurs douces qui sont le cœur de son œuvre peinte, jusqu’aux compositions d’une géométrie libre et sensible. Enfin, pour plusieurs de ses poèmes publiés par la Galerie Lelong, Etel Adnan a réalisé une petite gravure qui accompagne l’édition de tête sous emboîtage, ce sont « L’apocalypse arabe », « L’Express Beyrouth- Enfer », « Je suis un volcan », et « Fil du temps ». De certaines gravures en noir et blanc, Etel Adnan a réalisé des variantes aquarellées de sa main.
    Afonso Nadir
    "Obra Gravada",
    Aillaud Gilles
    "Le serval et la tortue", Catalogue raisonné de l’œuvre gravé, Lanna Andréadis, texte de Jean Christophe Bailly, Ed. Métamorphoses, 2023.

    Catalogue raisonné - Gilles Aillaud

    "Le serval et la tortue",
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    L’ouvrage « Gilles Aillaud - Le serval et la tortue » constitue le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de l’artiste. Etabli par Lanna Andréadis, il est enrichi d’un texte de Jean Christophe Bailly et a été publié en 2023 (tiré à 800 exemplaires) pour la librairie Métamorphoses à Paris. Cet ouvrage présente l’intégralité des estampes de Gilles Aillaud, les lithographies, les sérigraphies, les livres illustrés, les estampes individuelles et celles qui font partie d’ouvrages ; l’autrice décrit également les affiches originales imprimées en lithographie. L’ensemble des œuvres répertoriées ont été réalisées entre 1965 et 2000 et la numérotation du présent catalogue correspond à l’ordre chronologique des œuvres.
    A partir de 1978, année de sa rencontre avec Franck Bordas, la lithographie prend une place prépondérante dans le travail de Gilles Aillaud, il dessinera sur les pierres lithographiques de l’Atelier Bordas régulièrement pendant vingt-deux ans, il y rencontra d’ailleurs Lanna Andréadis en 1986.

    Alberola Jean-Michel
    "L'oeuvre imprimée", C. Chicha-Castex et M.-C. Miessner, Ed. Ereme/BNF, Paris, 2009

    Catalogue raisonné - Jean-Michel Alberola

    "L'oeuvre imprimée",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Jean-Michel Alberola, "L'oeuvre imprimée", a été établi par  Céline Chicha-Castex et Marie-Cécile Miessner et publié par les Editions Ereme et la Bibliothèque nationale de France à l'occasion d'une exposition organisée à la BNF. On y découvre 363 références de l'artiste, oeuvres imprimées réalisées entre 1983 et 2009, soit pour 27 années de création graphique. L'artiste a utilisé un large panel des techniques liées à l'estampe : lithographies, phototypies, gravures et sérigraphies. Comme dans ses dessins et sa peinture, on y trouve des thèmes récurrents, qui font souvent référence à l'art ancien. Plus largement, Jean-Michel Alberola s'intéresse à toute forme d'image imprimée : il crée en particulier, au moyen de techniques d'impression photomécanique, des illustrations qu'il insère dans ses livre d'artiste. Jean-Michel Alberola réunit dans son oeuvre figuration, abstraction et conceptualisme. Il travaille par associations d'idées et métaphores, donnant naissance à des espaces imaginaires. Cette oeuvre singulière intègre l'écrit à l'image, sous forme de slogans ou d'injonctions, comme le faisaient les surréalistes.

    Albers Josef
    "The prints 1915-1976 - Revised edition", Brenda Danilowitz, Hudson Hills Press, New York / J. and A. Albers Foundation Publishers, 2010.

    Catalogue raisonné - Josef Albers

    "The prints 1915-1976 - Revised edition",
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    Le catalogue raisonné, dans son édition révisée, montre et décrit les 350 estampes de Josef Albers (1888-1976). il contient un total de 512 illustrations dont 311 en couleurs. La présente édition révisée comprend 13 nouvelles estampes cataloguées, un essai introductif actualisé intégrant les nouvelles connaissances sur l'artiste et son oeuvre, une bibliographie et une liste d'expositions mises à jour. La publication coïncide avec la célébration du 90e anniversaire de l'école et du mouvement Bauhaus, dont Josef Albers était une figure majeure. Une importante exposition sur le Bauhaus a été organisée au MoMA de New York en novembre 2009. Comme l'écrit l'auteur Brenda Danilowitz, les processus de création et la passion pour la gravure ont réalisé bon nombre des rêves les plus nobles d'Albers. Il appréciait son détachement implicite : la façon dont le médium éloignait sa main au moins d'une étape du résultat final. Il appréciait les possibilités de texture offertes et chérissait la multitude de couleurs disponibles à l'encre, une gamme qu'il disait souvent être bien plus étendue que celle de la peinture. Ce catalogue raisonné révisé apporte des ajouts importants à l'enregistrement des grandes réalisations de Josef Albers dans le domaine de l'impression.

    "The prints, 1915-1976", par B. Danilowitz, Ed. Hudson Hills Press, New York, 2001

    Catalogue raisonné - Josef Albers

    "The prints, 1915-1976",
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    Le Catalogue Raisonné des estampes de Josef Albers, « The prints of J. Albers. 1915-1976 », a été établi par Brenda Danilowitz - conservatrice de la Fondation Josef et Anni Albers - et publié par les Editions Ed. Hudson Hills Press (New York) en 2001. L’œuvre graphique de l’artiste peut se diviser en 3 périodes distinctes. La première, très brève mais productive, se tiendra entre 1915 et 1918, lorsque l’artiste étudiera les techniques de l’estampe à Essen et réalisera des gravures sur linoléum et des lithographies. La seconde, entre 1935 et 1950, correspond à la fin du Bauhaus et aux années passées au Black Mountain College, voit l’artiste réaliser essentiellement des bois gravés, des pointes-sèches et des gravures au burin. La troisième, de 1958 jusqu’au décès de l’artiste (1976), sera celle des portfolios, et autres suites de sérigraphies ou de lithographies, de gaufrages, qui rendirent célèbre Josef Albers et qui incluent « Homage to the square », « White Line Squares », « Embossed Linear Constructions » et « Mitered Squares ».
    Albers Anni
    "The Prints - A catalogue raisonné 1963-1984", Brenda Danolowitz, Ed. The Josef and Anni Albers Foudation, Bethany (USA) et Editorial RM, Mexico City-Barcelone

    Catalogue raisonné - Anni Albers

    "The Prints - A catalogue raisonné 1963-1984",
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    Le catalogue raisonné des estampes d'Anni Albers (1899-1994), épouse de Josef Albers, a été établi par Brenda Danolowitz, et publié, en 2009, par la Fondation Josef and Anni Albers de Bethany (USA) et par Editorial RM, Mexico City-Barcelone. Artiste américaine d'origine allemande, elle a participé au mouvement du Bauhaus - où elle rencontra son futur mari - et a enseigné au Black Mountin College. Passée maître dans l'art du tissage et de la conception textile, elle s'est imposée comme la plus grande artiste du XXe siècle dans cet art, concevant des pièces uniques abstraites particulièrement ambitieuses. Ses premières estampes ont été réalisées en 1963 à l'Institut de Tamarin ; la grande majorité des ses estampes seront des lithographies et des sérigraphies. L'auteur du présent catalogue raisonné répertorie 95 références sur cette période de 12 années de création graphique, ainsi qu'un ensemble de lithographies qui n'ont pas été publiées, en fin d'ouvrage. Le catalogue, qui s'ouvre sur un très long texte de Nicholas Fox Weber (« Anni Albers as a Printmaker », est clos sur des annexes classiques (biographie et bibliographie).

    Alechinsky Pierre
    "Les affiches", par F. Charron, Ed. Ides et Calendes (Neuchâtel), 2007

    Catalogue raisonné - Pierre Alechinsky

    "Les affiches",
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    Le catalogue raisonné des affiches de Pierre Alechinsky a été publié, en 2007, par les Editions Ides et Calendes (Neuchâtel). Etabli par Frédéric Charron, l'auteur y répertorie 165 affiches pour une période de plus de 50 ans, de 1949 à 2006 ; on y suivra, pas à pas, l'évolution de l'expression picturale de l'artiste, des premières affiche Cobra jusqu'aux affiches les plus récentes, d'une première affiche réalisée pour le 2ème Festival international du Film de Knokke, jusqu'à l'affiche conçue pour l'exposition de l'artiste à la Maison René Char de l'Isle sur la Sorgue. Le plus souvent imaginées pour ses propres expositions, elles peuvent l'avoir été pour des manifestations collectives artistiques ou traitant d'autres sujets, pour des publications, pour des éditeurs ou des libraires, pour d'autres artistes (par exemple Dotremont en 1982 ou Jorn en 1988).
    "Les estampes de 1946 à 1972", par Yves Rivière, Ed. Y. Rivière, 1973

    Catalogue raisonné - Pierre Alechinsky

    "Les estampes de 1946 à 1972",
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    Etabli et publié par Yves Rivière, le premier catalogue raisonné des estampes de Pierre Alechinky répertorie 601 œuvres imprimées entre 1946 et 1972. Il est la référence dans ce domaine pour la période couverte. On y découvre les linogravures, bois, gravures (pointes-sèches et eaux-fortes), les lithographies, le travail sur l’affiche et les œuvres réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille à tirage limité sur plus d’un quart de siècle de création graphique de l’artiste. S’ouvrant sur les 5 linogravures d’étudiant de 1946 illustrant « Les Fables d’Esope », l’ouvrage nous montre par phases successives le cheminement créatif de l’artiste : travaux d’élève à Bruxelles, période Cobra dans cette même ville, travaux à l’atelier 17 de Stanley William Hayter qui sera suivie d’une interruption de plusieurs années (1954-1959). Paris. Turin, puis Paris. La Bosse, Paris et Milan. Les années 60 qui voient l’artiste réinvestir la pierre lithographique et le cuivre. Un style personnel qui s’affirme et s’affine peu à peu.
    "The complete books", Ed. Ceuleers and Van de Velde, 2002

    Catalogue raisonné - Pierre Alechinsky

    "The complete books",
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    Publié en plusieurs langues, et par les Ed. Ceuleers & Van de Velde en langue anglaise en 2002, le Catalogue « Raisonnable » des « livres » de Pierre Alechinsky répertorie pas moins de 553 références. On y voit l’attachement de l’artiste à la chose écrite : livres certes - textes, poésie-, mais journaux, revues, plaquettes, manifestes, etc. Consacrée à la peinture, à l’estampe, la vie de Pierre Alechinsky aura également été consacrée au « livre ». On sait que peu d’artistes ont une connaissance aussi fine du livre que Pierre Alechinsky et l’on a souvent dit que peu de peintres ont autant de plaisir à se rendre à l’imprimerie, livres et estampes encore. Gérard Macé écrit : « Alechinsky est un lecteur actif, mais ce qu’il ajoute entre les lignes, ou dans les marges, n’est pas forcement de l’ordre du commentaire ». Les éditeurs (Maeght, Pierre-André Benoit, Y. Rivière ou Fata Morgana, etc.), comme les auteurs (C. Dotremont, Mansour, Butor, Tardieu, Cioran et tant d’autres), accompagnent l’artiste avec bonheur.
    Alligand Bernard
    "L'oeuvre gravé, 1985-2004", Jean-Pierre Geay, Editions Atelier du Mot, 2005

    Catalogue raisonné - Bernard Alligand

    "L'oeuvre gravé, 1985-2004",
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    Le catalogue raisonné des estampes et livres de bibliophilie de Bernard Alligand, « L'oeuvre gravé », a été établi par Jean-Pierre Geay et l'artiste. L'ouvrage a été publié en 2005 par les Editions Atelier du Mot. L'auteur répertorie les références de 130 estampes et de 12 ouvrages de bibliophilie réalisés en collaboration avec des poètes (Jean-Pierre Geay pour 11 d'entre eux et Gaston Puel). Etalée sur bientôt presque vingt années de création graphique, l'oeuvre gravé de Bernard Alligand peut être classé en quatre grandes périodes : la période préliminaire (1985-1988 et la recherche des premières solutions techniques), la période de Vence (1989-1992 et sa liaison avec les éditions Vision Nouvelle), la période parisienne (1993-1997 ou l'émancipation et le défi d'indépendance), les oeuvres récentes (1998-2004 et l'intimité complice). La presque totalité des estampes, individuelles, en séries ou réalisées dans le domaine du livre, a été exécutée dans la technique de la gravure au carborundum, chère à l'artiste depuis ses débuts et la rencontre de Henri Goetz. Bernard Alligand y a très tôt apporté sa sensibilité propre et son regard. Cette technique vient régulièrement se marier avec les techniques de la linogravure et du pochoir. Artiste prolixe, Alligand a, depuis 2004, édité de nombreuses nouvelles estampes et plusieurs livres d'artiste.
    "L'oeuvre gravé, 2005-2017", Jean-Pierre Geay, Editions Ville de Nice, 2019

    Catalogue raisonné - Bernard Alligand

    "L'oeuvre gravé, 2005-2017",
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    Le second volume du catalogue raisonné des estampes de Bernard Alligand, « L'oeuvre gravé, 2005-2017 », a été établi par Jean-Pierre Geay - également auteur d'un texte d'introduction (« L'incertain tremblement des lisières ») et l'artiste. L'ouvrage a été publié en 2019 par les Editions de la Ville de Nice à l'occasion de l'exposition de l'artiste, « Bernard Alligand, l'oeuvre gravé - Rétrospective », à la Bibliothèque Louis Nucéra deNice. Après une préface de Raphaël Monticelli (« L'art du déplacement »), l'auteur répertorie les références de 70 estampes (de n°155 à 224). Etalée sur une période de douze années de création graphique, la presque totalité des estampes a été exécutée par l'artiste dans la technique de la gravure au carborundum, chère à l'artiste depuis ses débuts et la rencontre de Henri Goetz. Bernard Alligand y a très tôt apporté sa sensibilité propre et son regard. Cette technique vient régulièrement se marier avec les techniques de la linogravure et du pochoir. On notera que Bernard Alligand a également réalisé un très bel ensemble d'aquagravures. Artiste prolixe, Alligand a, depuis 2005, édité plusieurs livres d'artiste.
    Le catalogue raisonné ce referme après la liste des titres œuvres, une biographie sommaire et la liste des expositions de l'artiste.
    Amiet Cuno
    "Vollständiges Verzeichnis der Druckgraphik des Künstler", Professeur C. v. Mandach, Schweizerische Graphische Gesellschaft, 1939

    Catalogue raisonné - Cuno Amiet

    "Vollständiges Verzeichnis der Druckgraphik des Künstler",
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    S'inspirant de la vie de Paul Gauguin, le peintre suisse Cuno Amiet passe une année à Pont-Aven en 1892, où il rencontre les disciples du maître et découvre les œuvres de Vincent Van Gogh ; il y rencontre Armand Seguin, qui l’initie à la gravure. Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique complet de Cuno Amiet (en langue allemande), « Vollständiges Verzeichnis der Druckgraphik des Künstler », a été publié en 1939 par le fond national suisse « Schweizerische Graphische Gesellschaft » en collaboration avec W. Krebser & Co (Thun) et Herbert Lang & Cie (Berne). L'auteur, Professeur C. v. Mandach, y répertorie - dans quatre différentes sections – 129 estampes sur une période de 46 années de création (1893- 1939) : les gravures (Radierungen), les bois gravés (Holzschnitte), les lithographies (Lithographien) et les affiches (Plakate). Il s'agit d'un catalogue raisonné très rare, publié à seulement 385 exemplaires, tous signés par l'auteur et l'artiste, et enrichis par une lithographie de 1938 signée au crayon par Cuno Amiet. Après une introduction de C. v. Mandach, le catalogue raisonné proprement dit s'ouvre sur le chapitre réservé aux 17 (n° 1 à 17) gravures réalisées entre 1893 et 1925. Le second chapitre est consacré aux 22 bois gravés réalisés entre 1903 et 1922 - y compris les 12 ex-libris (tous gravé en 1903) -. La description des 72 lithographies réalisées sur plus de trois décennies - entre 1895 et 1932 - constitue le troisième chapitre (n° 38 à 109), celle des 18 affiches ou affichettes originales de l'artiste formant le dernier chapitre (n° 110 à 129).
    Antes Horst
    "Lithographien", par Bernd Lutze, Ed. Office du Libre, Fribourg, et Belser, Stuttgart, 1976

    Catalogue raisonné - Horst Antes

    "Lithographien",
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     Le catalogue raisonné des lithographies de Horst Antes a été établi par Bernd Lutze et publié par les Editions Belser en 1976. L'ouvrage s'ouvre sur une préface de Klaus Gallwitz. Les textes sont en allemand, français et anglais. Trois  lithographies originales, à pleine page, ont été créées spécialement pour cet ouvrage (« Figur mit Zaun », « Kopf » et « Grune Stilleben » - Lutze n°768, 769 et 771). L'auteur, B. Lutze, répertorie ici 784 estampes de l'artiste pour une période de 20 ans de création graphique sur la pierre (entre 1957 et 1976). On notera que l'auteur a comptabilisé les affiches lithographiques dans son étude. Si l'artiste n'a pratiquement pas touché à la gravure sur bois et si l'eau-forte occupe une place restreinte dans son oeuvre graphique, la lithographie et les techniques apparentées (offset) se retrouvent à tous les tournants de son évolution ; les lithographies de Horst Antes ont partie liée avec sa peinture de même qu'avec ses oeuvres plastiques. Elles tiennent une place de choix dans ses livres, dans les catalogues, dans les planches isolées et les couvertures. Imprimer, dessiner, estampiller, illustrer, publier, autant de jalons d'une activité graphique féconde et complexe. L'ouvrage se termine sur une bibliographie sommaire. On notera qu'il existe un catalogue raisonné pour l'oeuvre graphique de l'artiste :  « Das graphische Werk 1959 bis 1967 » établi par Günther Gercken et publié (en langue allemande) en 1967 à l'occasion d'une exposition des estampes de l'artiste a u Staatliche Kunsthalle de Baden-Baden.
    Appel Karel
    "The complete sculptures 1936-1990",
    Arman
    "Les estampes", par M. Moreau & J.Otmezguine, Ed. Marval, 1990

    Catalogue raisonné - Arman

    "Les estampes",
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    En bilingue français-anglais, le catalogue raisonné des estampes d’Arman, établi en collaboration par Jane Otmezguine et Marc Moreau, a été publié en 1990 par les Editions Marval à Paris. Ce travail de référence sur l’artiste des Nouveaux réalistes dans le domaine de l’art graphique porte sur une période de 30 ans de création, de 1960 à 1990. Les auteurs répertorient 284 références d’œuvres imprimées sur papier, dont de nombreuses avec variantes : lithographies, sérigraphies, gravures (pointes-sèches, eaux-fortes, gaufrages), photogravures, etc. En fin d’ouvrage, sont répertoriées les œuvres réalisées par Arman dans le cadre de la bibliophilie (albums, portefeuilles, livres illustrés, livres-objets, etc.), domaine d’expression qui passionna l’artiste. Arman n’a jamais prétendu être lithographe, graveur ou sérigraphe, il a toujours insisté avant tout sur la qualité du plaisir éprouvé à la création. Lorsque Arman parlait de ses estampes, c’était pour souligner leur abondance qui revêt un caractère « orgiaque », comme une fête solennelle et excessive. On retrouve dans ce domaine, comme dans ses autres modes d’expressions, les thèmes récurrents de l’artiste : les accumulations, les violons, les colères, les empreintes.
    "Multiples - Musique", Vol. 1, Denyse Durand-Ruel, Fondation A.R.M.A.N., Genève, Suisse, 2015

    Catalogue raisonné - Arman

    "Multiples - Musique",
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    Le premier volume, bilingue (français-anglais), du catalogue raisonné des multiples d'Arman, qui en comptera 3, est consacré aux multiples créés par l'artiste avec des instruments de musique. Etabli par Denyse Durand-Ruel, il a été publié par la Fondation A.R.M.A.N. de Genève en 2015. Les volumes 2 et 3, dont la publication est prévue ultérieurement, seront eux dédiés aux multiples créés avec des objets du quotidien et à ceux crées à partir de la statutaire seule. On notera que tous les multiples appartenant à ce qu'Arman appelait « Art appliqué » (bijou, meuble, ameublement, art de la table, etc) feront l'objet d'un catalogue à part. 108 multiples sont référencés dans ce présent volume pour une période de plus de 35 années de création, entre 1968 et 2005. La courte introduction de l'auteur est suivi d'une préface de Marc Moreau, puis d'un « Glossaire des principaux gestes et techniques propres à Arman » (Accumulation, allure d'objets, cachet, colère, combustion, coupe, empreinte, poubelle).
    Arp Hans
    "Das Graphische Werk 1912-1966", Wilhelm F. Arntz, Verlag Gertrud Arntz-Winter, Stuttgart, 1980

    Catalogue raisonné - Hans Arp

    "Das Graphische Werk 1912-1966",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Hans (Jean) Arp, Das Graphische Werk 1912-1966, a été établi par Wilhelm F. Arntz et publié - en langue allemande - par Verlag Gertrud Arntz-Winter en1980. Sur une période de plus d'un demi siècle, l'auteur récence à la fois les estampes originales et d'interprétation de l'artiste ; si les différentes techniques d'estampes sont réunies par chapitres, on notera que les oeuvres d'interprétation ont été séparées des oeuvres originales : les bois gravés et linogravures, les bois gravés d'interprétation réalisés par Karl Schmid, les estampes réalisées pour des ouvrages collectifs, les lithographies, les gravures, les gravures d'interprétation réalisées par Jean Signovert d'après des collages originaux de Jean Arp. Le présent catalogue rassemble pas moins de 426 références. En ouverture de l'ouvrage, l'auteur présente et décrit de manière précise toutes les parutions et autres publications qui l'aidèrent à établir cet ouvrage qui fait à ce jour référence ; il s'agit en fait, sur une vingtaine de pages, d'une très importante bibliographie consacrée à l'artiste sur tous aspects de sa création : écrits, prose poétique, sculpture, peinture, oeuvre graphique, livres illustrés (Arp a illustré Benjamin Péret, Tristan Tzara et d'autres encore). Le catalogue raisonné proprement dit s'ouvre par un bois gravé originale, un autoportrait, réalisé en 1912, oeuvre de facture expressionniste. On y suivra, pas à pas, l'évolution du travail de Hans (Jean) Arp qui participa en 1916 à la fondation du mouvement Dada, avant d'être membre très actif au sein des surréalistes.
    Arroyo Eduardo
    "Obra grafica I et II - Suite Senefelder and Co.", Ed. IVAM Centre Julio Gonzales et Musée des Beaux-Arts de Bilbao, 1989 et 1996

    Catalogue raisonné - Eduardo Arroyo

    "Obra grafica I et II - Suite Senefelder and Co.",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique d'Eduardo Arroyo est constitué de trois volumes. « Obra grafica I », le premier volume publié par l'IVAM Centre Julio Gonzales en 1989, « Obra grafica II, 1989-1996 » et « Suite Senefelder and Co. », deux volumes publiés par le Musée des Beaux-Arts de Bilbao en 1996. L'oeuvre graphique de l'artiste est constitué des techniques appartenant au champ traditionnel de l'estampe : Lithographie, sérigraphie, gravure (eau-forte et aquatinte), linogravure, estampes en technique mixte. Le catalogue raisonné répertorie les estampes isolées et les estampes réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portfolio. L'oeuvre graphique d'Eduardo Arroyo développe les même thèmes que ceux sur lesquels se penche sa peinture ; en grande interrelation, on peut y suivre au fil du temps les même ruptures et les même évolutions. Si l'artiste, un maître en matière de lithographie, aime la sensualité de la pierre, on ne peut que constater qu'il a été attiré irrésistiblement par la morsure de l'acide sur l'acier, un aspect plus violent de l'art. Les estampes d'Arroyo « racontent » ; Arroyo établit un vocabulaire pictural que nous devrons apprendre et posséder afin de pouvoir suivre chaque histoire « racontée ». La « Suite Senefelder and Co. » présente une série de 102 estampes, la plupart des gravures, réalisées pour l'anniversaire du bicentenaire de l'invention du procédé lithographique (1796) par Aloys Senefelder.
    Asse Geneviève
    "L’oeuvre gravé, 1943-1977", par R. M. Mason, Ed. Cabinet des Estampes du Musée d’Art et d’Histoire (Genève), 1977

    Catalogue raisonné - Geneviève Asse

    "L’oeuvre gravé, 1943-1977",
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    Avant "L’oeuvre Imprimé, 1942-1997" (Ed. Cabinet des Estampes du Musée d’Art et d’Histoire, Genève, 1998) qui fait aujourd'hui référence, un premier catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Geneviève Asse fut publié en 1998. Rainer Michael Mason, l'auteur, y répertoriait toutes les estampes de l'artiste publiées sur une période de 35 ans (1943-1977), soit 9 lithographies, 105 gravures isolées sur cuivre ou sur zinc (à la pointe-sèche ou au burin, à l' aquatinte ou à l'eau-forte), les 17 gravures ou ensemble de gravures éditées qui accompagnent un texte pour un livre, une plaquette ou un catalogue. « Chacune de ses gravures est pour Geneviève Asse un prétexte à tenter cette appropriation de l'espace qui est l'intention de toute son oeuvre de peintre, » écrit François Chapon dans l'un des textes accompagnant l'ouvrage. On trouvera également un texte de l'artiste elle-même, « D'une conversation », qui oeuvra à la compréhension et au sens de son travail de graveur. La gravure, griffure sans repentir, est pour Geneviève Asse une ascèse autant qu'une volupté. Le livre, en tant qu'oeuvre gravé sur la voix des poètes amis (Pierre Lecuire, Samuel Beckett, Yves Bonnefoy, André du Bouchet, Silvia Baron Supervieille, . . . ), tient une place éminente dans l'oeuvre de Geneviève Asse.
    "L’oeuvre Imprimé, 1942-1997", par R. Mason, Ed. Cabinet des Estampes du Musée d’Art et d’Histoire (Genève), 1998.

    Catalogue raisonné - Geneviève Asse

    "L’oeuvre Imprimé, 1942-1997",
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    Publié par le Cabinet des Estampes du Musée d’art et d’histoire (Genève, 1998), le catalogue de l’œuvre imprimé de Geneviève Asse reprend et augmente le premier ouvrage de ce type qui avait été réalisé par Rainer Michael Mason en 1977. L’auteur répertorie 384 œuvres originales imprimées sur papier, gravures et lithographies. Pour la gravure, l’artiste utilise, le plus souvent, la technique de la taille douce (au burin, à la pointe sèche, à l’aquatinte ou à l’eau-forte). Geneviève Asse sera le graveur associé à de nombreux poètes pour la réalisation d’une vingtaine d’ouvrages entre 1964 et 1995 (Beckett, Yves Bonnefoy, Supervielle, André du Bouchet, Borges, Pierre Lecuire, André Frénaud, Claude Esteban et d’autres encore). Si Geneviève Asse commença son oeuvre imprimé par six lithographies figuratives entre 1942 (n° 1 du C.R.) et 1950 (n° 6), le présent catalogue ne répertorie que très peu d’œuvres réalisées selon cette technique ; il n’y aura que sept lithographies originales de l’artiste entre 1950 et 1997, l’essentiel se concentrant dans les années 80. Le travail du peintre-graveur Geneviève Asse, né dans l’immédiat après-guerre, prend son essor dans les années 50 et ira rapidement au dépouillement, à la substance des choses.
    Atlan J-Michel
    "L’oeuvre complet", par Denise, Camille Atlan et Jacques Polieri, Ed. Gallimard, 1996

    Catalogue raisonné - J-Michel Atlan

    "L’oeuvre complet",
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    Etabli par Denise et Camille Atlan et par Jacques Polieri, le catalogue raisonné de « L’œuvre complet » de Jean-Michel Atlan a été publié en 1996 par les Editions Gallimard (Paris). Deux chapitres constitue l’œuvre peint de l’artiste : Premières périodes (1940-1954) et périodes classiques (les dernières années de la vie du peintre). Parmis d’autres types d’oeuvres, on découvrira en fin d’ouvrage, un chapitre consacré aux « Estampes de livres illustrés » de l’artiste. C’est en 1945, à 32 ans, que l’artiste fit la découverte de la lithographie ; un an durant, il travaille chez Mourlot à son premier livre (« Description d’un combat », Kafka). L’artiste travaille directement sur la pierre (crayon, pinceau, grattoir), ces 20 lithographies en noir et blanc auront une importance capitale pour Atlan. Une première version du catalogue des estampes et livres illustrés fut établie par Françoise Woimant et publiée par le Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale. La lithographie est la seule technique que le peintre pratiqua pour illustrer les deux premiers livres et les neuf estampes qu’il publia, exception faite d’une sérigraphie, dont il surveilla l’exécution. L’œuvre gravé d’Atlan ne comporte que 39 lithographies.
    Avati Mario
    "L'oeuvre gravé", Roger Passeron, 7 vol., Ed. La Bibliothèque des Arts, Paris, de 1973 à 2000

    Catalogue raisonné - Mario Avati

    "L'oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Mario Avati est constitué, à ce jour, de 7 volumes (ici les quatre premiers volumes présentés). Etabli par Roger Passeron, il regroupe toutes les gravures de l'artiste sur une période de de création graphique de plus d'un demi siècle années (de 1947 à 1999). Tous les volumes ont été édités par La Bibliothèque des Arts (Paris). Au fil des volumes, on découvrira des textes de Roger Passeron, mais également des préfaces de différents auteurs (Brassaï pour le vol. 2, Thomas P.F. Hoving, François Daulte et d'autres encore). Maître incontesté de la manière noire (en couleur ou en noir et blanc), on découvrira également des estampes d'Avati réalisées à l'eau-forte, l'aquatinte, le vernis mou, pointe sèches, lithographies et linogravures. Les différents volumes comportent 116 gravures (Vol. 1, années 1947-1954), 125 gravures (Vol. 2, années 1955-1960), 111 (Vol. 3, années 1961-1967), 139 (Vol. 4, années 1968-1975), 104 (Vol. 5, années 1976-1983), 90 gravures (Vol. 6, années 1984-1990) et 150 gravures (Vol. 7, années 1991-1999), soit un total de 835 gravures reproduites. Voici ce qu'écrit le célèbre photographe Brassaï dans sa préface : « out ce que peu à peu le graveur a fait entrer dans son Arche de Noé, tout ce qui gravite autour de l'homme et fait partie de son existence familière : les pots et les pipes, les bouteilles, les oeufs, les fruits, les légumes, les instruments de musique et aussi les animaux qu'Avati adore, tous les objets et les êtres de son univers, se présentent à nous sans effets, sans ombres fantastiques, mais dans la nudité de leur propre éclairage, dans leur pureté originelle. La vigueur de leur contour et l'éclat de leur lumière étaient à nos yeux leur mystère au grand jour. En les regardant, je pense à ce mot de Goethe: Les objets m'ont peu à peu élevé jusqu'à leur hauteur. »
  • B
    Bacon Francis
    "Catalogue raisonné et documentation", Ronald Alley et John Rothenstein, Ed. Thames and Hudson, Londres, 1964

    Catalogue raisonné - Francis Bacon

    "Catalogue raisonné et documentation",
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    « Le catalogue raisonné (des oeuvres) et documentation » de Francis Bacon, en langue anglaise, a été établi par Ronald Alley et John Rothenstein, et publié par les Editions Thames and Hudson de Londres en 1964. Il porte sur une période de 34 années de création de l'artiste, entre 1929 et 1963, et comporte 221 références. L'ouvrage porte sur les oeuvres de l'artiste (oeuvres sur papier et toiles) dont seulement une petite partie est reproduite en couleur, l'ensemble des références étant reproduit en noir et blanc dans un chapitre indépendant suivant le catalogue raisonné proprement dit. Si un nouveau catalogue raisonné de l'oeuvre de l'artiste viendra très prochainement enrichir nos connaissances sur le sujet, l'ouvrage présenté ici est encore aujourd'hui une référence incontournable. En outre, il est complété par deux appendices qui répertorient (à l'époque de la publication) les oeuvres « abandonnées » par l'artiste (oeuvres non terminées ou autres, ici au nombre de 11) et les oeuvres annoncées comme détruites par Francis Bacon (ici au nombre de 9). Concernant ce dernier aspect de l'oeuvre de Bacon, on découvrira plus tard qu'une toile représentant un Pape (Réf. : D6) des oeuvres dites détruites présentées ici ne l'a pas été et a été retrouvée. On découvrira plusieurs appendices enrichissant l'ouvrage : Informations sur la datation des oeuvres, une biographie de l'artiste, une liste de ses principales expositions, une sélection bibliographique. Il nous a semblé important de présenter ici un tel ouvrage, puisque l'on y découvrira les sources de ce qui constituera l'oeuvre gravé d'interprétation de l'artiste.
    "Francis Bacon : estampes ", collection A. Tacou, Bervillé Editions, 2008

    Catalogue raisonné - Francis Bacon

    "Francis Bacon : estampes ",
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    Si le catalogue d’exposition présenté ici ne porte pas le terme de catalogue raisonné, il peut être considéré comme tel. Il fut publié récemment par Bervillé Editions à l’occasion de l’exposition « Francis Bacon : estampes » qui se déroula à Saint-Cyprien (66, été 2008), exposition constituée par la collection Alexandre Tacou, réunion complète des estampes de l’artiste ; il s’agit d’un exemple unique de présentation de celles-ci. Le collectionneur répertorie 37 références : lithographies et gravures, y compris les triptyques, groupes de lithographies ou reproductions offsets signées et numérotées par l’artiste. Ces estampes, dans leur variété, ont une histoire propre, parallèle à la production des peintures et liée au rythme des expositions de l’artiste. La quasi-totalité des estampes est d’interprétation : elles reproduisent le plus souvent un tableau de Francis Bacon. Ces œuvres témoignent de la volonté de l’artiste de diffuser certaines de ses peintures sous la forme d’images. Le présent ouvrage, trilingue (français, anglais et catalan), est enrichi d’un texte d’introduction (S. Planas), de propos d’Angel Samblancat (codirecteur de Poligrafa qui édita des estampes de Bacon), puis de Gino Diomaiuto qui, en son temps, interpréta Bacon, de commentaires sur les oeuvres (P. Piguet) et d’une interview du collectionneur.
    "Oeuvre graphique - Graphic work", Bruno Sabatier, Ed. Bruno Sabatier, Paris, 2012

    Catalogue raisonné - Francis Bacon

    "Oeuvre graphique - Graphic work",
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    Le présent catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Francis Bacon, « Oeuvre graphique - Graphic work » (bilingue français-anglais), a été établi et publié en 2012 par Bruno Sabatier, galeriste parisien. Précédé par un avertissement et une introduction de l'auteur, puis par une préface d'Eddy Batache (qui écrivit le texte de « Requiem pour la fin des temps », Ed. Georges Visat, 1977-1978, illustré, entre autres, de deux gravures d'après Francis Bacon), le catalogue raisonné proprement dit est divisé en quatre chapitres : les gravures (n°1 à 6), les aquatintes posthumes (n°7 à 9), les lithographies (n°10 à 30) et les impressions offsets lithographiques (n°31 à 36), pour un total, donc, de 36 références sur une période de création graphique de 21 années (de 1971 à 1992). L'ouvrage est enrichi de quelques photographies de l'artiste et d'un parcours biographique essentiel.
    Baj Enrico
    "Catalogo generale delle stampe originali", Jean Petit et autres, Ed. Electa, Milan, 1986

    Catalogue raisonné - Enrico Baj

    "Catalogo generale delle stampe originali",
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    Enrico Baj s'exprima dans le domaine de l'art graphique par différents médias : gravure à l’eau-forte, aquatinte, pointe-sèche, collage, technique mixte, sérigraphie, lithographie, empreinte, photogravure, photolithographie. Après les deux volumes du catalogue raisonné de « L’oeuvre graphique et des multiples » établi par Jean Petit (Ed. J. Petit & Rousseau Editeur, Genève, 1970 et 1974), une nouvelle édition du catalogue raisonné des estampes d'Enrico Baj ("Catalogo generale delle stampe originali") a été publié par des Editions Electa de Milan en 1986 (en deux langues, italien et anglais). Reprenant le travail de Jean Petit, l'ouvrage répertorie 640 estampes de l'artiste pour une période de 35 années de création graphique, entre 1952 et 1986. Le présent catalogue raisonné donne des éclairages sur plusieurs aspects de l'oeuvre gravé de l'artiste italien. Ainsi, l'ouvrage est enrichi de plusieurs chapitres d'intérêt : « Nouveaux commentaires sur la méthode de Baj » par Roberto Sanesi, « Enrico Baj en tant qu'illustrateur de livres » par Jan van der Marck, « Du premier état jusqu'au bon à tirer » par Giorgio Upiglio. Le présent ouvrage est enrichi de quelques annexes : La liste des éditeurs et imprimeurs ayant participé à l'oeuvre gravé de Baj, la liste des auteurs avec lesquels l'artiste collabora ou une bibliographie essentielle bâtie autour de l'oeuvre graphique d'Enrico Baj.
    "L’oeuvre graphique et des multiples", Jean Petit, Vol. I & II, Ed. J. Petit & Rousseau Editeur, Genève, 1970, 1974

    Catalogue raisonné - Enrico Baj

    "L’oeuvre graphique et des multiples",
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    Le catalogue raisonné de « L’œuvre graphique et des multiples » d’Enrico Baj a été établi, en 2 volumes, par Jean Petit. Edité par l’auteur et les Editions Rousseau (Genève), l’ensemble porte sur une période de plus de 20 années de création de l’artiste, de 1952 à 1973. L’auteur y répertorie 416 estampes et 56 multiples, ainsi que l’ensemble des livres comportant des œuvres graphiques de l’artiste. Concernant l’estampe, Enrico Baj exprima son art par différents médias : gravure à l’eau-forte, aquatinte, pointe-sèche, collage, technique mixte, sérigraphie, lithographie, empreinte, photogravure, photolithographie. Le premier volume est consacré aux années 1953-1970, le second aux années 1970-1973. « Les estampes de Baj ne sont pas seulement transposition graphique de son œuvre peint, elles traduisent une constante recherche d’expressions nouvelles. Si Baj artisan connaît les secrets du métier de graveur, il sait aussi jouer des difficultés de ce métier, » écrit Jean Petit dans sa préface au volume I (montré ici). L’artiste nous transmet, par son œuvre graphique aussi, la vision toute personnelle qu’il a du monde.
    Baldessari John
    "Prints and multiples, 1971-2007", Sharon Coplan Hurowitz, Hudson Hills Press Publisher, Manchester, 2009.

    Catalogue raisonné - John Baldessari

    "Prints and multiples, 1971-2007",
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    Le catalogue raisonné des estampes et multiples de John Baldessari, artiste conceptuel, a été établi par Sharon Coplan Hurowitz et publié par les éditions Hudson Hills Press de Manchester en 2009. Cet énorme ouvrage, qui débute avec une introduction de Wendy Weitman (« Between the ink and the photograph »), est en langue anglaise ; il porte sur une période de prés de quarante années de création, de 1971 à 2007. Très attendu, il s'agit du résultat de la première étude définitive et exhaustive concernant ce pan créatif dans l'oeuvre de John Baldessari, considéré comme un pionnier des idées postmodernes dans les années 1970. Dès les années 70, l'artiste se fera connaître avec ses premiers textes peints, puis par ses images photographiques associées à des textes ; ses réalisations portent sur des livres d'artiste, des vidéos, des films, des panneaux d'affichage et des travaux publics. Pendant plus de 35 ans, l'artiste  maintiendra son intérêt pour la relation entre mots et images, pour se délecter de l'absurde et pour souligner l'ironie de la théorie de l'art contemporain. L'auteure répertorie 182 références, chaque portfolio de l'artiste - avec plusieurs estampes ou photographies - n'en recevant qu'une seule.
    L'ouvrage se referme sur des annexes : la liste des livres de l'artiste, une biographie succincte, la liste des expositions de l'artiste, personnelle et collective, une bibliographie et, pour finir, un index des titres des œuvres.
    Barnet Will
    "Etchings, lithographs, woodcuts, serigraphs, 1932-1972 et Lithographs, serigraphs, 1973-1979", par Sylvan Cole, Ed. Associated American Artists Gallery, New York, 1979

    Catalogue raisonné - Will Barnet

    "Etchings, lithographs, woodcuts, serigraphs, 1932-1972 et Lithographs, serigraphs, 1973-1979",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Will Barnet a été établi par Sylvan Cole. "Etchings, lithographs, woodcuts, serigraphs, 1932-1972" a été publié par Associated American Artists Gallery de New York en 1979. L'ouvrage porte sur les 41 premières années de création graphique de cet artiste américain mort en 2012. Le complément à ce catalogue, "Lithographs, serigraphs, 1973-1979", porte sur les 7 années postérieures. L'auteur, Sylvan Cole, répertorie 147 références pour la période 1932-1972 et 21 pour la période 1973-1979. Comme pour ses peintures, aquarelles ou dessins, les estampes de Will Barnet portent sur la figure humaine et animale, à la fois dans les scènes occasionnels de la vie quotidienne et dans un monde onirique. Il fait référence à son histoire personnelle avec des images de sa femme, de sa fille et des animaux de compagnie de la famille. L'artiste se concentrera à la fois sur la peinture et sur la gravure dès son entrée, en 1930, à l'Art Students League de New York. Barnet aura une longue vie d'enseignant ; il a influencé toute une génération d'artistes, tel James Rosenquist, Knox Martin, Paul Jenkins ou Cy Twombly.

    Basaldella Afro
    "Afro - Opere su carta, Grafiche, Arazzi, Mosaici", Maurizio Calvezi, Museo Nazionale San Vitale e Casa Farini, Ravenna, 1991

    Catalogue raisonné - Afro Basaldella

    "Afro - Opere su carta, Grafiche, Arazzi, Mosaici",
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    L'ouvrage édité à l'occasion de l'exposition d'Afro Basaldella, « Afro a Ravenna », au Musée national San Vitale et Casa Farini de Ravenne, en 1991, est considéré, entre autre, comme le premier essai de catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de l'artiste. Celui-ci a été établi par Maurizio Calvesi. A l'exception de la peinture, cette exposition concernait tous les domaines de création d'Afro : oeuvre sur papier (dessin au fusain et technique mixte), oeuvre graphique (page 51 à 147), tapisserie et mosaïque. Concernant l'oeuvre graphique, l'auteur répertorie 91 estampes réalisées sur une période de 22 années (entre 1954 et 1975), dont huit estampes dont la publication fut en partie posthume (signature imprimée en technique sérigraphique) ; l'artiste réalisa essentiellement des lithographies (parfois associé à une technique de calcographie) et des gravures à l'eau-forte (à partir de 1960), des estampes isolées ou dans le cadre du livre illustré ou du portfolio. On découvre une gravure au burin (« Lastra di piombo ») en 1968, deux aquatintes dont une associée à la technique sérigraphique au début des années 70. On remarque un parcours de création graphique assez nettement scindé, puisqu'il commença par la pratique de la lithographie pour s'incliner peu à peu, puis définitivement, vers la pratique de la gravure à l'eau-forte. On notera que les 22 dernières estampes répertoriées (les références n°59 à 91) ont été réalisées (et le plus souvent publiées) par le célèbre atelier-éditeur 2RC de Rome. On appréciera ici, particulièrement, que chaque estampe soit présenté en pleine page, en couleur et dans un format qui permet d'approcher un peu de la subtilité et de la beauté de l'oeuvre graphique d'Afro.
    "Oeuvres 1932-1947",
    Baselitz Georg
    "Druckgraphik 1964-1983", Michael Semff, Ed. Hatje Cantz, 2008

    Catalogue raisonné - Georg Baselitz

    "Druckgraphik 1964-1983",
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    Le présent catalogue raisonné, « Druckgraphik 1964-1983 », a été établi par Michael Semff et publié par les Editions Hatje Cantz en 2008. Bâti sur la collection de Herzog Franz von Bayern, l'ouvrage a été publié à l'occasion des expositions (en 2008) de l'oeuvre imprimée de Georg Baselitz au Staatliche Kunstsammlungen de Dresde et au Staatliche Graphische Sammlung de Munich. L'auteur répertorie 240 estampes de l'artiste sur une période de 20 années de publication graphique (entre 1964 et 1983), y compris les estampes réalisées dans le cadre du livre illustré. L'ensemble des techniques de la gravure a été utilisé par l'artiste : pointes sèches, zincographies,eaux-fortes, aquatintes, vernis mou, bois gravés et linogravures. Georg Baselitz commença dans le domaine de l’estampe en 1963-64 par la technique du vernis mou qui lui permettait de transférer ses dessins plus facilement sur la plaque. On notera que nombre de gravures ont été exécutés à partir de dessins réalisé bien des années auparavant par l'artiste. L'ouvrage est accompagné de nombreux textes (par Fred Jahn, Michael Semff et Siegfried Gohr) et annexes d'accompagnements (préface de Wolfgang Hollet et Michael Semff, bibliographie et biographie par Detlev Gretenkort, etc.).
    "Grabados - Gravures - Prints, 1964-1990", Ed. Cabinet des Estampes (Genève), & Ivam Centre Julio Gonzales (Valence) & Tate Gallery (Londres), 1991

    Catalogue raisonné - Georg Baselitz

    "Grabados - Gravures - Prints, 1964-1990",
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    Le Catalogue de l’exposition itinérante « Gravures de Georg Baselitz, 1964-1990 », en 3 langues (espagnol, français et anglais), a été co-publiée en 1991. Dirigé par Rainer Michael Mason, cet ouvrage de référence répertorie 215 gravures de l’artiste : Xylographies ou bois gravés, pointes sèches, zincographies, linogravures, eaux-fortes, aquatintes, vernis mou. Georg Baselitz commença dans le domaine de l’estampe en 1963-64 par la technique du vernis mou qui lui permettait de transférer ses dessins plus facilement sur la plaque. L’artiste compte parmi les figures les plus significatives de l’art européen des dernières décades, un artiste qui s’enracine dans la tradition de la gravure allemande. La force inventive de Baselitz se révèle à la fois dans l’estampe et dans la peinture. Le présent ouvrage fait référence dans le domaine de l’œuvre imprimé sur papier de l’artiste.
    "Gravures monumentales, 1977-1999", par Rainer M. Mason, Ed. Musée Rath, Genève, 1999

    Catalogue raisonné - Georg Baselitz

    "Gravures monumentales, 1977-1999",
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    Le Catalogue de l’exposition « Gravures monumentales, 1977-1999 » du Musée Rath (Genève), dirigé par Rainer Michael Mason, répertorie près de 90 d’estampes originales monumentales de l’artiste : linogravures essentiellement et xylographies. Avec le catalogue de l’exposition itinérante « Gravures de Georg Baselitz, 1964-1990 », en 3 langues (espagnol, français et anglais), co-publiée en 1991, le présent ouvrage permet d’avoir une large vision sur l’ensemble de l’œuvre imprimé sur papier de l’artiste. Peintre, dessinateur, sculpteur, Georg Baselitz donne un rôle prééminent à la gravure, dont il pratique toutes les disciplines : pointe sèche, eau-forte, xylographie. L’œuvre imprimé de l’artiste allemand dépasse les mille pièces. On notera que certaines œuvres monumentales sont gravées, encrées et tirées à même le sol, non au moyen d’une presse, mais « au frotton » ou à l’aide d’un grand rouleau que l’on doit passer à deux.
    "Werverzeichnis der Druckgraphik, 1963-1974 ", par Fred Jahn, Verlag Gachnang & Springer, Berne et Berlin, 1983

    Catalogue raisonné - Georg Baselitz

    "Werverzeichnis der Druckgraphik, 1963-1974 ",
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    Le catalogue de l'oeuvre graphique de Georg Baselitz, en 2 volumes (« Baselitz. Werverzeichnis der Druckgraphik »), a été établi par Fred Jahn et publié par Verlag Gachnang & Springer (Berne) en 1983 et 1987. Le volume I, présenté ici, concerne toutes les estampes de l'artiste pour la période 1963-1974. Toutes les épreuves d'essai ou d'état y sont décrites avec grandes précisions. L'auteur y répertorie 181 références : gravures, vernis mou, eaux-fortes, aquatintes, pointes-sèches, burins, bois gravés, y compris les très nombreuses estampes réalisées dans le cadre d'ouvrages illustrés (« Kühe » 1969-1974, « Eine Woche » 1970-1972, « Triptychon » 1973, « 8 Radierungen nach Zeichnungen von 1959 » 1973, « Bäume » 1972-1974 et « Adler » 1974). Il faut savoir que Georg Baselitz a toujours constitué des archives sur son propre travail de graveur, réunissant méthodiquement l'avancée progressive de son processus créatif (essai et état) pour chaque estampe. Les premières archives de l'artiste furent achetées en 1972 par le Musée Schlossmorsbroich de Leverkusen qui, depuis lors, les conserve. On notera, en fin d'ouvrage, une bibliographie de l'artiste exclusivement consacrée aux estampes. Le volume II du présent catalogue raisonné étudie la période 1974-1982.
    "Werverzeichnis der Druckgraphik, 1974-1982 ", par Fred Jahn, Verlag Gachnang & Springer, Berne et Berlin, 1987

    Catalogue raisonné - Georg Baselitz

    "Werverzeichnis der Druckgraphik, 1974-1982 ",
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    Etabli par Fred Jahn et publié, en 2 volumes (1983 et 1987), par Verlag Gachnang & Springer (Berne), le catalogue de l'oeuvre graphique de Georg Baselitz répertorie l'ensemble de l'oeuvre graphique de l'artiste sur une période de 25 ans de création, de1963 à 1987. Alors que le volume I était consacré à la période 1963-1974 (181 références), le volume II, présenté ici, concerne toutes les estampes de l'artiste pour la période 1974-1982. L'auteur y répertorie 256 références (n° 182 à 437). Aux techniques de gravures utilisées préalablement à cette période par l'artiste (vernis mou, eaux-fortes, aquatintes, pointes-sèches, burins, bois gravés), on rajoutera, de manière fulgurante, l'apparition de la linogravure. Comme dans le précédent volume, on trouvera des estampes isolées ou des oeuvres réalisées dans le cadre d'ouvrages illustrés (« Acht Stilleben » 1977, « Vier Landschaften » 1977-1982, « Adler, Baum, Frau im Fenster . . . » 1980, « Flaschen » 1980-1981, « Das Strassenbild » 1981, etc.). On notera que Georg Baselitz constitua toujours des archives sur son propre travail de graveur, réunissant méthodiquement l'avancée progressive de son processus créatif (essai et état) pour chaque estampe. En fin d'ouvrage, on trouvera une bibliographie de 20 ouvrages et catalogues d'exposition exclusivement consacrée aux estampes de l'artiste.
    Baumeister Willi
    "Das Graphische Werk", Heinz Spielmann, Justus Brinckmann Gesellschaft Verlag, Hamburg, 1972.

    Catalogue raisonné - Willi Baumeister

    "Das Graphische Werk",
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    Le premier catalogue raisonné des estampes de Will Baumeister (en langue allemande) « Das Graphische werk » a été établi par Heinz Spielmann. L’ouvrage a été publié par Justus Brinckmann en 1972. L’auteur répertorie 321 références sur une période allant de 1916 à 1966. L’artiste étant mort en 1955, nombre d’estampes sont donc des estampes d’interprétation. Les estampes sont répertoriées en différents chapitres qui correspondent aux techniques utilisées par l’artiste : sérigraphies, lithographies, gravures, affiches, typographies, chaque œuvre est classée par ordre chronologique. Le catalogue raisonné est précédé d’un texte de Heinz Spielmann qui retrace le parcours artistique de Willi Baumeister. 
    On notera que le catalogue complet de l’œuvre graphique de l’artiste, « Werkkatalog der Druckgraphik » a été également établi de Heinz Spielmann et publié en 2005 par Hatje Cantz Verlag (voir autre entrée).
    "Werkkatalog der Druckgraphik ", par Heinz Spielmann et Felicitas Baumeister, Hatje Cantz Verlag, Ostfildern-Ruit, 2005

    Catalogue raisonné - Willi Baumeister

    "Werkkatalog der Druckgraphik ",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Willi Baumeister (en langue allemande), « Werkkatalog der Druckgraphik » a été établi par Heinz Spielmann et Felicitas Baumeister, fille de l'artiste. L'ouvrage a été publié par Hatje Cantz Verlag (Ostfildern-Ruit) en 2005. Les auteurs répertorient 244 références sur une période de création graphique de plus d'un demi-siècle, entre 1919 et 1976. L'artiste étant mort en 1955, nombre d'estampes sont donc des estampes d'interprétation. Les estampes sont répertorié en différents chapitres qui correspondent aux techniques utilisées par l'artiste : lithographies (151), phototypies, gravures, linogravures, bois gravés, sérigraphies et affiches. Le catalogue raisonné proprement dit est précédé d'un texte-étude qui retrace notamment le parcours artistique de Willi Baumeister dans le domaine des arts graphiques. Dès le début de années 30, l'artiste concevra des formes organiques. Willi Baumeister, en véritable précurseur de l'art abstrait, a constamment produit un art fortement tourné vers l'avenir, jouant un rôle important dans l'art allemand et européen.
    Bazaine Jean
    "Livres illustrés", Jean-Pierre Greff , Ed. Médiathèque Valérie Larbaud, Vichy, 1992.

    Catalogue raisonné - Jean Bazaine

    "Livres illustrés",
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    Le catalogue raisonné des livres illustrés de Jean Bazaine a été réalisé à l'occasion de l'exposition qui rassemblait pour la première fois tous les livres contenant une ou plusieurs estampes de l'artiste. Elle fut organisée en mai-juillet 1992 à la Bibliothèque municipale Valery Larbaud de Vichy en collaboration avec le Ministère de la Culture. Après une préface de Monique Kuntz et une introduction (« Jean Bazaine et ses amis poètes ») de Jean-Pierre Greff, ce dernier en a établi le catalogue raisonné. L'auteur répertorie 55 références pour une période de plus de trente année de création s'étalant de 1946 (« La Noce noire », André Frénaud) à 1979 (« Bazaine », Ed. Galerie Adrian Maeght).
    Les lithographies en noir ou en couleurs, les gravures à l'eau-forte, les bois gravés, les reproductions de dessins ou d'aquarelles se marient aux écrits de poètes et écrivains qui furent souvent de proches amis de l'artiste. On y retrouve Eugène Guillevic, Jean Tardieu, André Frénaud, mais aussi les écrivains Marcel Arland, Roger Caillois et Georges Perros. Sa « fraternité » avec la poésie amènera encore Jean Bazaine à unir son art à des textes d'auteurs appartenant alors à de nouvelles générations : Jean-Claude Schneider, Clade Esteban, Pierre Oster, Alain Delahaye et Jean-Baptiste de Seynes.
    « Ce qui fonde la qualité si particulière des « illustrations » de Bazaine est leur capacitén presque sans équivalent dans l'histoire moderne du livre, à prendre en compte le texte dans son fonctionnement propre . . ., » écrit l'auteur du catalogue raisonné.
    Beauverie Charles
    "L'oeuvre gravé 1864-1905", Philippe Tillon, in revue Nouvelles de l'Estampe, n° 126, décembre 1992.

    Catalogue raisonné - Charles Beauverie

    "L'oeuvre gravé 1864-1905",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé du peintre lyonnais Charles Beauverie a été réalisé par Philippe Tillon, et publié dans le n° 126 de la revue Nouvelles de l'Estampe en décembre 1992. L'auteur répertorie 78 références sur une période d'environ 40 années de création graphique. Jeune homme, il s’inscrira à l'Ecole impériale des Beaux-Arts de Lyon pour une brève période. L'artiste fréquentera l'atelier lyonnais de Louis Guy, un paysagiste et peintre animalier doublé d'un aquafortiste ; Charles Beauverie y acquiert des bases solides, avant de changer de voie après la rencontre de François-Auguste Ravier dont le travail l'émerveille ; celui-ci le convainc de s'inscrire de nouveau à l'Ecole des Beaux-Arts où, pendant trois ans, il étudiera la gravure auprès de Pierre-Eugéne Vibert, puis Jean-Baptiste Danguin. Sorti lauréat, Charles Beauverie part pour Paris et intègre, en 1962, l'atelier de Charles Gleyre où il côtoie Sisley, Monet, Bazille et Renoir. Son parcours l'amène à rencontrer Jean-François Millet dont on retrouve l'influence dans plusieurs de ses œuvres. Témoignage de reconnaissance, l'artiste interprétera une œuvre de Millet pour l'ouvrage « J.F. Millet, souvenir de Barbizon » d'Alexande Piédagnel.
    Entre 1874 et 1878, Beauverie travaille à Auvers-sur_Oise pour l'imprimeur-éditeur Alfred Cadart, à qui il fournira de nombreuses planches pour « L'illustration nouvelle » et pour « L'eau-forte à . . . ». A Auvers-sur_Oise, il est reçu par Daubigny et le docteur Gachet. Il travaille également en Bretagne, à Fontainebleau et dans la vallée de Chevreuse. L'artiste est mort en 1923.
    Beckmann Max
    "Druckgraphik 1914-1924", par H. Jacob-Friesen et C. Zeiller, Ed. Staatliche Kunsthalle Karlsruhe, 2005

    Catalogue raisonné - Max Beckmann

    "Druckgraphik 1914-1924",
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    Au front en tant qu'infirmier pendant la Première guerre mondiale, classé parmi les « artistes dégénérés » par l'Allemagne nazi, Max Beckmann connaîtra personnellement les grandes tragédies qui, dans la première moité du XX° siècle bouleverseront l’Europe et le monde. Par le biais du dessin, de la gravure, de la lithographie, l’œuvre de Max Beckmann rend compte de chacun des drames du monde, sans que pour autant le peintre en soit un illustrateur. Le catalogue raisonné de ses estampes, "Max Beckmann : Catalogue raisonné of his Prints", a été établi par James Hofmaier et publié en 2 volumes par les Ed. Galerie Kornfeld à Berne en 1990. L'ouvrage présenté ici peut être considéré comme une introduction à l'oeuvre gravée de l'artiste ; "Druckgraphik 1914-1924" de Holger Jacob-Friesen et Christiane Zeiller a été publié par le Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe en 2005 à l'occasion d'une exposition. Il présente 131 estampes, gravures (pointes sèches) ou lithographies, de l'artiste pour la période concernée. L'œuvre de Beckmann reflète une approche du monde considéré comme une scène de théâtre où se joue la pièce qu'est la vie humaine avec des hommes qui sont des acteurs masqués ou des acrobates. Quoique refusant l’anecdote ou le récit, nul mieux que lui n’a montré la crise sociale et morale de l’Allemagne des années 20 ou dénoncé la monstruosité du nazisme. L'artiste a atteint une dimension universelle et intemporelle.

    Belgeonne Gabriel
    "Noir d'encre, estampes 1959-2001", G. et T. Belgeonne, D. Tonneau-Ryckelynck, co-Ed. Musée de l'Estampe de Gravelines et Musée de la Cohue de Vannes, 2001

    Catalogue raisonné - Gabriel Belgeonne

    "Noir d'encre, estampes 1959-2001",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Gabriel Belgeonne, « Noir d'encre, estampes 1959-2001 », a été co-édité par le Musée de l'Estampe de Gravelines et le Musée de la Cohue de Vannes en 2001. Les auteurs, Gabriel Belgeonne, son épouse et Dominique Tonneau-Ryckelynck, répertorient 589 références (estampes indépendantes ou séries d'estampes) : lithographies, linogravures, gravures à l'eau-forte, à l'aquatinte, bois gravés, pointes sèches, estampes en technique mixte, manières noires ou sérigraphies. La technique principalement utilisée par l'artiste est l'eau-forte et l'aquatinte. « Organisateur de manifestations sur l'estampe, professeur, membre de jury, éditeur, graveur dès l'origine, Gabriel Belgeonne a expérimenté de nombreuses techniques de l'estampe mais la gravure à l'eau-forte constitue, pour lui, le terreau de sa méditation et lui a aporté la révélation qu'il était peintre. Son oeuvre est aujourd'hui enrichi par la confrontation des deux médias, » écrivent Dominique Tonneau-Ryckelynck et Marie-Françoise Le Saux dans leur préface. L'ouvrage s'ouvre sur plusieurs textes qui permettent d'appréhender l'oeuvre gravé de l'artiste : « Un graveur peintre, Gabriel Belgeonne » de Philippe Roberts-Jones, « Graveur-peintre, peintre-graveur » de René Léonard et « Préceptes pour aborder l'oeuvre de Gabriel Belgeonne » de Pascal Bonnafoux. L'ouvrage est clos par de nombreuses annexes (biographie, expositions, distinctions, illustrations de textes, oeuvres dans les collections, bibliographie, index des titres).
    Bellmer Hans
    "Bellmer graveur", Ed. Musée - Galerie de la Seita, 1997

    Catalogue raisonné - Hans Bellmer

    "Bellmer graveur",
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    Le catalogue présenté ici fut publié à l'occasion de l'exposition « Bellmer graveur » organisée par le Musée - Galerie de la Seita en 1997, en étroite collaboration avec la Bibliothèque nationale de France. L'ouvrage s'ouvre par une intéressante introduction d'Emmanuel Pernoud, « Le pli gravé », qui analyse l'oeuvre graphique de Hans Bellmer dans ses différents aspects : le parcours de l'artiste, les thèmes abordés, les techniques utilisées, la collaboration de Bellmer avec, notamment, Cécile Reims - et, par-delà la question de l'interprétation et de l'originalité en art et, en particulier, dans le domaine spécifique de la gravure -. Les gravures de Hans Bellmer furent exécutées selon la technique de l'héliogravure ou du burin ; il semble que Bellmer ait demandé à l'héliogravure une fidélité maximale au dessin qui lui sert de modèle. Si la gravure de Bellmer a la plus souvent eut recours à l'interprétation, on compte dans les années cinquante et soixante un certain nombre de burins ou de pointes-sèches originaux, reconnaissables à leur petit format et à la façon dont les traits apparaissent moins souples que dans les dessins ; « Il semble, écrit Emmanuel Pernoud, que Bellmer ne soit pas parvenu à retrouver dans ses burins la fluidité de sa mine de plomb ». Un second texte, d'Itzhak Goldberg, « La traversée du corps », se penche sur l'univers d'érotisme violent de Bellmer. Le catalogue répertorie un ensemble 54 estampes caractéristiques de l'artiste et les classent par thèmes (visages, corps, métamorphoses et noeuds, intérieurs et constructions, paysages).
    "Bellmer, Oeuvre gravé", par Galerie André François Petit, Ed. Denoël, 1969

    Catalogue raisonné - Hans Bellmer

    "Bellmer, Oeuvre gravé",
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    Préfacé par André Pieyre de Mandiargues (« Morale de la gravure »), le premier catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Hans Bellmer a été établi par la Galerie André François Petit et publié par les Editions Denoël (Paris) en 1969. Cent deux estampes y sont répertoriées sur la période 1939-1969 : gravures, eaux-fortes, pointes-sèches, burins, vernis mou, techniques mixtes (eaux-fortes et pointes-sèches), lithographies, estampes originales et d'interprétation. Hans Bellmer joue avec le noir et le blanc, mais aussi avec la couleur qui révèle son étrange personnalité. « Rares, trop rares, écrit de Mandiargues, sont les témoins de ce temps qui ont su regarder, imaginer et créer avec une lucidité aussi incisive que celle de Bellmer le graveur ». On notera que l'ensemble des estampes présentées sont également répertoriées dans "Les estampes 1938-1975" de Fabrice Flahutez (Ed. Nouvelles Editions Doubleff, 1999). L'oeuvre de Bellmer, qui s'étend sur 35 ans environ, associe, en proportions fort inégales, la peinture à l'huile, la gouache, le lavis, le dessin, la gravure, la photographie, le collage et la construction d'objets généralement érotiques.
    "Les estampes 1938-1975", par F. Flahutez, Ed. Nouvelles Editions Doubleff, 1999

    Catalogue raisonné - Hans Bellmer

    "Les estampes 1938-1975",
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    Le catalogue raisonné des estampes 1938-1975 d’Hans Bellmer a été établi par Fabrice Flahutez et publié en 1999 par les Editions Doubleff. Les œuvres décrites dans le cadre de cet ouvrage concernent celles qui ont été imprimées sur papier après avoir été gravées sur métal, les gravures, ou dessinées sur un support lithographique, les lithographies. L’auteur ne prend pas en compte les œuvres reproduites mécaniquement. L’ouvrage décrit à la fois les œuvres originales, entièrement réalisées par l’artiste, et les œuvres d’interprétation, quand la matrice a été réalisée par un maître graveur d’après un dessin de l’artiste et en collaboration avec ce dernier (163 références). On découvrira également les affiches réalisées par et pour l’artiste dans le cadre de l’estampe, ainsi que les travaux réalisés dans le domaine du livre illustré ou de l’album. Les techniques utilisées pour l’ensemble de ses estampes sont multiples et parfois combinées. Bellmer est un artiste complet : écrivain, sculpteur, photographe, dessinateur. Il exerça personnellement la gravure avant d’en déléguer l’exécution à Cécile Reims, à partir de dessins qu’il choisissait et pour lesquels il donnait son accord.
    Bergman Anna-Eva
    "L'estampe", version en ligne, Fondation Hartung-Bergman et Nasjonalmuseet for Kunst, Arkitektur og Design d’Oslo, 2017

    Catalogue raisonné - Anna-Eva Bergman

    "L'estampe",
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    Comme elle l'avait déjà réalisée pour Hans Hartung il y a quelques années, la Fondation Hartung-Bergman - ici en collaboration avec le Nasjonalmuseet for Kunst, Arkitektur og Design d’Oslo, vient de mettre en ligne le catalogue raisonné des estampes d'Anna-Eva Bergman. Un outil fantastique, offert à tous les amateurs et autres amoureux de cette oeuvre absolument splendide.
    En cliquant sur le lien « L'estampe de Anna-Eva Bergman » vous accéderez à ce travail remarquable, qui propose des accès multiples de cette oeuvre (par années, techniques, imprimeurs, éditeurs, albums) ; en outre, vous pourrez y découvrir des rubriques telles que : Textes sur l'estampe, Lexique des techniques, Expositions, Bibliographie, Collections publiques. Vous pourrez également faire une recherche chronologique.
    "L'oeuvre gravé - Grafikk", Fondation Hartung-Bergman et Nasjonalmuseet for Kunst, Arkitektur og Design d’Oslo, 2015

    Catalogue raisonné - Anna-Eva Bergman

    "L'oeuvre gravé - Grafikk",
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     Cette publication, bilingue (français-norvégien), du catalogue raisonné des estampes d'Anna-Eva Bergman a été réalisée à l’occasion de l’exposition « Anna-Eva Bergman, Univers Graphique » organisée au Nasjonalmuseet for kunst, arkitektur og design d’Oslo (novembre 2015 - août 2016) et a reçu le soutien de ce dernier pour son édition papier. Comme elle a été réalisée en 2010 pour les estampes de Hans Hartung, une édition numérique par la Fondation Hartung-Bergman est en cours de création. L'ouvrage présenté ici, reproduit et décrit l’intégralité des 254 numéros de l’œuvre gravé de l’artiste : ses gravures, gravures sur bois, lithographies et sérigraphies. Etroitement lié à sa production picturale, trois textes (de Geneviève Duris, Catherine Gonnard et Randi Godø) viennent éclairer la question du rôle joué par l’estampe dans le travail d’Anna-Eva Bergman et analysent cet aspect de sa production tant du point de vue de la technique que de celui de son contexte et de sa réception critique.
    Bernard Emile
    "L’oeuvre gravé", par D. Morane, Ed. Musée de Pont-Aven, 2000

    Catalogue raisonné - Emile Bernard

    "L’oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné des estampes d'Emile Bernard a été établi par Daniel Morane. « L'oeuvre gravé » a été publié par le Musée de Pont-Aven en 2000 à l'occasion de l'exposition « Emile Bernard, l'oeuvre gravé » organisée en collaboration avec la Bibliothèque d'Art Jacques Doucet et présentée au Musée de Pont-Aven. Suivi d'un essai biographique de Laure Harscoët-Maire, petite fille du peintre, le catalogue raisonné proprement dit présente 104 références entre les années 1888 et 1946, soit 58 ans de création graphique ; l'artiste créera, en noir ou en couleurs, par différentes techniques : bois gravés, zincographies, empreintes de bois sculpté, lithographies (à partir de 1894), gravures à l'eau-forte (à partir de 1912). Il réalisera de nombreuses illustrations d'ouvrages (« Les Fleurs du Mal » de Baudelaire,  « Oeuvres » de François Villon, « L'Odysée » d'Homère, etc). Avant ce travail, l'oeuvre gravé d'Emile Bernard n'avait jamais été répertorié et l'ouvrage présenté ici apporte un outil de travail qui est aujourd'hui une référence.

    Bertemes Roger
    "Oeuvres gravées ", Marc Frising, Ed. Saint-Paul, Luxembourg, 2007

    Catalogue raisonné - Roger Bertemes

    "Oeuvres gravées ",
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    Le catalogue raisonné des estampes originales de Roger Bertemes, « Oeuvres gravées », a été publié par les éditions Saint-Paul (Luxembourg) en 2007. L'auteur de l'ouvrage, Marc Frising (qui avait déjà réalisé un premier ouvrage en 1985), y réunit les gravures sur cuivre, les linogravures et les lithographies réalisées entre 1961 et 2005, l'artiste ne souhaitant pas y faire figurer les nombreuses reproductions sérigraphiques qu'il produisit et ne considérait pas comme des estampes originales. L'ensemble du catalogue de l'oeuvre graphique complet présenté ici propose 359 références sur les 45 années de création de l'artiste en ce domaine. En outre, le présent ouvrage est accompagné d'une introduction à l'art graphique de Roger Bertemes, « Le graveur », qui retrace le parcours de l'artiste, analyse les divers aspects de sa création en ce domaine (Composition et formes, La couleur, La technique). On découvrira, en fin d'ouvrage, une courte biographie et une bibliographie essentielle établies par Paul Bertemes. Roger Bertemes, disparu en 2006, était peintre, graveur, dessinateur et sculpteur, reconnut souvent une préférence pour la gravure dont il savait apprécier la spécificité qui permet d'ouvrir tous les possibles. L'artiste apprit le métier dans l'atelier de Johnny Friedlaender.
    Beuys Joseph
    "Multiples and prints 1965-1985", Jörg Schellmann, Editions Schellmann, Munich-New York, 1985

    Catalogue raisonné - Joseph Beuys

    "Multiples and prints 1965-1985",
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    Le catalogue raisonné des multiples et estampes de Joseph Beuys, en langue anglaise et allemande (« Multiples and prints » et « Werkverzeichnis Multiples und Druckgraphik ») a été établi par Jörg Schellmann et publié par les éditions Schellmann (Munich-New York) en 1985. Le présent ouvrage porte sur plus de 20 ans de création de l'artiste, de l 'année 1965 à l'année 1985 comprise. L'auteur répertorie 407 références, entre le livre « From death to death and other small tales » de 1965 avec des reproductions de dessins de l'artiste , première référence, et la gravure en couleurs « Rope Dancer » de 1985, dernière référence. L'ouvrage s'ouvre sur une interview de Joseph Beuys par  Jörg Schellmann et Bernd Klüser. Le catalogue raisonné proprement dit est constitué de deux sections : les images des oeuvres (en noir et blanc), puis les descriptions regroupées des oeuvres. L'ouvrage se referme sur une biographie de l'artiste. « J'ai toujours essayé de montrer pourquoi l'art est lié à la vie, » dit Joseph Beuys.
    Bill Max
    "Das druckgraphische Werk bis 1968", Zdenek Félix et Max Bill, Ed. Albrecht Dürer Gesellschaft / Kunsthalle Nürnberg, Nurnberg, 1968.

    Catalogue raisonné - Max Bill

    "Das druckgraphische Werk bis 1968",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Max Bill réalisées jusqu'en 1968, Das druckgraphische Werk bis 1968 (en langue allemande), a été établi par Zdenek Félix et Max Bill, et édité par l'Albrecht Dürer Gesellschaft / Kunsthalle Nürnberg, Nurnberg, en 1968. L'ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition organisée par l'Albrecht Dürer Gesellschaft Nürnberg en décembre 1968 et janvier 1969. Non paginé (120 pages environ), l'ouvrage contient en outre neuf sérigraphies originales. Le bref texte de présentation de l'oeuvre graphique de Max Bill est assuré par Zdenek Félix. Le présente catalogue raisonné présente 93 références, pour l'ensemble de l'oeuvre graphique de l'artiste réalisée entre 1927 et 1968. Les livres ou portfolios contenant plusieurs estampes ne constituent qu'une seule référence. On y découvrira l'ensemble des techniques utilisées par Max Bill en ce domaine : la gravure (eau-forte, burin, pointe-sèche, aquatinte), la lithographie, la zincographie, la linogravure, puis, à partir de 1962, essentiellement la sérigraphie. Les estampes décrites sont principalement reproduites en noir et blanc. Pour Max Bill, « Concret est le contraire d'abstrait : l'art figuratif est abstrait de la réalité, tandis que l'art non-figuratif, qui est une pure création de l'esprit, devient concret par sa matérialisation, comme une chose existant dans la réalité ».
    Bille Ejler
    "Det Grafiske Voerk - The Graphic Works 1990-2002", Hans Moestrup, Ed. Gallerie Profilen, Aarhus, et Galleri Heede & Moestrup, Copenhague, 2010

    Catalogue raisonné - Ejler Bille

    "Det Grafiske Voerk - The Graphic Works 1990-2002",
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     Peintre, sculpteur, poète, essayiste et théoricien danois, Ejler Bille participa au mouvement Cobra entre 1948 et 1950. Le catalogue raisonné des estampes d'Ejler Bille, pour la période concernée, a été établi par Hans Moestrup et co-édité par les Galeries Profilen (Aarhus) et Heede & Moestrup (Copenhague) en 2010. L'ouvrage, bilingue (danois et anglais) présente 81 références (n°100 à 181), estampes réalisées sur 13 années de création graphique de l'artiste, entre 1990 et 2002. L'auteur y répertorie essentiellement des lithographies, une vingtaine de gravures à l'eau-forte, quelques rares sérigraphies (8) et deux affiches. Les compositions graphiques caractéristiques d'Ejler Bille flottent librement dans un espace pictural sans bordures, sans doute sans limites. Il s'agit de créations où « l'ornement », loin de se dégrader au niveau d'une simple décoration, réintègrent la véritable oeuvre d 'art. Ejler Beetle, mort en 2002, était l'un des artistes danois les plus importants du 20ème siècle. C'était un coloriste remarquable qui utilisait la couleur comme couleur pure et son oeuvre est marquée d'une grande sérénité.

    Bissière Roger
    "Gravures et lithographies ", Musée des Beaux-Arts d'Agen, 2008

    Catalogue raisonné - Roger Bissière

    "Gravures et lithographies ",
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    Bien que ne revendiquant pas le terme de catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Roger Bissière, le catalogue présenté ici est une référence en ce domaine pour l'artiste. Cette publication très récente a été réalisée à l'occasion de l'exposition portant titre (du 8 novembre 2008 au 2 février 2009) organisée par le Musée des Beaux-Arts d'Agen. Les 52 estampes montrées et décrites, toutes en couleurs, ont été réalisées sur une période de plus de vingt ans, entre 1952 et 1963 : estampes originales et estampes d'interprétation (Marcel Fiorini, Marcel Durassier, Jean Pons, etc.). On y découvrira des lithographies, des gravures (eaux-fortes, vernis mous, aquatintes), des estampes exécutées selon des techniques mixtes, des bois gravés et des linogravures. Après un bref texte d'introduction, « Roger Bissière: la pudeur tranquille des choses essentielles », de Jean Vautrin, Louttre.B - fils de l'artiste et graveur lui-même reconnu - nous donne quelques précieuses indications sur le catalogue des gravures et lithographies qui suit. On lira, également avec intérêt, le texte de Daniel Abadie, « Son oeuvre », qui a été extrait de l'ouvrage « Bissière » (Ed. Ides et Calendes, Neuchâtel, 1986). « Chaque toile, chaque litho, est l'expression concrète d'un rayonnement, d'une chaleur, d'une aventure humaine, du voyage improbable d'un apprenti sorcier qui ose se dresser sans orgueil contre le néant, » écrit Jean Vautrin.
    Bo Lars
    "Estampes 1952-1999, essai", Ludmilla Balfour, en ligne, 2007.

    Catalogue raisonné - Lars Bo

    "Estampes 1952-1999, essai",
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    L'essai du catalogue raisonné des estampes de Lars Bo a été réalisé par sa fille, Ludmilla Balfour (elle-même graveure), en 2007 et mis en ligne sur internet avec un libre accès (http://www.larsbo.eu/). Il est la poursuite d'un travail initialement effectué par Doreen Bo, l'épouse de l'artiste. Il a pour but, bien évidement, de partager une meilleure connaissance de l'artiste et, à terme, d'aider à la création d'un catalogue raisonné complet et définitif. La section « Images » du site présente 327 références, dont 13 estampes dont les descriptions (titres, années, techniques, tirages) ne sont pas connues. Les références tiennent compte des variantes et des estampes réalisées pour les livres illustrés.
    On sait que l'artiste danois a réalisé plus de 400 estampes, essentiellement des gravures, et qu'il a collaboré à de très nombreux livres d'art (dont plusieurs ouvrages de Hans Christian Andersen). Son œuvre graphique est parfois d'inspiration surréaliste. Après s'être installé définitivement à Paris en 1947, il travaille la gravure, de 1948 à 1950, auprès de Johnny Friedlaender et d'Albert Flocon, puis à l'Atelier 17 de Stanley William Hayter.
    Lars Bo commence sa carrière de graveur et d'illustrateur en 1952 ; il s'y consacrera exclusivement à partir de 1959. Il présentera ses gravures, pour la première fois à Paris, en 1954. Outre en France, des expositions de son œuvres graphique ont été organisées en Grande-Bretagne, aux États-Unis et au Japon.
    Boccioni Umberto
    "The Graphic Work of Umberto Boccioni", Joshua C. Taylor, Ed. The Museum of Modern Art, New York, 1961.

    Catalogue raisonné - Umberto Boccioni

    "The Graphic Work of Umberto Boccioni",
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    Peintre et sculpteur de renommé internationale, l'artiste italien Umberto Boccioni est un représentant important du mouvement artistique du futurisme. Il fera la connaissance de Filippo Tommaso Marinetti, créateur du Futurisme, en 1905 et deviendra le théoricien de ce mouvement pictural. Les deux hommes se regrouperont plus tard avec d’autres artistes pour écrire les manifestes sur le futurisme. 
    Ce catalogue raisonné de l’œuvre graphique, publié en 1961par le MoMa (Musée d’Art Moderne) de New York, s'ouvre sur un texte de Joshua C. Taylor. Il répertorie les dessins et estampes réalisés par Umberto Boccioni ; l'ouvrage n'a pas la prétention d'être exhaustif, mais regroupe cependant un ensemble important de 317 œuvres (296 dessins et 22 gravures). Chaque œuvre, illustrée en noir et blanc et décrite, fait partie des collections Winston et de celle de la sœur de l’artiste, ou pour, quelques unes, de collections privées.
    L'ouvrage se referme sur une courte biographie de l'artiste.
    « Il n'y a qu'une loi pour l'artiste, c'est la vie moderne et la sensibilité futuriste », écrivait Umberto Boccioni
    On notera que certaines des œuvres reproduites - marquées par un astérisque dans le catalogue - ont aussi été exposées en 1961 et 1962, lors d’une exposition itinérante à New York, Détroit et Los Angeles.
    Ceux qui voudront consulter ce catalogue en pdf dans son intégralité peuvent se rendre à l'adresse suivante sur le site du MoMa : https://assets.moma.org/documents/moma_catalogue_3414_300062225.pdf
    Boni Paolo
    "Grafisculptures - Oeuvre gravé 1957-1970", par Gayzag Zakarian, Ed. Gayzag Zakarian, Paris, 1970

    Catalogue raisonné - Paolo Boni

    "Grafisculptures - Oeuvre gravé 1957-1970",
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    L'oeuvre gravé de Paolo Boni, "Grafisculptures - Oeuvre gravé 1957-1970", a été établi et publié par Gayzag Zakarian à Paris en 1970. L'auteur de ce catalogue raisonné répertorie 221 références, y compris les affiches de l'artiste, pour une période de 14 années de création graphique (1957-1970). La gravure, pour l'artiste, est une grande aventure dans laquelle il s'est lancé à corps perdu. Si l'artiste refuse tous les procédés traditionnels de la gravure, il métamorphose des reliefs sculptés en oeuvres en deux dimensions, transformant les qualités spécifiques des divers matériaux (cuivre, zinc, aluminium, etc) en valeurs graphiques, créant ainsi son propre langage. Paolo Boni assemble les fragments de métaux en des mosaïques compliquées, dans lesquelles ils s'emboîtent et s'entrelacent, jouant aussi avec le blanc du papier. Les métaux qu'il utilise peuvent être perforés, striés, gaufrés, martelés ou bosselés. L'artiste joue avec les pleins et les vides, le précis et le flou, les ombres et la lumière. Pour Boni, l'abstrait et le concret ne s'excluent nullement, et de l'un peut toujours sortir l'autre.

    Bonnard Pierre
    "Bonnard Illustrateur", par Antoine Terrasse, Ed. Adam Biro, Paris, 1988

    Catalogue raisonné - Pierre Bonnard

    "Bonnard Illustrateur",
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    Le catalogue raisonné des illustrations de Pierre Bonnard, « Bonnard, illustrateur », a été publié en 1988 par les Editions Adam Biro (Paris). Réalisé par Antoine Terrasse, le neveu de l'artiste, expert reconnu, l'ouvrage est la référence absolue en ce domaine. L'auteur y répertorie 59 entrées pour la période 1891-1947, entre la couverture « France-Champagne » - partition musicale pour une « valse de salon, pour piano » - et le double numéro de la revue Verve (Vol. V, n°s 17 et 18) ; en fin d'ouvrage, l'auteur répertorie également quelques publications inédites. On notera que plusieurs ouvrages réalisés par Antoine Terrasse portant le titre « Bonnard », illustrateur », seront publiés ultérieurement : Ed. Adetta (2002) et Ed. Ville du Cannet, 2005. En ce qui concerne cette dernière publication, à l'été 2005, fut organisée une exposition « Bonnard, illustrateur » à l'Espace Bonnard de la Ville du Cannet où vécut l'artiste ; l'ouvrage portant titre de l'exposition sera publié en collaboration entre la Ville du Cannet et le Conseil Général des Alpes-Maritimes. L'auteur traita le catalogue de l'exposition comme un véritable catalogue raisonné, répertoriant ici la somme des connaissances sur le sujet.
    "Bonnard Lithographe", par Claude Roger-Marx, André Sauret Ed., 1952

    Catalogue raisonné - Pierre Bonnard

    "Bonnard Lithographe",
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    Le catalogue raisonné « Bonnard, lithographe » a été établi par Claude Roger-Marx et publié par les Editions André Sauret (Monte-Carlo) en 1952. L’auteur y répertorie 98 lithographies de l’artiste. Les premiers travaux lithographiques de Pierre Bonnard furent réalisés entre 1890 et 1895 ; l’affiche « France-Champagne », n° 1 du catalogue, exerca une véritable fascination, provoquant une petite révolution dès son apparition sur les murs de Paris. Suivront des scènes de famillle, puis les 18 lithographies des « Petites scènes familères » (1893), premier ouvrage de l’artiste illustrant des chansons de Franc-Nohain mises en musique par Claude Terrasse, son beau-frère. Avec un égal bonheur, Bonnard réalisera des lithographies en noir ou en couleurs, faisant encore des affiches à la faveur d’une exposition, du lancement d’un livre ou d’une revue, « dessinant » son merveilleux quotidien, les salles où l’on mange, les lieux où l’on se baigne, la corbeille et ses fruits, la femme et le chien, le jardin et la mer, « La rue » et les maisons, le paysage du « Dernier reflet » ou « Deux enfants sur un banc ».
    "Bonnard sculpteur - catalogue raisonné", Anne Pingeot, Ed. Musée d'Orsay et Nicolas Chaudun, Paris, 2006

    Catalogue raisonné - Pierre Bonnard

    "Bonnard sculpteur - catalogue raisonné",
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    Le catalogue raisonné des sculptures de Pierre Bonnard, « Bonnard sculpteur », a été établi par Anne Pingeot et publié, en 2006, par les Editions du Musée d'Orsay et les Editions Nicolas Chaudun (Paris). Après avoir modelé des marionnettes pour « Ubu Roi » d'Alfred Jarry, l'artiste répond au souhait du célèbre marchand d'art Ambroise Vollard qui demande à des artistes de s'exprimer dans une technique qu'ils ne connaissent pas pour provoquer leur génie. L'étude des sculptures de Bonnard, on le découvrira, s'est transformée en véritable enquête. Après la mort de Vollard et pendant l'interminable procès de succession de Bonnard, rien n'a suivi un cours régulier. Les modèles de l'artiste sont dérobés et leur édition en bronze réalisée clandestinement. La misère de l'après-guerre, et particulièrement celle des sculpteurs, peut expliquer ces rebondissements successifs. Quinze sculptures ou parfois simplement projets de sculpture sont ici « pistés » et étudiés suivant les éléments connus par l'auteur à ce jour. « L'incursion de Bonnard dans le domaine de la sculpture, qui pour être brève, n'en demeure pas moins importante, » écrit Antoine Terrasse dans sa préface.
    "L'oeuvre gravé", par Francis Bouvier, Ed. Flammarion, Paris, 1981

    Catalogue raisonné - Pierre Bonnard

    "L'oeuvre gravé",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé de Pierre Bonnard a été publié par les éditions Flammarion en 1981, les textes sont de Francis Bouvet et la préface d’Antoine Terrasse, petit-neveu de l’artiste. Cet ouvrage de référence répertorie 525 œuvres sur papier, comprenant l’ensemble des lithographies et gravures originales de l’artiste, y compris son œuvre d’affichiste et d’illustrateur. C’est en 1891 que Pierre Bonnard réalise sa première affiche lithographique pour la maison « France Champagne », affiche qui va non seulement enthousiasmer Toulouse-Lautrec, mais décider ce dernier à s’engager dans cet art. Comme dans l’œuvre peint, les techniques sur papier « confirme le génie du peintre pour la notation immédiate d’une émotion » (A. Terrasse). Les dernières œuvres sur papier de l’artiste sont datées de 1945-46, sept gravures sur zinc non publiées.
    Boullaire Jacques
    "L'oeuvre gravé", Emmanuel Deschamps, Serie Plasticiens d'Outre-mer, Ed. Le Motu, Papeete, 1999

    Catalogue raisonné - Jacques Boullaire

    "L'oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné  de l'oeuvre gravé de Jacques Boullaire (1893-1976), 50 ans de gravure, a été établi par Emmanuel Deschamps et publié, dans la série « Plasticiens d'Outre-mer », par les éditions polynésiennes Le Motu à Papeete en 1999. L'oeuvre gravé de l'artiste est vaste, car il concerne plus de cinquante années de travail sur l'estampe, de 1924 jusqu'à sa disparition en 1976. Au cours de cette longue carrière, Jacques Boullaire a réalisé de nombreuses gravures sur bois, à peu près jusqu'en 1945, mais dès 1950, il a travaillé sur cuivre. C'est ainsi qu'au cours de cette longue période, il a gravé - en France métropolitaine et en Polynésie - plus de 250 estampes et illustré environ 40 livres. Dans un avertissement préalable, l'éditeur assume le fait que l'ouvrage n'est pas tout à fait exhaustif : certaines gravures n'ont pas été retrouvées, d'autres n'ont pas été retenues car trop personnelles, les ex-libris, quelques cartes de voeux et images religieuses ont été écartées. Les  oeuvres du présent catalogue raisonné ne sont pas présentées dans un ordre chronologique, mais en trois parties : L'oeuvre polynésienne, l'oeuvre métropolitaine présentée par thèmes (Paris, la Provence, la Bretagne, la Normandie, les portraits et diverses gravures non classifiables) et les livres illustrés.
    Boumeester Christine
    "L'oeuvre gravé", par J. Sireuil, Ed. Cercle d’Art, 1988

    Catalogue raisonné - Christine Boumeester

    "L'oeuvre gravé",
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    Situé en fin d’ouvrage, le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé de Christine Boumeester, compagne de vie d’Henri Goetz, a été éditée par les Editions Cercle d’Art (Paris) en 1988. Cet ouvrage de référence sur l’artiste répertorie - sur une période de près de cinquante ans, jusqu’en 1970 - un ensemble de 140 oeuvres imprimées sur papier ou estampes, comprenant l’ensemble des lithographies et gravures originales de l’artiste, y compris son oeuvre réalisé dans le cadre du livre illustré. L’ensemble des techniques nobles de l’estampes est utilisé : gravure, pointe sèche, eau-forte, aquatinte, gaufrage, roulette, pochoir au pastel, lithographie, bois gravé, sérigraphie, procédé Goetz. L’artiste s’est donnée avec maîtrise à l’art de l’estampe qu’elle appréciait particulièrement. C’est elle qui a incité son mari à s’exprimer par ce biais, avec le succès que l’on sait. Comme dans le domaine de la peinture et notamment de l’aquarelle, la précision subtile et délicate est sa marque.
    Braque Georges
    "Braque Lithographe", par Fernand Mourlot, Ed. Sauret, 1963

    Catalogue raisonné - Georges Braque

    "Braque Lithographe",
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    A mi-chemin entre ses gravures cubistes et la « Théogonie » (Suite Vollard), Georges Braque aborde la lithographie en 1921. D. H. Kahnweiler sera l’éditeur de sa première réalisation, une nature morte, « Verre et fruits ». Technique moins incisive que la gravure, la lithographie se rapproche sans doute plus de la peinture et donc de la couleur. La démarche de l’artiste en ce domaine sera pourtant spécifique ; ainsi, à l’opposé de la densité de ses tableaux, Braque jouera sur la transparence que lui autorise le papier. L’artiste aime à faire percevoir la couleur comme pure intensité, ainsi on notera que souvent la réalisation de ces lithographies nécessita un nombre considérable de « passages » : par exemple 13 passages se superposent pour certaines planches de « Lettra amorosa » (1963).
    "L'oeuvre graphique ", Ed. Gerd Hatje - La Guilde du livre (Lausanne, Suisse), 1961

    Catalogue raisonné - Georges Braque

    "L'oeuvre graphique ",
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    Le présent ouvrage, publié par les Ed. Gerd Hatje - La Guilde du livre (Lausanne, Suisse) en 1961, présente 101 estampes originales de l'artiste (lithographies, gravures à l'eau-forte) et 33 ouvrages illustrés d'estampes de Georges Braque. La réalisation de ce catalogue se base sur l'ouvrage « Georges Braque, oeuvre graphique originale » publié par Edwin Engelberts à l'occasion de l'exposition de l'oeuvre de Braque en ce domaine au Cabinet des Estampes du Musée d'Art et d'Histoire et à la galerie Nicolas Rauch, à Genève en 1958. L'ensemble des estampes présentées couvre la période 1908-1961. L'oeuvre graphique de Braque, comme l'oeuvre peint, se crée dans l'action ; l'artiste écrivit un jour : « Je ne fais pas ce que je veux, je fais comme je peux ». Braque s'adonne aux choses simples et les traite avec délicatesse et prudence. L'ensemble des oeuvres sur papier présentées ici est, bien évidemment, intégré dans le catalogue raisonné de référence établi par Dora Vallier (Ed. Flammarion, 1982), « Braque - L'oeuvre gravé ». L'ouvrage s'ouvre sur une préface de Werner Hofmann, dans laquelle celui-ci cerne les constantes qui dominent l'oeuvre entier de l'artiste, laissant l'artiste conclure : « Pour moi, il ne s'agit plus de métaphores, mais de métamorphoses ».
    "Les Donations Laurens", 2 Vol., Ed. Château-Musée de Dieppe, 1973 et 1974

    Catalogue raisonné - Georges Braque

    "Les Donations Laurens",
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    Dix ans après la disparition de Georges Braque, deux très importantes donations d'estampes de l'artiste furent réalisées - en deux temps et deux fois 50 oeuvres - au Château-musée de Dieppe, rappelant l'intimité établie entre Braque et les paysages de Normandie et plus particulièrement de Varengeville qu'il sut si bien « recréer sans les imiter ». Successivement en 1973 et 1974, un total de 100 estampes originales, eaux-fortes et lithographies, fut remis à cette institution ; très complèt et permettant d'approcher l'évolution de l'oeuvre graphique de l'artiste, cet ensemble, est décrit, oeuvre par oeuvre, dans deux volumes publiés en 1973 et 1974. Tous les thèmes chers à Braque y sont représentés, oiseaux bien sûr, mais aussi fleurs, natures mortes (dont les quatre « théières »), profils, chars. Cet ensemble de 100 estampes couvre le demi-siècle de création graphique de Georges Braque, entre 1907-1908 (« Nu », une eau-forte) et 1963 (une lithographie pour l'affiche « Lettera amorosa ») ; on en comprendra l'importance en se rappelant que Dora Vallier, l'auteur du catalogue raisonné de « L’oeuvre gravé de Georges Braque» (Ed. Flammarion, 1982), répertorie 192 estampes. « Il faut se contenter de découvrir, mais se garder d'expliquer » est une maxime tirée du « Cahier » de Georges Braque.
    "L’oeuvre gravé", par Dora Vallier, Ed. Flammarion, 1982

    Catalogue raisonné - Georges Braque

    "L’oeuvre gravé",
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    Etabli par Dora Vallier à partir des propres archives de Georges Braque, le catalogue raisonné de l’oeuvre gravé répertorie les gravures, pointes-sèches et eaux-fortes, les lithographies et les livres illustrés à tirage limité sur plus d’un demi-siècle de création graphique de l’artiste. L’ouvrage décrit 192 références, entre 1907 (« Nu » cubiste) et 1964 (« Les petites heures de Thouzon », de P. A. Benoit). En outre, un catalogue complémentaire – en fin d’ouvrage – réunit un ensemble d’estampes ou oeuvres d’interprétation publiées du vivant de l’artiste aux Editions Maeght et chez d’autres éditeurs, les livres à tirage limité qui comportent des illustrations de l’artiste réalisées par des procédés photomécaniques, les cartes de voeux de G. Braque.
    Brasilier André
    "L'oeuvre lithographié, 1958-1981", Roland Doschka, Ed. Michèle Trinckvel et Typo Reutlingen, 1982

    Catalogue raisonné - André Brasilier

    "L'oeuvre lithographié, 1958-1981",
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    Le catalogue raisonné des lithographies d'André Brasilier, « L'oeuvre lithographié, 1958-1981 », a été établi par Roland Doschka et co-publié par les Editions Michèle Trinckvel et Typo Editions Reutlingen en 1982. L'ouvrage réunit 3 langues (français, anglais - Catalogue of the printed graphic work -, allemand - Katalog des graphischen Werks -). Après une introduction de l'auteur, un avant-propos de Fernand Mourlot (qui mit le pied à l'étrier à Brasilier en matière de lithographie en 1958) et une préface de Charles Sorlier, Roland Doschka répertorie 157 lithographies originales de l'artiste sur une période de création graphique de 22 années (de 1958 à 1981). C'est au retour de son séjour à la Villa Médicis, à Rome, qu'André Brasilier, à l'occasion d'une exposition particulière à la Galerie Drouet (Paris), décida de faire sa première lithographie et poussa la porte de l'atelier Mourlot. Les paysages de son Anjou natal, comme son milieu familial, se retrouvent à la manière de leitmotifs dans toute l'oeuvre de l'artiste. L'ouvrage est clos par une notice biographique.
    Brauner Victor
    "Les livres illustrés", Michael Ilk, Ed. de l'auteur, 2009

    Catalogue raisonné - Victor Brauner

    "Les livres illustrés",
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    Le catalogue raisonné des livres illustrés par Victor Brauner a été établi par Michael Ilk et publié par ses soins en 2009. L'auteur répertorie 28 titres, méthodiquement décrit, par odre chronologique. La plupart de ces titres furent publiés entre 1924 et 1963, en éditions limitées, à Bucarest (10) et à Paris (12). Nombre d'entre eux sont d'une extrême rareté. Les illustrations de Victor Brauner - gravures à l'eau-forte, à l'aquatinte ou lithographies - furent la contribution de l'artiste aux publications de ses amis écrivains. Victor Brauner participa également à différentes publications collectives pour lesquelles il créa 11 estampes et publia en 1962, son propre recueil sous la forme d'un grand portfolio de 7 eaux-fortes (« Codex d'un visage »). L'ouvrage présenté ici ne mentionne ni les livres publiés après la mort de l'artiste en 1986 (estampes d'interprétation d'après des oeuvres originales de l'artiste), ni les non commercialisés que Victor Brauner réalisa en quelques exemplaires pour ses amis. Après avoir illustré ses amis roumains dans une première période, Victor Brauner s'installa définitivement en France en 1938. Là, il illustrera les textes de ses amis surréalistes parisiens (Rius, Mabille, Péret, Soupault, Goll, puis plus tard Luca, Alexandrian et Jouffroy).
    Brown James
    "« James Brown - Impressions 1986-1999 »", Cécile Monteiro-Braz, Franck Bordas et Bouquinerie de l'Institut Editeurs, Paris, 2000.

    Catalogue raisonné - James Brown

    "« James Brown - Impressions 1986-1999 »",
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    James Brown a atteint le sommet de sa reconnaissance dans les années 1980 avec une peinture semi-figurative et proche de l'art rupestre. Arrivé en France en 1973, le peintre américain James Brown suit les cours de l'école supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il restera huit années dans la capitale, fréquentant assidûment le Musée des Arts africains et océaniens et le Musée du Louvre entre autres. Que ce soient ses premiers travaux où domine la figure humaine ou ses impressions abstraites, l'œuvre gravé de James Brown est mené par le trait du dessin. Celui-ci se refuse d'être la copie d'une réalité extérieure. La ligne, repassée plusieurs fois ou interrompue par endroits, ôte au dessin toute tendance à la description et à l'illustration. L’aspect minimal et la transparence des dessins de Brown, sur papier ou pierre lithographique, laissent un espace ouvert à la méditation.
    Le catalogue raisonné des estampes de James Brown pour la période 1986-1999, « James Brown - Impressions 1986-1999 », a été établi par Cécile Monteiro-Braz et co-publié par Franck Bordas - Bouquinerie de l'Institut, tous deux éditeurs à Paris, en 2000. Après une préface de Yves Peyré (« Un léger déplacement du vertige ») et quelques notes liminaires, l'auteur répertorie pas moins de 404 références. Treize années d'un travail intensif et régulier aboutissant à, donc, plus de quatre cents éditions réalisés dans des ateliers d'Amérique, d'Europe et d'Asie. Cet ouvrage répertorie exclusivement les éditions originales, c'est-à-dire celles dont la matrice est gravée de la main-même de l'artiste, toutes numérotées et signées. Chaque référence, numérotée de 1 à 404 et correspondant à une estampe (lithographie, gravure, eau-forte, aquatinte, sérigraphie, pochoir), un livre ou une série de monotypes, fait l'objet d'une notice détaillée ; les suites issues d'un ouvrage sont répertoriées sous le même numéro que le livre lui-même. De même, les séries d'estampes réalisées par l'artiste sur un même thème au cours de sessions de travail particulières font l'objet d'un titre générique figurant en tête d'énumération.
    Bryen Camille
    "L’oeuvre gravé et lithographié", par J. Loyer, Ed. Nouvelles de l’Estampe, 1975

    Catalogue raisonné - Camille Bryen

    "L’oeuvre gravé et lithographié",
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    C’est en 1948, période où il organise la première exposition « abstraction lyrique » que Camille Bryen entame son œuvre graphique. Le Catalogue des estampes de l’artiste (« L’œuvre gravé et lithographié de Bryen »), a été établi par Jacqueline Loyer et publié en 1975, dans le cadre de la Revue « Les Nouvelles de l’Estampe », n° 22 de juillet-août 1975. L’auteur de ce travail de référence sur l’oeuvre graphique de l’artiste répertorie 144 œuvres originales imprimées sur papier sur une période de près de 30 ans (de 1948 à 1975), y compris les estampes ayant été réalisées dans le cadre de l’affiche, du portefeuille ou du livre illustré - Bryen intervient de façon individuelle ou dans un cadre collectif (par exemple « Poésie des mots inconnus », Ed. Iliazd, 1949) -. L’artiste va s’exprimer selon plusieurs techniques : gravures à la pointe-sèche, eaux-fortes et burins, lithographies - la première en 6 couleurs en 1952 -. Bryen illustrera sa propre poésie et celle d’autres poètes : Pierre-André Benoit, Romain Weingarten, René Bordier, René Crevel ou encore Jean Arp et Michel Butor.
    Buchholz Wolff
    "Werkverzeichnis der Druckgraphik 1957-1971", R. Pyroth, Verlag Artoma-Galerie Thomas Levy, Hambourg, 1971.

    Catalogue raisonné - Wolff Buchholz

    "Werkverzeichnis der Druckgraphik 1957-1971",
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    Ouvrage en langue allemande. Après des textes d'introduction de Günther Ladstetter (« Die Entwicklung der Figur im graphichen Werk des Wolff Buchholz »), de Rolf Pyroth (« Die Technik im graphichen Werk des Wolff Buchholz »), une courte biographie, une bibliographie succincte, ainsi que les listes des expositions personnelles ou collectives de l'artiste et des musées ou institutions possédant des œuvres, les auteurs répertorient le très important ensemble des estampes réalisées par l'artiste sur une période de création graphiques de 15 années (de 1957 à 1971).
    Wolff Buchholz a essentiellement réalisé des gravures à l'eau-forte (parfois en couleurs), souvent enrichies d'aquatinte, de vernis mou et autres techniques mixtes ; on découvre également des linogravures, des bois gravés, quelques très rares sérigraphies, et aussi de nombreuses lithographies à partir du début des années 60. L'artiste est mort en 2010.
    Buffet Bernard
    "Buffet Graveur, 1948-1980", Ed. de Francony et Galerie M. Garnier, 1983

    Catalogue raisonné - Bernard Buffet

    "Buffet Graveur, 1948-1980",
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    Le présent volume, consacré aux gravures de Bernard Buffet pour la période 1948-1980, a été publié en 1983 par une collaboration des éditions d’Art de Francony (Nice) et de la Galerie Maurice Garnier. L’ouvrage constitue, pour les périodes étudiées, avec les deux volumes consacrés aux lithographies (publiés en 1979 et 1987) le catalogue raisonné complet de l’œuvre graphique. Après une préface de Maurice Rheims, l’ouvrage répertorie 363 gravures originales, estampes isolées ou réalisées dans le cadre du livre illustré. On sait que dans ce dernier domaine, Bernard Buffet illustrera des ouvrages de Lautréamont (Les Chants de Maldoror, avec 125 planches), de Jean Giono, de Jean Cocteau, des poèmes de Baudelaire, des pages choisies de Cyrano de Bergerac, L’enfer de Dante, ou encore « La passion du Christ » d’après les Evangiles. Comme pour son œuvre peint ou pour son œuvre lithographié, l’œuvre gravé de Bernard Buffet est singulier ; détesté ou adoré.
    "Buffet Lithographe I", par Charles Sorlier, Ed. M. Trinckvel Draeger, 1979

    Catalogue raisonné - Bernard Buffet

    "Buffet Lithographe I",
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    Bernard Buffet est un artiste aussi profondément admiré par certains que détesté par d’autres. En exergue du présent volume I du Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de l’artiste consacré aux lithographies, on peut lire ce que déclara un jour Buffet : « La haine dont je suis entouré est pour moi le plus merveilleux cadeau que l’on m’ait fait. Je n’ai à ménager rien ni personne. Peu de gens peuvent en dire autant ». Etabli par Charles Sorlier, le présent ouvrage répertorie 325 œuvres imprimées sur papier de l’artiste pour la période 1952-1979, lithographies, y compris - en fin d’ouvrage - les œuvres d’interprétation gravées par Charles Sorlier d’après et sous la direction de l’artiste (n°s 302 à 325). Si l’on découvre de nombreuses œuvres isolées, on découvrira également que nombre de ces estampes furent réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portfolio. Dans sa préface, Sorlier écrit : « Pour Bernard Buffet seul l’atelier compte, qu’il y fasse de la gravure ou de la peinture, il y travaille, sans relâche, parfois douze heures par jour, guidé par un impérieux besoin de création ». Par ailleurs, un volume particulier a été réalisé sur les gravures de l’artiste.
    "Buffet Lithographe II", par Charles Sorlier, Ed. A. Sauret, Monte-Carlo, 1987

    Catalogue raisonné - Bernard Buffet

    "Buffet Lithographe II",
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    Après un premier volume, paru en 1979 aux éditions Draeger (Paris), le second volume du Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Bernard Buffet consacré aux lithographies sera publié chez André Sauret (Monte-Carlo) en 1987. Etabli également par Charles Sorlier, l’ouvrage porte sur la période 1979-1986, l’auteur répertoriant 173 estampes originales de l’artiste et 17 estampes d’interprétation gravés par Charles Sorlier d’après Buffet et sous sa direction. On notera que l’ensemble des deux volumes porte sur 515 références d’estampes lithographiques, qui constitue une œuvre graphique importante en ce domaine. En outre, le présent volume II contient un court additif au volume I qui correspondait à la période 1952-1979. « Etrange destin que celui de Bernard Buffet : ignoré d’une certaine critique parisienne, vilipendé par les uns, adoré par les autres, ce provincial connu internationalement persista à construire une œuvre, », écrit dans sa préface Sylvie Forestier, conservateur des Musées Nationaux. Par ailleurs, un volume particulier a été réalisé sur les gravures de l’artiste.
    "Gravures, engravings, Radierungen -1948-1967", Gerhard F. Reinz, Ed. Orangerie, Cologne, Tudor Publishing Company, New York, 1968.

    Catalogue raisonné - Bernard Buffet

    "Gravures, engravings, Radierungen -1948-1967",
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    Le catalogue raisonné des gravures de Bernard Buffet, « Gravures, engravings, Radierungen – 1948-1967 », regroupe les œuvres de l’artiste réalisées sur ses vingt premières années de graveur. L’ouvrage a été co-édité par Orangerie, Cologne et Tudor Publishing Company, New York, 1968. Introduit par un texte de l’auteur (Gerhard F. Reinz) qui analyse l’art de graver de Bernard Buffet, celui-ci répertorie 296 gravures pour cette période de 20 années de création graphique (de 1948 à 1967) de Bernard Buffet, l’artiste utilisant les différentes techniques de la gravure (pointe sèche, eau-forte, etc). On notera que ce texte préliminaire est proposé en trois langues (français, anglais et allemand). Le présent catalogue raisonné des gravures concerne, bien évidemment, les gravures individuelles et les gravures réalisées dans le cadre du livre illustré (Les chants de Maldoror, L’enfer de Dante, La Passion du Christ, etc).
    Le présent ouvrage est le premier catalogue raisonné des gravures de Bernard Buffet, édité quelques 15 ans avant celui qui fait aujourd’hui référence sur le sujet (« Buffet Graveur, 1948-1980 »), co-édité en 1983 par les Editions d’Art de Francony, Nice, et la Galerie Maurice Garnier, Paris, qui présente les 363 gravures de l’artiste.
    Burri Alberto
    "Grafica opera completa", par C. Sarteanesi, Ed. Petruzzi, Pérouge (Italie), 2003

    Catalogue raisonné - Alberto Burri

    "Grafica opera completa",
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    Le catalogue de l’oeuvre graphique d’Alberto Burri porte sur une période de création de l’artiste entre 1957 et 1980. Publié en 2003 par les Editions Petruzzi (Pérouge, Italie) et la « Fondazione Palazzo Albizzini », l’ouvrage répertorie l’ensemble des estampes originales de l’artiste, soit 185 œuvres imprimées sur papier et 4 affiches. Alberto Burri avait avant tout la conviction entêtée d’avoir toujours maintenu la même qualité de travail dans chaque phase de sa péripétie artistique, du début des années Quarante jusqu’à la moitié des années 90, c’est-à-dire à la fin de sa vie. Pour Alberto Burri, l’art aura été un choix existentiel qui a changé à jamais sa vie ; sa motivation se situe dans une légitimation éthique de l’acte créatif. L’œuvre graphique de l’artiste, bien évidemment, correspond parfaitement à son engagement d’homme. Dans ce domaine, Burri choisit essentiellement la technique de la sérigraphie afin d’obtenir des aplats lisses et veloutés. Il ne négligera pourtant pas le travail au trait pour les lithographies, les eaux-fortes et aquatintes pour de magnifiques gravures, mariant parfois les techniques ou en utilisant de nouvelles comme, par exemple, le collage de feuille d’acétate (Série Bianchi e neri, 1967), de feuilles d’or, ou encore le collage de découpage peint.
    Bury Pol
    "Bibliographie raisonnée", Frédérique Martin-Scherrer, Ed. Aux dépens de l'auteure, 2020.

    Catalogue raisonné - Pol Bury

    "Bibliographie raisonnée",
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    Fruit de plusieurs années de recherche, l'auteure Frédérique Martin-Scherrer, Docteur ès Lettres, présente et décrit les publications de Pol Bury parues sous enseigne éditoriale ou dans des périodique (textes et/ou estampes), le tout sur plus de 65 années, de 1940 à 2017. L'auteure répertorie 272 références, dont de nombreuses sont montrées par des photographies couleurs. Ce document s'ouvre sur la revue « L'invention collective n°1 » de 1940 dans laquelle apparaissait une toile (« L'aventurière, 1939) de l'artiste, pour se refermer sur « La Flèche et l’Escargot », fac-similé d’un manuscrit original avec des illustrations de l’auteur (Editions Le Daily-Bul, mai 2017). En outre, on trouvera, p. 88, une annexe avec les entretiens de l'artiste dans la presse écrite. Il s'agit ici, sur 92 pages d'une édition aux dépens de l'auteure, d'une véritable mine d'informations, de précisions et autres corrections à des erreurs fréquemment commises. Outre sa version papier, ce riche travail est en accès libre sur internet ; voici l'adresse du lien direct :
    https://portail-collections.imec-archives.com/medias/customer_166/MEDIAS_INTERNET/PDF_ir/BRY_Bury_bibliographie_raisonnee.pdf

    "Les fontaines", Jean-Paul Ameline, Ed. Louis Carré & Cie, Paris, 2006

    Catalogue raisonné - Pol Bury

    "Les fontaines",
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    Le catalogue raisonné des fontaines de Pol Bury a été publié en 2006 par les Editions Louis Carré & Cie (Paris). L'auteur, Jean-Paul Ameline (ancien conservateur du Musée d'Orsay) répertorie 58 fontaines. Elles ont été réalisé par la l'artiste sur une période de 35 années de création, entre 1969 et 2004. Le tout premier ouvrage publié sur les fontaines de Bury sera écrit par Pierre Descargues en 1986 ; comme l'indique celui-ci, l'eau interviendra pour la première fois dans une sculpture de l'artiste en 1969, eau qui n'est pas encore utilisée comme énergie mais en tant qu'élément perturbateur d'un mouvement. La première fontaine à énergie hydraulique sera réalisée sept ans plus tard (fin de l'année 1976). A partir de 1976, Pol Bury réalisera douze premières fontaines à cylindres sur le même principe (1977-1983) : en acier corten puis en acier inoxydable (plus rarement en cuivre patiné), elles sont constituées de cylindres de métal brossé, coudés et articulés et sont animés par la circulation de l'eau. Les fontaines à sphères voient le jour en 1983, héritant des formes des compositions des sculptures de l'artiste antérieures à 1976. Ces dernières marquent une grande évolution dans le travail de Bury, le mouvement des sphères est discret, presque imperceptible et l'écoulement de l'eau n'est jamais ostentatoire. Viendront encore les fontaines à sphères sur cylindres, la première de ce type apparaissant à Nice en 1987. Sur ce thème, Pol Bury répondra à de multiples commandes publiques entre 1987 et 2004 (Séoul, Clichy/Seine, St Tropez, Los Angeles, Bruxelles, Saint_Paul-de-Vence, etc). "Pol Bury, utopiste impénitent, n'a jamais cessé de rêver à un autre monde !" écrit Jean-Paul Ameline
    "Les sculptures",
  • C
    Campigli Massimo
    "Opera grafica", par F. Meloni & L. Tavola, Ed. Graphis Arte, 1995

    Catalogue raisonné - Massimo Campigli

    "Opera grafica",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre graphique 1930-1969, lithographies et gravures, de Massimo Campigli a été établi par F. Meloni et L. Tavola. Publié par les Editions Graphis Arte de Livourne en 1995, l’ouvrage – en langue italienne - répertorie 218 œuvres imprimées sur papier sur les quarante années de création de l’artiste en ce domaine. Les estampes gravées sont très rares dans l’œuvre graphique de Campigli, puisque l’on ne trouve que 18 gravures originales de l’artiste, 16 eaux-fortes et 2 pointes sèches (1938) ; si l’on remarque 3 gravures à l’eau-forte dans les années 1931-32, la plupart des gravures aura été réalisée en 1965 qui en compte 12. On notera cependant que le catalogue raisonné se termine par une eau-forte et aquatinte n° 218, « Finestre ». Massimo Campigli aura réalisé la quasi-totalité de son œuvre graphique sur la pierre lithographique. En outre, l’artiste a travaillé sur plusieurs ouvrages, livres illustrés, illustrant entre autres des auteurs ou poètes tels Verlaine, Gide ou Jean Paulhan.
    Capogrossi Giuseppe
    "Das graphische Werk ", par Ulrike von Hase-Schmundt, Erker Verlag, St Gallen, 1982

    Catalogue raisonné - Giuseppe Capogrossi

    "Das graphische Werk ",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Giuseppe Capogrossi, « Das graphische Werk » a été publié par les Editions Erker (St Gallen) en 1982. Cet ouvrage , en langue allemande, couvre la création graphique de l'artiste sur 29 années, de 1944 à 1972 (année de la disparition de l'artiste). Avant la création régulière d'estampes à partir de 1950 dans le style qui le rendit célèbre, l'artiste publia en 1944, un portfolio de 11 lithographies figuratives (« Donne »). Hors l'ouvrage cité, l'auteur, Ulrike von Hase-Schmundt, répertorie 110 estampes, pour l'essentiel des lithographies, mais aussi des zingographies, quelques gravures et sérigraphies, des linogravures et des bois gravés, plusieurs estampes en relief. Nombre d'estampes furent réalisées par Capogrossi dans le cadre du livre illustré ou du portfolio. Comme dans son oeuvre peint, dès 1950, Capogrossi construit ses estampes autour d’un signe unique qu’il répète indéfiniment et qu’il nomme « morphène ». Le thème devient unique, il sera décliné dans toutes ses compositions et rythmes dans de multiples combinaisons, devenant une sorte d’écriture visuelle personnelle. Avec Lucio Fontana et Alberto Burri, Capogrossi aura une importance considérable dans le paysage italien de l'informel.
    Cargaleiro Manuel
    "Cerâmicas, 1950-1999 ", Ed. Fondation Manuel Cargaleiro, 1999

    Catalogue raisonné - Manuel Cargaleiro

    "Cerâmicas, 1950-1999 ",
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    Après la récupération de l’art de la céramique portugaise par Jorge Barradas (1894-1971), de jeunes artistes comme Manuel Cargaleiro s’intéressent à la peinture de l’azulejo et à l’exploitation de la plasticité de la terre cuite et des qualités insoupçonnées des matériaux. Le catalogue raisonné « Cerâmicas, 1950-1999 » de Manuel Cargaleiro a été publié par la Fundaçâo (Fondation) de l'artiste en 1999. Ouvrage bilingue, portugais et anglais, répertorie l'ensemble des céramique réalisé par l'artiste sur une période de près d'un demi-siècle : panneaux d'azulejos (120 références) et plaques de céramique (20 références), pièces uniques peintes par Cargaleiro. A une exception près, l'ensemble de ces oeuvres furent réalisé dans l'atelier Viuva Lamego. L'ouvrage est, entre autres, accompagné d'un interview de l'artiste réalisé à Lisbonne, d'une biographie et d'une importante bibliographie. Nombre des oeuvres céramiques conçues par Cargaleiro le furent, au fil des ans, à la suite de commande pour différents espaces architecturaux, enrichissant cours, jardins, places pour lesquels ils furent imaginés. « Manuel Cargaleiro est un céramiste fondamental pour l’histoire de l'azulejo, » dit Paulo Henriques, le directeur du Musée National Portugais du “Azulejo”(MNA). L'artiste, entre autres, a réalisé la station de métro Parque (Lisbonne), et la station de métro Champs-Élysées Clemenceau (Paris).
    "Obra Gravada 1957-2003", Ed. Fundaçao Manuel Cargaleiro, 2003

    Catalogue raisonné - Manuel Cargaleiro

    "Obra Gravada 1957-2003",
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    Le Catalogue Raisonné de l’oeuvre graphique, « Obra Gravada », de Manuel Cargaleiro a été publié en 2006 au Editions ACD et édité avec l’aide de la fondation de l’artiste. Cet ouvrage de référence sur l’oeuvre graphique de l’artiste, en langue portugaise, répertorie 189 estampes sur une période de près de 50 ans, entre 1957 et 2003, comprenant l’ensemble des sérigraphies, lithographies et gravures originales de l’artiste. On recense 31 lithographies originales et on y découvre également 27 gravures au burin (taille douce), gravures réalisées tout au fil du temps, ainsi que 8 planches imprimées dans la technique du pochoir, cette dernière technique apparaissant chez l’artiste à partir de 1989. On notera que la technique de la sérigraphie aura été largement utilisée par l’artiste dans son œuvre imprimée, comme l’on remarquera le très grand nombre de couleurs souvent utilisées par Cargaleiro pour « satisfaire son expression ». Le maître de l’Azulejo (carreaux de faïence), attache une grande importance aux différents domaines de sa création ; l’oeuvre graphique en fait partie.
    Carzou Jean
    "Graveur et Lithographe", Vol I et II, Editions d'Art de Francony, Nice, 1971

    Catalogue raisonné - Jean Carzou

    "Graveur et Lithographe",
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    Les deux volumes du catalogue raisonné des estampes de Jean Carzou,  "Graveur et Lithographe", ont été publié, en 1971, par les Editions d'Art de Francony à Nice. L'ouvrage est publié en une seule version  trilingue (français, anglais et allemand) et le catalogue raisonné proprement dit est établi par Maguy Furhange qui en assure également l'introduction. Le volume I porte sur la période 1948-1962 et contient 85 références. Le volume II porte sur la période 1963-1968 et contient 200 références ; ce second volume est accompagné d'un addenda au volume I avec 8 nouvelles estampes et des compléments d'information  pour 11 des 85 premières estampes décrites. L'ensemble propose donc 293 références pour une période de 21 années de création graphique (de 1948 à 1968). « Quand, en 1950, j'entrais en relation avec Pierre Cailler, dès ma première lithographie, j'ai été saisi d'une véritable passion - racontait Carzou -. J'aime à improviser sur la pierre. J'aime y faire un dessin très poussé. Bien sûr, les couleurs ensuite viennent tout enrichir. . . . . Le noir joue pour moi un rôle extrêmement important car je pense d'abord "dessin" ». Jean Carzou travailla sur des atmosphères mi-fantastiques, mi-réelles, composa un monde imaginaire et mystérieux ; d'un passé lointain ou peut-être du futur?  

    Cassatt Mary
    "Graphic work", par A. D. Breeskin, Ed. H. Bittner, New York, 1948 et ré-Ed. Smithsonian Institution Press, Washington, 1979

    Catalogue raisonné - Mary Cassatt

    "Graphic work",
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    Le catalogue raisonné, en langue anglaise, des estampes de Mary Cassatt, "Graphic work", a été établi par Adelyn Dohme Breeskin et publié à l'origine par les Editions H. Bittner à New York en 1948. Une ré-édition, en 1979, a été éditée par le Smithsonian Institution Press de Washington. Après une introduction, « Mary Cassatt : sa vie et son oeuvre », et divers courts chapitres d'aide à la compréhension de l'ouvrage, l'auteur du catalogue raisonné proprement dit répertorie 220 estampes de l'artiste pour une période de 33 années de création graphique, entre 1878 et 1910. On y découvre les différentes techniques utilisées par Mary Cassatt : pointes sèches, eau-fortes, vernis mous, aquatintes, estampes en couleurs par différents processus de colorisation, lithographies. Son oeuvre graphique, comme son oeuvre peint, souvent rattachée à l'impressionnisme, doit surtout être comparée à celle produites par la génération des peintres post-modernistes ou des Nabis. Le sens des couleurs et sa recherche du réalisme de Mary Cassatt ne sont pas incompatible avec une forme de lyrisme et de sentimentalisme qui lui sont propre. En 1890, la visite d'une exposition sur la gravure japonaise, en compagnie de Degas, est l'occasion pour elle d'un infléchissement dans son art. Mary Cassatt tombe en admiration devant les œuvres d'Utamaro et Toyokuni ; elle travaille la gravure sur cuivre et l'exposition lui inspire une série d’estampes en couleurs. Lors de sa première exposition particulière chez Durand-Ruel en 1891, elle expose ainsi 10 de ses eaux-fortes. Celle-ci sera suivie de quatre autres chez Durand-Ruel, et chez Ambroise Vollard. C'est durant la période de 1890-1910 qu'elle atteint le sommet de son art.

    Cassigneul Jean-Pierre
    "Oeuvre gravé 1965-1975", Charles Sorlier, Ed. A. C. Mazo et Cie, Paris, 1976.

    Catalogue raisonné - Jean-Pierre Cassigneul

    "Oeuvre gravé 1965-1975",
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    « Dormeur, ou rêveur éveillé, Cassigneul dans sa démarche rejoint la pensée de Proust à la recherche du temps perdu…» écrit Charles Sorlier.
    Le premier catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Jean-Pierre Cassigneul concerne l'oeuvre graphique de l'artiste jusqu'en 1975 ; établi par Charles Sorlier, il a été tiré à 3500 exemplaires, dont 2000 réservés à la Galerie Tamenaga à Tokyo.
    Le catalogue raisonné est précédé par un texte de Charles Sorlier, et une photographie de Claude Ohm prise dans l’atelier Mourlot. 
    L'ouvrage propose la compilation de dix années de création graphique de l'artiste, de 1965 à 1975, soit un ensemble de 107 estampes réalisées sur cette période ; on découvrira principalement des lithographies et quelques gravures (pointe sèche ou eau-forte). Toutes les lithographies reproduites dans cet ouvrage ont été tirées sur les presses de l’atelier Mourlot à Paris.
    On notera que chaque référence est numérotée de 1 à 107 et décrite : titre, format papier et illustration, technique, nombre de couleurs utilisées, tirage, éditeur, imprimeur.
    Cet ouvrage permettra de découvrir l'évolution du travail de l'artiste au fil des ans, de sa première lithographie exécutée, « De dos » (1965), à la dernière répertoriée, « Les trois parapluies ». On y découvrira également les cartes de vœux de l'artiste et les albums réalisés dans cette période.
    D’autres ouvrages répertoriant les lithographies de Jean-Pierre Cassigneul ont été publiés ultérieurement :
    « Cassigneul lithographe », volume I et II. Alain Weill et Charles Zalber, Editions de Francony, Nice, 1986.
    « Cassigneul - Lithographies 1989-1996 », éditions Mizo-Lebouc, Paris et Makiko Takahashi, Tokyo, 1997.
    Castellani Enrico
    "Opera Grafica 1960-1993", Leonardo Magini, La Edizione, Corraini Ed., Mantova

    Catalogue raisonné - Enrico Castellani

    "Opera Grafica 1960-1993",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique d'Enrico Castellani a été réalisé par Leonardo Magini, et édité par La Edizione Corraini (Mantova, Italie) en 1996. Rédigé en italien, ce catalogue reprend, sauf erreur ou omission (note de l'éditeur), l'entière production graphique de l'artiste sur 36 années de création graphique, de 1960 à 1995. Au total, 50 estampes sont ici reproduites, en couleur ou en noir et blanc, et décrites par l'auteur. On notera que la première gravure ,« Cordonatura », a été réalisée en 1960 pour un livre avec un collectif d'artistes, « La lune en rodage », auquel participaient également Hans Arp, Jean Cocteau, Max Ernst, Lucio Fontana, parmi d'autres. La seconde gravure date elle de 1963 et a été édité pour l'ouvrage « 10 anni di attività della galleria Schwarz » pour lequel d'autres artistes majeurs collaboreront comme Magritte, Man Ray, Hans Arp ou Marcel Duchamp. Enrico Castellani produira ainsi seulement une à deux estampes par an, utilisant différentes techniques dans sa palette d'expression : gravure, impression à sec, sérigraphie, lithographie. L'ouvrage comprend : un texte d'introduction de Leonardo Magini, une bibliographie de l'artiste, ainsi qu'un descriptif détaillé de chaque estampe réalisée par l'artiste, comprenant le titre, l'année, la technique, les dimensions, le tirage, les indications d'éditeur et d'imprimeur. Il s'agit véritablement de l'ouvrage de référence concernant l'oeuvre graphique d'Enrico Castellani.
    Caulfield Patrick
    "The Complete Prints 1964-1999", Kathleen Dempsey, Ed. Alan Cristea Gallery, Londres, 1999

    Catalogue raisonné - Patrick Caulfield

    "The Complete Prints 1964-1999",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Patrick Caulfield a été réalisé en 1999 par Kathleen Dempsey et publié par la Galerie Alan Cristea à Londres. L'ouvrage s'ouvre sur une préface d'Alan Cristea, suivie d'un long texte de Mel Gooding (« Patrick Caulfield: The Prints »), critique d'art et spécialiste de l'artiste. L'auteur répertorie 90 références pour cette période 36 années de création graphique, de 1964 et « Ruins », une première sérigraphie, à 1999 et « Les Demoiselles d'Avignon vues de Derrière », la dernière sérigraphie de Patrick Caulfield. La  totalité des estampes de l'artiste a été réalisée dans la technique de la sérigraphie, à l'exception d'une lithographie (« Two Fish on a Plate », 1999). On notera que l'artiste a largement travaillé par séries, souvent dans le cadre du portfolio et que l'éditeur du présent ouvrage est le plus souvent lui-même l'éditeur des estampes de l'artiste. Le présent ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition « Patrick Caulfiel's prints » à la Galerie Alan Cristea qui s'est ouverte en févier 1999.

    Cayol Pierre
    "L'oeuvre graphique 1959-2012", Patrick Bertrand, Ed. Galerie M. Champetier, Cannes, 2012

    Catalogue raisonné - Pierre Cayol

    "L'oeuvre graphique 1959-2012",
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    L'oeuvre graphique de Pierre Cayol, homme du Sud s'il en est, est à ce jour constitué de 153 estampes pour une période de 53 années de création graphique :  lithographies, gravures (eaux-fortes et pointes sèches) et linogravures. Si nombre d'entre elles sont des estampes indépendantes, on notera que soixante-huit ont été conçues dans le cadre des vingt-six livres réalisés en collaboration avec des poètes. C'est dire, d'emblée, toute l'importance que l'artiste porte au livre et, par-delà, au partage avec ses amis poètes et écrivains. Accessible à tous, « Pierre Cayol - oeuvre graphique 1959-2012 » est l'un des tous premiers catalogues raisonnés d'estampes proposés sur Internet. Il aura l'avantage de pouvoir être lu sous différents angles croisés, permettant au lecteur sa propre approche de l'oeuvre de l'artiste. Le lira-t-on dans l'ordre de la numérotation?  Dans un ordre chronologique? Voudra-t-on regrouper les oeuvres par année de création? Par technique ? Consultable gratuitement par tous, montrant les oeuvres par des images en haute définition, ce type de catalogue raisonné - qui n'a de « virtuel » que le nom - pourra être complété, modifié, enrichi par de nouveaux éléments retrouvés, augmenté par les futures nouvelles oeuvres de l'artiste. Voici le lien qui vous permettra de le consulter : CR Pierre Cayol.

    Celan-Lestrange Gisèle
    "Katalog der Werk - Catalogue de l'oeuvre", Ute et Klaus Bruckinger, Ernst Wasmuth Verlag, Tübingen - Berlin, 2009.

    Catalogue raisonné - Gisèle Celan-Lestrange

    "Katalog der Werk - Catalogue de l'oeuvre",
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    Ouvrage bilingue (allemand-français), le catalogue raisonné de l'oeuvre de Gisèle Celan-Lestrange, œuvre graphique et œuvre sur papier (aquarelle, pastel, gouache et dessin), a été établi par Ute et Klaus Bruckinger, et publié, en 2009, par Ernst Wasmuth Verlag, Tübingen - Berlin. L'ouvrage s'ouvre par plusieurs textes d'introduction et de présentation sur l'artiste, sur son œuvre et sur le fonds posthume.
    Concernant l'oeuvre graphique, de la page 82 à la page 187, les auteurs répertorient 220 références pour une période de plus de 30 années de création, courant de l'année 1954 à l'année 1986. L'artiste entama son travail de graveur en 1953, juste après son mariage avec le poète Paul Celan. Oeuvre graphique réalisé par la gravure, exclusivement en noir et blanc (à l'exception d'une planche de 1954), on y suit l'évolution du style toujours épuré de l'artiste, ses thèmes sur la nature ; ce n'est pas un hasard si souvent les titres de ses œuvres évoquent le cosmos, l'espace et son irréalité, le jeu des univers possibles et des éléments fondamentaux : l'eau, l'air ou la pierre.
    Conventionnellement, cet ouvrage magnifique et incontournable sur l'oeuvre de Gisèle Celan-Lestrange se referme par des annexes : repères biographiques enrichis de nombreuses photographies, liste des expositions personnelles et collectives, bibliographie.
    César Baldaccini
    "Catalogue raisonné 1947-1964", Vol. I, par Denyse Durand-Ruel, Ed de la Différence, 1994

    Catalogue raisonné - Baldaccini César

    "Catalogue raisonné 1947-1964",
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    Le volume I du Catalogue Raisonné de César répertorie l’ensemble de l’œuvre de l’artiste sur la période allant de 1947 à 1964. L’ouvrage a été publié en 1994 par les Editions de la Différence (Paris). Etabli par Madame Denyse Durand-Ruel, préfacé par Pierre Restany, ce premier volume présente toutes les facettes des créations de l’artiste : sculptures en fer et bronzes, œuvres sur papier (dessins, collages, estampes), les empreintes, les compressions. Les premières œuvres imprimées sur papier de César sont datées de 1961 ; elles reprennent naturellement l’esprit des « arrachages », grands dessins à l’encre de Chine qui sont une transposition des plaques murales en fer ou en bronze. Après une pause de plusieurs années, César réalisera d’autres estampes en utilisant une large palette de techniques (lithographie, pochoir, gravure, sérigraphie), s’inspirant largement de ses célèbres compressions et expansions. Ouvrage de référence, la production de l’artiste y est décrite et étudiée année par année, mais aussi thème par thème. On y retrouvera des articles de presse, des repères chronologiques, des citations de l’artiste et des notes de biographie. Comme le démontre encore, si besoin était, ce volumineux premier volume, l’artiste fut un créateur prolixe. Il dit un jour : « Je n’ai pas d’imagination. Elle ne me vient qu’avec le toucher et les yeux. Sans ces deux éléments, le cerveau ne fonctionne pas. »
    Chagall Marc
    "Chagall - Derrière le Miroir", Ed. Maeght, 1997

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Chagall - Derrière le Miroir",
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    Sur une période de 31 ans, pas moins de onze numéros de la revue « Derrière le Miroir », seront consacrés à Marc Chagall. Le premier (n° 27-28) en 1950, l’ultime (n° 246) en 1981 accompagné d’un texte de Jacques Dupin. Des lithographies de Marc Chagall, originales ou non, furent proposées dans huit autres numéros, de 1951 à 1982, numéros collectifs dont l’important n° 250 en hommage à Marguerite et Aimé Maeght. On notera que le plus recherché des numéros de l’entière collection DLM est consacré à Marc Chagall, avec le triple numéro édité à l’été 1954 (n° 66, 67, 68). La première rencontre du peintre et du jeune marchand d’alors aura lieu à New York en 1947. Quelques temps après, Aimé Maeght va à sa rencontre dans le petit village de Chambourcy, là où habite André Derain, pour prendre Chagall sous contrat. Leur collaboration sera riche et la Galerie, comme la Fondation Maeght, célèbreront régulièrement l’artiste au travers de rétrospectives, d’expositions et d’éditions. La revue « Derrière le Miroir » a disparu en 1982, après 253 numéros.
    "Chagall - Vollard", par Charles Sorlier, Ed. Galerie Matignon, 1981

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Chagall - Vollard",
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    « Il me semble que quelque chose m’aurait manqué si, à part la couleur, je ne m’étais pas occupé, à un moment de ma vie, des gravures et des lithographies. Dans la pierre lithographique ou sur une plaque de cuivre, il me semblait que je pouvais placer toutes mes tristesses, toutes mes joies . . . », écrit Marc Chagall. Le catalogue raisonné de l’oeuvre gravé de Marc Chagall a été établi en 1971 par E. W. Kornfeld pour la période 1922-1966. L’on se référera également au catalogue raisonné des livres illustrés par Marc Chagall (1995) réalisé par Patrick Cramer qui en est également l’éditeur, ainsi qu’au catalogue raisonné des gravures réalisées à la demande d’Ambroise Vollard, publié par les Ed. Galerie Matignon en 1981 ; ce dernier ouvrage répertorie toutes les gravures réalisées par l’artiste pour « Les âmes mortes » de Gogol, « Les Fables de La Fontaine » et « La Bible ».
    "Chagall Lithographe", Vol. I à VI, par F. Mourlot & C. Sorlier, Ed. A. Sauret, entre 1960 et 1986

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Chagall Lithographe",
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    Le catalogue raisonné de l’oeuvre lithographié de Marc Chagall, « Chagall lithographe », se compose de six volumes publiés aux Editions André Sauret, entre 1960 et 1986. Etabli par Fernand Mourlot et Charles Sorlier, il répertorie 1101 lithographies de l’artiste sur une période de plus de soixante ans (1922-1985). Chagall s’est dédié avec ferveur et constance à l’art de la lithographie et l’on sait, par tant de témoignages, combien l’artiste éprouvait de joie à travailler la pierre. Citons Robert Marteau (préface du Vol. 5) : « Ce n’est pas de la fantaisie poétique, c’est d’un regard exercé à l’émerveillement la moisson mise à jour grâce à la pratique. Si Chagall s’est appliqué à la lithographie, peut-être est-ce par besoin de donner libre cours, de livrer à la spontanéité, à la suggestion, à l’allusion, les personnages fabuleux qui voulaient venir au trait et à la couleur ». La lithographie et Marc Chagall ! « Un monde sans pesanteur où les amoureux se réfugient au creux de bouquets sous peine de s’envoler, un ciel sans ombre où les étoiles et la lune brillent en plein jour, un songe où les violons des vaches musiciennes ont des chants d’oiseaux ! C’est l’univers de l’enchanteur Chagall, peintre poète, qui a reçu des bonnes fées le pouvoir de conserver la géniale vision de l’enfance », écrit Fernand Mourlot (Préface « Chagall lithographe » Vol. II).
    "Im Spiegel Seiner Plakate, 1959-1983",
    "L' oeuvre gravé, 1922-1966", par E.W. Kornfeld, Ed. Kornfeld, Berne, 1971

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "L' oeuvre gravé, 1922-1966",
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    Le catalogue raisonné de l’oeuvre gravé de Marc Chagall ne comporte à ce jour qu’un volume. Eberhard W. Kornfeld, son auteur, y répertorie toutes les gravures, eaux-fortes et pointes-sèches, aquatintes, gravures sur bois ou sur linoléum de l’artiste sur la période courant de 1922 à 1966. L’artiste ayant souvent gravé dans le cadre du livre illustré, l’on peut consulter le catalogue raisonné de Patrick Cramer consacré à ce domaine de l’oeuvre (1921-1984). C’est par un ouvrage capital que débute l’oeuvre gravé de Chagall : « Mein Leben – Ma vie », édité à Berlin en 1923 qui contient vingt eaux-fortes et pointes-sèches de l’artiste. La réputation de Chagall graveur parvient jusqu’à Paris ; Ambroise Vollard est tellement frappé par ce nouveau mode d’expression de l’artiste qu’il charge Blaise Cendrars de le faire venir à Paris. Ce sera, après une première commande (« Les âmes mortes » de Gogol), le début d’une collaboration sur trois ouvrages. Vollard disparu, d’autres immenses éditeurs viendront : Tériade, Cramer, Maeght.
    "Les affiches", par C. Sorlier, Ed. Draeger-Vilo, 1975

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Les affiches",
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    Si les affiches de Marc Chagall sont très vite devenues célèbres de par le monde, c’est que non seulement elles répondent aux exigences de l’affiche, mais sans aucun doute quelles sont particulièrement vivantes par la liberté d’expression de l’artiste. L’on trouve dans cet ensemble les affiches originales et lithographiées, les affiches gravées en collaboration, et enfin les affiches qui sont de simples reproductions photomécaniques. On remarquera la typographie, le mélange voulu des caractères traditionnels avec la calligraphie particulière de la signature, le plus souvent présente. L’affiche de peintre connaît son véritable essor, après la guerre, vers l’année 1950. Chagall prend une place de tout premier plan en ce domaine, pour ne pas dire la première.
    "Les Céramiques et sculptures",
    "Les livres illustrés", par Patrick Cramer, Ed. P. Cramer, Genève, 1995

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Les livres illustrés",
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    Le catalogue raisonné des livres illustrés par Marc Chagall a été établi en 1995 par Patrick Cramer qui en est également l’éditeur. Il comprend la description de 114 livres, albums et catalogues enrichis de gravures ou de lithographies originales et la reproduction de chacune d’elles. Le lien particulier entre le livre et la vie quotidienne, entre le texte et l’image, entre l’écrit et le visuel, fait partie des premiers souvenirs d’enfance de l’artiste. Le n° 1 du catalogue, portefeuille contenant une eau-forte de Chagall, date de 1921, le n° 114, clôturant l’ouvrage et contenant 6 gravures sur linoléum sera publié en 1984. Le livre illustré, aussi, est un domaine de première importance pour Marc Chagall et l’artiste associera son art non seulement à des poètes, des écrivains ou des penseurs, mais aussi à des textes sacrés.
    "Monotypes 1961-1965 & 1966-1975", Vol. I et II, Jean Leymarie, Gérald Cramer, Ed. G. Cramer, Genéve, 1966 & 1976

    Catalogue raisonné - Marc Chagall

    "Monotypes 1961-1965 & 1966-1975",
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    Le catalogue raisonné des « Monotypes de Marc Chagall » à été établi et publié, en deux volumes, par Gérald Cramer (Genève) en 1966 et 1976. Chaque volume correspond à une période distincte : 1961-1965 pour le premier et 1966-1975 pour le second. Le monotype est une impression unique. L'auteur, sur l'ensemble de ces 15 années de création, en répertorie 308 pour l'artiste. Chaque volume s'ouvre sur une véritable étude du sujet de Jean Leymarie : « . . . Par la rapidité d'exécution et de tirage qu'il exige, le monotype devient une performance au verdict sans détour. Chagall a su l'accueillir au moment voulu de son évolution et en tirer toutes les ressources spécifiques ». Ce catalogue raisonné révèle à chacun un domaine très important dans l'oeuvre de l'artiste. C'est à l'initiative de son ami et éditeur Gérald Cramer, et avec l'aide du maître imprimeur Jacques Frélaut, que Chagall réalisera ses trois premières séries de monotypes. Après quelques essais sur plexiglas, après l'emploi d'encres de taille-douce, l'artiste optera définitivement pour le support de cuivre, qu'il juge plus noble et naturel, et pour des couleurs à l'huile diluées à l'essence et à la térébenthine. Le choix du papier aura aussi son importance et les feuilles orientales, plus vibrantes pour les plages de lumière, deviendront très vite le réceptacle des oeuvres de l'artiste. On notera que la collaboration et l'amitié entre l'artiste et l'éditeur seront consacré par une exposition et un ouvrage : « Marc Chagall – Gérald Cramer. Trente ans de travail et d'amitié » (Ed. Galerie Patrick Cramer, Genève, 1992).
    Chahine Edgar
    "Illustrateur", C. Blaizot et J.-E. Gautrot, Ed. Librairie Auguste Blaizot, Paris, 1974

    Catalogue raisonné - Edgar Chahine

    "Illustrateur",
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    Le catalogue raisonné « Chahine illustrateur » a été publié par la Librairie Auguste Blaizot, Paris, en 1974. L'ouvrage, illustré de 423 reproductions, s'ouvre sur une préface de Roger Marx. Etabli par une collaboration entre Claude Blaizot et Jean-Edouard Gautrot, ce catalogue raisonné est rare, puisque seulement tiré à 330 exemplaires numérotés, un certain nombre d'exemplaires étant accompagné d'une suite de sept eaux-fortes et pointes-sèches originales inédites. Le présent ouvrage est divisé en plusieurs sections : 1. Livres illustrés par Chahine de pointes-sèches et eaux-fortes originales, pour douze références. 2. Livres partiellement illustrés par Chahine de pointes-sèches et eaux-fortes originales, pour 8 références. 3. Livres illustrés de compositions en couleurs reproduites en héliogravure, pour 2 références. 4. Ex-Libris. 4. Planches inutilisées pour des illustrations non identifiées. 5. Menus de diners de sociétés de bibliophiles illustrés de pointes-sèches et d'eaux-fortes originales. Un indispensable pour des amoureux de ce magnifique graveur!
    "L'oeuvre gravé", par M. R. Tabanelli, Ed. Il Mercante di Stampe, Milan, 1977

    Catalogue raisonné - Edgar Chahine

    "L'oeuvre gravé",
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    C'est à partir de 1899, année où il présente une pointe-sèche et trois eau-fortes à l'exposition de la Société Nationale des Beaux-Arts de Paris, qu'Edgar Chahine, encouragé de toute part et avec l'appui économique de l'éditeur Sagot, se consacrera presque exclusivement à la gravure. Il obtiendra la médaille d'or pour la gravure à l'exposition universelle de Paris en 1900. Le catalogue raisonné "L'oeuvre gravé d'Edgar Chahine", ici en langue française, a été établi par M. R. Tabanelli et publié par Il Mercante di Stampe de Milan en 1977. Après une préface de Leonardo Sciascia, l'auteur répertorie 429 références de l'artiste pour 43 années de création graphique, entre les années 1897 et 1939. L'oeuvre graphique d'Edgar Chahine est composée uniquement de gravures (eau-fortes, aquatintes, pointe-sèches, vernis mous). Scènes de rue, petits métiers, personnages en pied ou portraits, voici les thèmes de l'artiste. « Je suis rebelle à la scène composée et artificielle, tout exactement d'après le modèle - disait Chahine -. Je ne fais que le portrait. Si je fais une maison, une voiture, un miséreux, une femme, c'est toujours le portrait de cette maison, le portrait de cette voiture, le portrait de ce miséreux, le portrait de cette femme ». L'habileté du graveur n'est pas sans atteindre une grande poésie.  On notera que la majeure partie des tirages a été effectuée par l'artiste lui-même, et donc avec une « personnalisation » particulière.

    Chaissac Gaston
    "L’oeuvre graphique", par Jean-Claude Cousseau, Ed. J. Damase, 1981

    Catalogue raisonné - Gaston Chaissac

    "L’oeuvre graphique",
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    Eclectique, inventive, intuitive, l’œuvre de Gaston Chaissac ne peut mieux se définir que comme une œuvre « rustique moderne » selon sa propre expression. L’artiste démontre, dans le contexte de l’art des années 50, comment cette époque, à la suite de la magistrale conquête de l’art abstrait, a été soucieuse d’une expression libre et spontanée. D’une richesse foisonnante, l’oeuvre ample et original de Chaissac fut salué, en son temps, par Jean Dubuffet, Paulhan, Queneau et bien d’autres. La production littéraire importante de l’artiste - poèmes, proses, lettres - a révélé la place particulière qu’occupe ce créateur de génie et sa complexité. Le dessin apparaît dans l’oeuvre de Chaissac comme une expression prépondérante où se joue véritablement son originalité, une expression profondément et essentiellement marginale. « L’oeuvre graphique de Gaston Chaissac (1910-1964) » par Henry-Claude Cousseau a été publié par les Editions Jacques Damase en 1981. « Je ne serai jamais un concurrent sérieux pour personne, j’ai d’autres chats à fouetter, » écrivait Gaston Chaissac.
    Chéret Jules
    "La Belle époque de Jules Chéret", R. Bargiel, S. Le Men, Ed. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010

    Catalogue raisonné - Jules Chéret

    "La Belle époque de Jules Chéret",
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    Du Second Empire aux années 1930, Jules Chéret (1836-1932) a réalisé des affiches qui ont accompagné l’entrée de la France dans la vie moderne. À la tête d’une imprimerie, il répond à la forte demande publicitaire liée à l’apparition de nouveaux produits, à l’évolution des modes de vente et au développement intense de l’industrie du spectacle. Il a ainsi joué un rôle décisif dans l’avènement de la publicité commerciale et culturelle. Surnommé par ses contemporains « le roi de l’affiche », Jules Chéret a su créer un style très efficace de Parisienne aux allures euphoriques et aux couleurs attrayantes. Parallèlement à sa carrière d’affichiste, ce livre étudie un autre aspect de son œuvre : celle du décorateur qui passa la seconde partie de sa vie à égayer les intérieurs de ses mécènes mais aussi de l’hôtel de ville de Paris, du musée Grévin, ou encore de la préfecture de Nice. Catalogue de l’exposition consacrée à Jules Chéret au musée de la Publicité, cet ouvrage est également le premier catalogue raisonné de son œuvre qui reproduise en couleurs l’ensemble de ses affiches (1430 références), son œuvre lithographié, conservées pour la plupart au musée de la Publicité et à la Bibliothèque nationale de France. Sa préparation a permis de découvrir de nombreux aspects de son travail jusque-là ignorés, en particulier ses débuts avant 1880. Autant d’éléments qui en font le livre de référence sur Jules Chéret.
    Chillida Eduardo
    "Les estampes originales", Vol. I, II, III et IV, par Van der Koelen, Ed. Chorus Verlag, Munich, entre 1999 et 2005

    Catalogue raisonné - Eduardo Chillida

    "Les estampes originales",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre graphique d’Eduardo Chillida a été publié en 4 volumes par les Editions Chorus (Munich) en 1996, 1997, 1999 et 2005. Etabli par M. Van der Koelen, ces ouvrages de référence répertorient l’ensemble des œuvres originales de l’artiste imprimées sur papier – lithographies, gravures, bois gravés, sérigraphies - y compris celles publiées dans le cadre du livre illustré dont on sait l’importance pour l’artiste. Cette présentation exhaustive de l’œuvre complet est divisée en quatre périodes, 1959-1972 (Vol. I), 1973-1985 (Vol. II), 1986-1996 (Vol. III) et 1996-2001 (Vol. IV). Le catalogue raisonné a été publié en 3 langues (espagnole, anglaise, allemande), et l’ensemble des quatre ouvrages montre et décrit en détail 650 œuvres d’Eduardo Chillida. En 2002, dernière année de la vie de l’artiste, celui-ci ne réalisa pas d’estampe. On notera, en fin d’ouvrages, d’importants appendices (biographie, bibliographie, expositions collectives et personnelles principales de l’artiste, monuments, etc.) avec notamment la liste complète des titres des œuvres graphiques de Chillida.
    "Obra grafica completa 1977-1985 y disegno grafico 1956-1986", Ed. Museo de Bellas Artes de Bilbao, 1986.

    Catalogue raisonné - Eduardo Chillida

    "Obra grafica completa 1977-1985 y disegno grafico 1956-1986",
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    Ce catalogue se veut être le prolongement de la publication en 1977 de l'oeuvre graphique de l'artiste de 1959 à 1976 par les Galeries Iolas-Velasco de Madrid et Salas Municipales de Cultura de Durango. Ce précédent ouvrage répertoriait 202 références et 12 livres illustrés. L'ouvrage présenté ici répertorie 101 références (de n°203 à n°303) et 3 livres illustrés dont les descriptions sont en 5 langues (basque, espagnol, anglais, allemand et français). Le présent ouvrage présente et décrit également 70 références pour une section « Affiches » et enfin deux chapitres consacrés à des travaux graphiques de Chillida pour des revues, puis dans le domaine du logo. Si la référence concernant les estampes originales de l'artiste est constituée des 4 volumes publiés entre 1999 et 2005 par les Editions Chorus de Munich (catalogue raisonné établi par Van der Koelen), il nous a semblé utile d'indiquer l'ouvrage présenté ici, essentiellement pour sa rubrique « Affiches » et pour l'ensemble des oeuvres graphiques proposées. Un complément pour les nombreux passionnés du graveur Eduardo Chillida!

    Christo
    "Prints and Objects, 1963-2013", par Jörg Schellmann, Ed. Hatje Kantz, Ostfildern, Allemagne, 2013

    Catalogue raisonné - Christo

    "Prints and Objects, 1963-2013",
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    Le Catalogue Raisonné des estampes et objets pour la période 1963-2013 a été publiée par les éditions Schellmann en 2013. Il reprend, augmente et complète les deux précédents catalogues raisonnés par en 1988 et 1995, également établis par J. Schellmann. Bilingue (anglais et allemand), cet ouvrage de référence sur l’œuvre imprimé et sur les multiples de l’artiste répertorie 207 œuvres, estampes ou objets multiples, comprenant notamment l’ensemble des lithographies et sérigraphies originales de l’artiste pour la période. On notera, en fin d'ouvrage, les 6 références des livres contenant des photographies ou des estampes des artistes. Après le catalogue raisonné proprement dit, l'ouvrage propose une vue générale des thèmes et projets de la production des deux artistes : vitrines, accumulations de barils, empaquetages aériens, objets empaquetés, véhicules empaquetés, femmes, fleurs et arbres empaquetés, intérieurs empaquetés, statues et monuments empaquetés, ponts et bâtiments empaquetés, projets d'empaquetage de paysages. L'introduction de l'ouvrage, enrichie de nombreux documents, est assurée par Matthias Koddenberg (« Christo et Jeanne-Claude : estampes et objets entre réalité et mémoire »). On notera que souvent ces œuvres servirent aux artistes de récolter des fonds qui permirent de financer en partie la réalisation elle-même. Certaines œuvres font partie intégrante d’un projet qui va à son terme, d’autres ne relèvent que de la conception et de la recherche de Christo et de Jeanne-Claude.
    "Prints and Objects, 1963-87", par J. Schellmann et J. Benecke, Ed. Schellmann, München - New York, 1988

    Catalogue raisonné - Christo

    "Prints and Objects, 1963-87",
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    Le Catalogue Raisonné des estampes et objets pour la période 1963-1987 a été publiée par les éditions Schellmann en 1988. Bilingue (anglais et allemand), cet ouvrage de référence sur l’œuvre imprimé et sur les multiples de l’artiste répertorie 133 œuvres, estampes ou objets multiples, comprenant notamment l’ensemble des lithographies et sérigraphies originales de l’artiste pour la période. Chaque estampe ou objet a une fonction dans le travail de Christo. Rien n’est isolé ; chaque oeuvre publiée participe ou a participé à sa façon à la création, la réalisation et la mémoire d’un projet concret. Il s’agit là d’une logique à la stratégie mise en place par Christo. On notera que souvent ces œuvres servirent à l’artiste de récolter des fonds qui permirent de financer en partie la réalisation elle-même. Certaines œuvres font partie intégrante d’un projet qui va à son terme, d’autres ne relèvent que de la conception et de la recherche de Christo.
    "Prints and Objects, 1963-95", par J. Schellmann et J. Benecke, Ed. Schellmann, München-New York, 1995

    Catalogue raisonné - Christo

    "Prints and Objects, 1963-95",
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    Le Catalogue Raisonné des estampes et objets pour la période 1963-1995 a été publiée par les éditions Schellmann en 1995. L’ouvrage est la réédition du premier catalogue publié en 1988 (œuvres de 1963 à 1987), complété de 8 années de création. Bilingue (anglais et allemand), cet ouvrage de référence sur l’œuvre imprimé et sur les multiples de l’artiste répertorie 164 œuvres, estampes ou objets multiples, comprenant notamment l’ensemble des lithographies et sérigraphies originales de l’artiste pour la période. Chaque estampe ou objet a une fonction dans le travail de Christo. Rien n’est isolé ; chaque oeuvre publiée participe ou a participé à sa façon à la création, la réalisation et la mémoire d’un projet concret. Il s’agit là d’une logique à la stratégie mise en place par Christo. On notera que souvent ces œuvres servirent à l’artiste de récolter des fonds qui permirent de financer en partie la réalisation elle-même. Certaines œuvres font partie intégrante d’un projet qui va à son terme, d’autres ne relèvent que de la conception et de la recherche de Christo.
    Chubac Albert
    "Tout l'oeuvre", Non daté

    Catalogue raisonné - Albert Chubac

    "Tout l'oeuvre",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre d'Albert Chubac, Tout l'oeuvre (« Un art qui donne envie de toucher ! »), est présenté en accès libre sur internet : https://oneartyminute.com/artistes/albert-chubac/catalogue, l'une des rubriques du site consacré à l'artiste de « la simplicité absolue ». C'est à Nice, pendant 50 ans, que l'artiste vivra sa poésie et construira ses géométries : du plexiglas, des cartons, des ficelles, assemblés pour jouer avec les rayons du soleil (« Le soleil, c'est ma drogue, » déclara l'artiste en 2008). Le présent catalogue des œuvres montre les collages, les dessins, les gouaches, les huiles et les sculptures. L'oeuvre graphique d'Albert Chubac, ses estampes (techniques mixtes, lithographies, sérigraphies, ...), ne fait malheureusement pas partie de ce catalogue (Est-elle prévue?). En 2004, à l'occasion d'une importante rétrospective de son œuvre au Mamac (Nice),  l’artiste a fait une donation conséquente au musée (une centaine d’œuvres).
    Albert Chubas, figure le l'Ecole de Nice, est mort à Tourrette-Levens en 2008, il avait 82 ans.

    Claudel Camille
    "L'oeuvre sculpté, peint, dessiné et gravé",
    Clauzel Jacques
    "Estampes 1983-2014", Paul Ripoche et Marie Joqueviel-Bourjea, Ed. Musée du dessin et de l'estampe originale, Gravelines, 2014

    Catalogue raisonné - Jacques Clauzel

    "Estampes 1983-2014",
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    Pour Jacques Clauzel, l’estampe originale est un art à part entière. Gravure essentiellement, mais aussi lithographie et sérigraphie, il a touché à toutes les techniques de l'estampe, avec une prédilection particulière sans doute pour l’aquatinte et la pointe sèche. En 2014, l'artiste décide de faire le don exceptionnel au Musée du dessin et de l’estampe originale de Gravelines de l’intégralité de son œuvre gravé. Cette donation représente 820 estampes réalisées sur plus de trois décennies de création graphique, entre les années 1983 et 2014. L'artiste accompagne cette donation de quelques matrices, d'épreuves d’essais et de 4 dessins de grands formats. Cette donation est soutenue par une exposition rétrospective personnelle, « Au creux, l'infini », et par l’édition du catalogue raisonné de son œuvre gravé, « Estampes 1983-2014 », présentée ici. Après un avant-propos de Paul Ripoche, directeur du Musée de Gravelines, l'on découvrira l'ensemble des 820 estampes référencées, toutes reproduites, puis un texte de Marie Joqueviel-Bourjea sur l'oeuvre et le parcours de l'artiste. Le catalogue raisonné se referme sur plusieurs annexes : jalons biographiques, expositions personnelles et collectives, bibliographie-filmographie, textes critiques.
    Clavé Antoni
    "L’Oeuvre gravé 1939-1976", par Roger Passeron, Ed. Office du Livre, Fribourg (Suisse), 1977

    Catalogue raisonné - Antoni Clavé

    "L’Oeuvre gravé 1939-1976",
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    Le catalogue raisonné de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé, pour la période 1939-1976, a été établi par Roger Passeron et publié par les Editions Office du Livre (Fribourg, Suisse) en 1977. L’auteur répertorie 364 œuvres originales imprimées sur papier ou estampes : gravures (aquatintes et eaux-fortes), lithographies, gravures au carborundum, linogravures, reliefs gravés sur métal. Il s’agit d’oeuvres isolées ou réalisées dans le cadre du portefeuille. L’ouvrage recense également l’essentiel des livres illustrés par Antoni Clavé pour la période, soit 11 ouvrages, dont les importants « Gargantua » en 1955 et « La Gloire des rois » en 1976, qui ouvrirent d’autres voies d’inspiration à l’artiste. L’oeuvre graphique de Clavé est la résultante de deux forces, sa passion artisanale et sa sensibilité artistique. Comme dans tous les domaines qu’il aborda, le peintre s’engagea pleinement dans son œuvre sur papier, physiquement autant que mentalement.
    "Obra grafica, 1957-1983", Ed. Sala Gaspar, Barcelone, 1983

    Catalogue raisonné - Antoni Clavé

    "Obra grafica, 1957-1983",
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    Antoni Clavé compte parmi ces artistes qui - comme Picasso, Villon, Masson et d’autres – donnèrent à leur oeuvre gravé une importance équivalente à leur œuvre peint. L’artiste portera une grande attention au travail réalisé par le biais de l’estampe ; ainsi, les lithographies et gravures furent réellement conçues et réalisées par lui. Antoni Clavé sera toujours passionné par le besoin de s’exprimer et par le côté artisanal de la réalisation de ce besoin. L’artiste s’intéressa à la lithographie dès 1939, à l’eau-forte à partir de 1965, ne s’arrêtant plus, à partir de ces dates, de mettre ses techniques si différentes au service de son art. Le catalogue raisonné de l’oeuvre graphique d’Antoni Clavé, pour la période 1939-1976, a été établi par Roger Passeron et publié par les Editions Office du Livre (Fribourg, Suisse) en 1977. 364 œuvres estampes originales y sont répertoriées : gravures, aquatintes et eaux-fortes, lithographies, gravures au carborundum, linogravures, reliefs gravés sur métal. Le catalogue "Obra grafica, 1957-1983" a lui été publié en 1983 par les Editions Sala Gaspar (Barcelone); l'ouvrage répertorie 246 références.
    "Oeuvre gravé / Printed work / Obra grabada", collectif, Ed. Skira, 2017

    Catalogue raisonné - Antoni Clavé

    "Oeuvre gravé / Printed work / Obra grabada",
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    Cette publication, trilingue (français-anglais-espagnol), du catalogue raisonné des estampes d'Antoni Clavé a été publiée à l’occasion de l’exposition « Antoni Clavé- Estampes » (février-mars 2018) organisée à la  BnF à l’occasion d’une donation d’estampes consentie pas ses petits enfants. Ses gravures d’illustration et estampes originales créées dès la fin des années 1930 jusqu’à l’orée des années 2000 constituent un ensemble d’une grande richesse technique et stylistique. Ce catalogue raisonné s'ajoute aux ouvrages de référence sur le sujet de Roger Passeron (« L’Oeuvre gravé 1939-1976 », Ed. Office du Livre, Fribourg (Suisse), 1977) et de la Sala Gaspar (« Obra grafica, 1957-1983 », Ed. Sala Gaspar, Barcelone, 1983). Après une préface de François Pinault, on découvrira les trois textes d'introduction de Tomàs Llorens (« Clavé : le graveur et son époque »), de Céline Chicha-Castex (« Clavé l'expérimentateur ») et de Aude Hendgen (« Clavé ou la poésie des échanges artistiques »). Le catalogue raisonné proprement dit répertorie 517 estampes réalisées entre 1937 et 2001, y compris dans les portfolios, et 23 livres illustrés d'estampes originales. L'ouvrage est enrichi d'annexes : une biographie, un glossaire, un tableau des concordances avec les ouvrages de Passeron et du Sala Gaspar, et une bibliographie sélective.
    Cocteau Jean
    "Les céramiques", par A. Guédras, Co-Ed. Teillet-Dermit, Paris, 1989

    Catalogue raisonné - Jean Cocteau

    "Les céramiques",
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    Le catalogue raisonné des céramiques de Jean Cocteau a été établi par Annie Guédras, la grande spécialiste de l'artiste. Cet ouvrage de référence a été co-édité, en 1989, par la Galerie Laurent Teillet et par Edouard Dermit, Paris. L'auteur traite des céramiques de Jean Cocteau tirées à plusieurs exemplaires à partir d'une maquette originale de l'artiste, ainsi que des pièces uniques ou hors commerce. L'ouvrage répertorie 349 références pour la période 1951-1963 (date de disparition de Jean Cocteau) : plats et plateaux, coupes, timbales et compotiers, coupelles et cendriers, vases, récipients et objets à poser, pendentifs, ornements et compositions, maquettes. « La poterie m'a sauvé la vie ! Elle m'évite d'utiliser l'encre qui est devenue trop dangereuse car tout ce que l'on écrit est systématiquement déformé par ceux qui lisent, » écrira Jean Cocteau. Entre la fin de l'année 1957 et 1963, à quelques très rares exceptions près, toutes les céramiques ont été réalisées à la poterie Madeline-Jolly. On notera, en fin d'ouvrage, un catalogue complémentaire concernant des oeuvres uniques ou des séries spéciales exécutés pour des événements particuliers.
    Coignard James
    "L'oeuvre gravé, 2005-2008", Vol. VI, Ed. GKM Siwert Bergström, Malmoe (Suède), 2008

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L'oeuvre gravé, 2005-2008",
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    « Graver jusqu’à atteindre la brûlure la plus intime dans la mémoire du geste, » écrira l’artiste. Le sixième et dernier volume qui compose le catalogue raisonné complet de l’œuvre gravé de James Coignard est paru en 2008, peu de temps après la disparition de l’artiste (7 mars 2008). Cet ultime volume concerne la période juin 2005-2008 ; il montre et décrit l’ensemble de toutes les dernières gravures réalisées par l’artiste, soit 47 estampes (du n° 1215 au n° 1261). L’ouvrage trilingue (suédois, anglais et français), comme le précédent volume, a été publié par les éditions GKM-Siwert Bergström de Malmoe (Suède), qui - dès 2003 - avait entrepris de continuer le travail initial des éditions Sonet. Ainsi, l’aventure de l’œuvre graphique de James Coignard, commencée en 1968 dans l’atelier de son ami Henri Goetz, aura duré 40 ans. L’œuvre gravé de James Coignard est considérable. « Le monde qu’il nous donne à voir semble avoir été créé à partir d’un imaginaire où l’amour humain est inscrit au cœur de la matérialité des choses, » écrit Ileana Cornea dans la préface de l’ouvrage.
    "L’oeuvre gravé 1986-1998", Vol. IV, Ed. Sonet, Stockholm, Suède, 1999

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L’oeuvre gravé 1986-1998",
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    L’oeuvre gravé 1986-1998, Vol. IV, Ed. Sonet (Stockholm, Suède), 1999 Après les trois précédents volumes publiés qui étudiaient la période 1959-1986, le volume IV de l’œuvre gravé de James Coignard porte sur la période 1986-1998 ; il a été publié par les Editions Sonet (Stockholm, Suède) en 1999. Etabli par Gunnar Bergström et Christophe Bourdon, les auteur répertorient l’ensemble des estampes de l’artiste pour la dite période, soit 330 estampes (n°671 à n°1000), oeuvres isolées ou éditées dans le cadre du livre illustré et du portfolio. Ouvrage bilingue (Français, anglais), il comporte en outre de nombreuses photographies de l’artiste, notamment prises dans l’atelier Pasnic à Paris, une préface établie par Georges Tabaraud, des annexes d’usages (Biographie, bibliographie choisie, filmographie, liste des principaux musées possédant des œuvres de l’artiste). Le volume présenté ici, aura été suivi de deux autres volumes (« L’oeuvre gravé 1998-2005 », Vol. V et « L’oeuvre gravé 2005-2008 », Vol. VI, publiés par les Ed. GKM - Malmoe, Suède - en 2006 et 2008). L’aventure de l’œuvre graphique de James Coignard, commencée en 1968 dans l’atelier de son ami Henri Goetz, aura duré 40 ans.
    "L’oeuvre gravé, 1959-1976", Vol. I, par G. Bergström, Ed. Sonet, Lidingo (Suède), 1976

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L’oeuvre gravé, 1959-1976",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de James Coignard se compose, à ce jour, de 5 volumes. Les quatre premiers volumes ont été publiés par les Editions Sonet (Lidingo, Suède) à différentes dates, dont le premier, présenté ici, en 1976. Le volume V, l’œuvre gravé réalisé par l’artiste entre 1998 et 2005, vient de paraître au Editions GKM (Malmoe, Suède). C’est à partir de l’invention, en 1968, de la technique du carborundum par le graveur Henri Goetz, que James Coignard va pouvoir continuer sa démarche de peintre en préparant ses plaques de métal par ajout de matières ; par cette technique, l’artiste parviendra peu à peu à un sentiment de liberté d’expression et d’imagination sans contrainte aucune. Ce sera sa marque ! Gunnar Bergström, l’auteur du premier volume, répertorie 280 œuvres imprimées sur papier de l’artiste pour la période 1959-1976 : gravures, linogravures, lithographies, essentiellement gravures au carborundum dont Coignard est un maître, œuvres isolées ou publiées dans le cadre du livre illustré. Le côté artisanal de la gravure dans cette technique est certainement le point essentiel qui fit que l’artiste s’y engagea sans retenu. « Au commencement était le noir et le blanc, écrit le préfacier F. Benichou, mais bien vite ce fut la matière, la surcharge, le relief inventé sur la plaque ».
    "L’oeuvre gravé, 1976-1980", Vol. II, par G. Bergström, Ed. Sonet, Lidingo (Suède), 1980

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L’oeuvre gravé, 1976-1980",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de James Coignard se compose, à ce jour, de 5 volumes. Les quatre premiers volumes ont été publiés par les Editions Sonet (Lidingo, Suède) à différentes dates, dont le second, présenté ici, en 1980. Le volume V, l’œuvre gravé réalisé par l’artiste entre 1998 et 2005, vient de paraître au Editions GKM (Malmoe, Suède). C’est à partir de l’invention, en 1968, de la technique du carborundum par le graveur Henri Goetz, que James Coignard va pouvoir continuer sa démarche de peintre en préparant ses plaques de métal par ajout de matières ; par cette technique, l’artiste parviendra peu à peu à un sentiment de liberté d’expression et d’imagination sans contrainte aucune. Gunnar Bergström (accompagné d'Elisabeth Ljungberg), l’auteur de ce second volume, répertorie 178 œuvres imprimées sur papier de l’artiste pour la période 1976-1980 (n°281 à 458) : quelques rares lithographies et pour l'essentielle des gravures au carborundum dont Coignard est un maître, estampes isolées ou réalisées dans le cadre du livre illustré. L'oeuvre gravé de James Coignard s'illumine toujours d'une imagination et d'un mystère qui conversent, persuadent et laissent enfin sentir un doux parfum d'intimité.
    "L’oeuvre gravé, 1980-1986 ", Vol. III, par G. Bergström, Ed. Sonet, Lidingo (Suède), 1986

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L’oeuvre gravé, 1980-1986 ",
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    Le volume III du catalogue raisonné de l’œuvre gravé de James Coignard - qui en compte 5 à ce jour - a été publié par les Editions Sonet (Lidingo, Suède) en 1986. Ce volume porte sur la période de création 1980-1986. Les auteurs y décrivent 211 estampes originales de l’artiste réalisées pour cette période (du n° 459 au n° 670), œuvres isolées ou publiées dans le cadre du livre illustré. James Coignard publiera tout au long de sa carrière artistique des gravures à techniques classiques, des lithographies, quelques rares linogravures, mais réalisera essentiellement des gravures au carborundum. Il est, dans cette dernière technique (mise au point par Henri Goetz), indéniablement l’un des maîtres. Le côté artisanal de la gravure dans cette technique est certainement le point essentiel qui fit que l’artiste s’y engagea sans retenu. « Les œuvres de James Coignard, écrit Marcelin Pleynet le préfacier, semblent nous confronter à l’évidence de ce partage de la perception sensible où chaque chose serait à la fois ce qu’elle parait être et tout autre chose ».
    "L’oeuvre gravé, 1998-2005 ", Vol. V, Ed. GKM Siwert Bergström, Malmö (Suède), 2007

    Catalogue raisonné - James Coignard

    "L’oeuvre gravé, 1998-2005 ",
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    Le cinquième volume du catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de James Coignard, comme les précédents volumes, a été publié par les Editions GKM Siwert Bergström (Malmö, Suède). Ce dernier volume concerne la création de l'artiste, aujourd'hui disparu, pour la période 1998-2005. Publié en trilingue (suédois, français, anglais), l'auteur répertorie près de 230 gravures réalisés le plus souvent dans la technique du carborundum inventée par Henri Goetz et si chère à l'artiste. Le présent volume du catalogue raisonné, dont la totalité des gravures est présentée en couleurs, est agrémenté de nombreuses photos de James Coignard au travail dans son atelier. En outre, il est enrichi d'une préface de l'artiste et de quelques pages, en fin d'ouvrage, qui nous donnent les essentiels de son parcours : biographie, expositions majeures, bibliographie, collections publiques et musées dans lesquels le travail de l'artiste est présent. Un jour Henri Goetz dit à James Coignard : « Pour toi qui ne veux te plier à la technique de la gravure classique, j'ai trouvé une technique (le carborundum) qui doit te correspondre ». L'inventeur ne pouvait pas si bien dire, puisqu'elle donna à James Coignard la liberté d'expression et le plaisir qu'il eut à graver !
    Collectif
    "Les Foulards de Maeght : Impression de Lyon", Anne Jouve et Adrien Maeght, Ed. Musee Historique des Tissus, Lyon, 1984.

    Catalogue raisonné - Collectif

    "Les Foulards de Maeght : Impression de Lyon",
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    Il ne s'agit pas ici d'un catalogue raisonné, mais d'un catalogue d'exposition que nous tenons à signaler aux amateurs passionnés d'art lié au textile imprimé. Accompagnant l'exposition qui s'est tenue du 6 juin au 2 septembre 1984 au Musee Historique des Tissus de Lyon, ce catalogue montre des foulards imprimés - par des photographies couleurs - de la collection Adrien Maeght. Chaque foulard a été conçu par un artiste différent : Chagall, Giacometti, Calder, Kandinsky, ou encore Bram Van Velve, Eduardo Chillida, Pol Bury, Pablo Palazuelo, Jacques Monory, Pierre Tal Coat, Gérard Titus-Carmel et beaucoup d'autres. Beaux, colorés, chacun des 34 foulards présentés est décrit avec sa taille et le tissu utilisé, l’artiste, et la compagnie qui l’a produit, le plus souvent la Maison Brochier ou la Maison Abraham. Ce catalogue est enrichi d'un essai principal de Anne Jouve et d'un texte de Adrien Maeght. En outre, une biographie succincte de chaque artiste est proposée sur la page opposée au foulard qu’il (qu'elle) a conçu.
    Collin Pierre
    "Vertiges ordinaires", coll. Les Cahiers dessinés, Ed. Buchel-Chastel, 2007.

    Catalogue raisonné - Pierre Collin

    "Vertiges ordinaires",
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    Si l'ouvrage « Pierre Collin - Vertiges ordinaires » n'est pas un catalogue raisonné, il a cependant l'avantage de présenter un nombre significatif d'estampes de l'artiste (bois gravés, linogravures et eaux-fortes). Il a été publié en 2007 par les Editions Buchel-Chastel dans la collection Les Cahiers dessinés. A ce jour, l'artiste a réalisé plus de cinq cents gravures, du petit format jusqu’à des tailles monumentales. Basculements, vues plongeantes, ombres portées, la géométrie des gravures de Pierre Collin est troublante, voire dramatique, et cela dès ses débuts à la Casa Velasquez à Madrid, au début des années 80. Sur la plaque de cuivre, son regard s’est fait photographique, fulgurant, proche d’un arrêt sur image, à l’opposé de la minutie habituelle des graveurs.
Son œuvre, constituée d’allers et retours entre dessin, peinture et gravure, exprime un quotidien plutôt tranquille, sans être pittoresque. Rien de dérangeant dans l’imaginaire de Pierre Collin, mais rien de rassurant non plus. Tout n’est qu’équilibre.
Dans les gravures de Pierre Collin, les frontières sont visibles, les diagonales imprévisibles. Instants fugitifs où l’œil se perd, rêveries où se télescopent hallucinations et souvenirs ; et sans cesse cette façon subjective d’impliquer le spectateur. Pierre Collin offre une approche moderne de l’exercice de la vanité. Par association d’images ou en élargissant le champ de vision jusqu’à l’impossible, il trouve dans le point mort ce que l’esprit perçoit, quand le regard se perd. Cette ligne psychique, il la trace avec netteté, par des jeux de reflets, des fenêtres, des diptyques. La lumière s’y effrite, laisse parfois s’installer des personnages qui nous voient autant qu’ils sont vus.
    Constant Anton Nie Wenhuis
    "Graphiek", par Philippe Dagen, Ed. Waanders Uitgevers (Zwolle, Netherlands) et Cercle d'Art (Paris), 1994

    Catalogue raisonné - Anton Nie Wenhuis Constant

    "Graphiek",
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     L'ouvrage présenté, ici en langue néerlandaise, n'est pas un catalogue raisonné des estampes de Constant Anton Nieuwenhuys, dit Constant, qui n'a pas été établi, à notre connaissance. Il a pourtant un grand intérêt pour les collectionneurs et amateurs de l'artiste qui fut l'un des fondateurs du mouvement Cobra (en 1948, avec Karel Appel, Corneille et le danois Asger Jorn). "Graphiek" recense et décrit en effet 180 estampes de l'artiste : gravures (eau-fortes, aquatintes), lithographies, affiches, etc. Les textes sont de Philippe Dagen et l'ouvrage a été co-publié par les Editions Waanders Uitgevers (Zwolle, Netherlands) et par le Cercle d'Art (Paris) en 1994. L'auteur, Philippe Dagen, balaie une période de 48 années de création graphique de l'artiste, de 1947 à 1994. L'ouvrage est enrichi d'une préface de Philippe Dagen et de plusieurs annexes (biographie avec de nombreuses photographies, bibliographie, les écrits de Constant, les listes des principales expositions personnelles et collectives de l'artiste, la liste des estampes reproduites).

    Corneille Guillaume
    "L'Opera Grafica, 1948-1974", par Elverio Maurizi, La Nuova Foglio Editrice, 1975

    Catalogue raisonné - Guillaume Corneille

    "L'Opera Grafica, 1948-1974",
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    Ouvrage bilingue (français, italien), un catalogue raisonné des estampes de Guillaume Corneille, « L’opera grafica di Corneille », a été édité par La Nuova Foglio Editrice en 1975. Etabli par Elverio Maurizi, cet ouvrage de référence répertorie - sur une période allant de 1948 à 1974 - un ensemble d’un peu plus de 300 œuvres sur papier ou estampes originales, comprenant l’ensemble des lithographies, linogravures, gravures ou eaux-fortes, sérigraphies, y compris lorsque - comme très souvent - ces œuvres ont été réalisées dans le cadre du portefeuille ou du livre illustré, ou composées pour l’affiche ou la revue ; la toute première lithographie de Corneille sera d’ailleurs réalisée (1948) pour la revue « Reflex », organe du Groupe Expérimental hollandais. Le dit groupe adhère à Cobra. Corneille travaille le plus souvent par séries et l’ouvrage nous fait découvrir son évolution dans son travail gravé. L’artiste aura privilégié les oeuvres conçues sur la pierre lithographique.
    "L’oeuvre gravé, 1948-1975 ", par P. Donkersloot-Van den Berghe, Ed. Meulenhoff, Amsterdam, 1992

    Catalogue raisonné - Guillaume Corneille

    "L’oeuvre gravé, 1948-1975 ",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Guillaume Corneille pour la période 1948-1975 a été établi par Patricia Donkersloot-Van den Berghe et publié en 1992 par les éditions Meulenhoff (Amsterdam, Pays-Bas). 1948 est l’année où Corneille sera cofondateur, avec Appel et Constant, du « Groupe expérimental hollandais » à Amsterdam, et quelques mois plus tard du Mouvement international Cobra à Paris, ville où, dès 1950, l’artiste choisit de s’installer. L’auteur répertorie 463 estampes de l’artiste pour les 27 années que constitue la période étudiée : lithographies, gravures et sérigraphies. On y découvrira avec intérêt le travail de Corneille, réalisé en 1953, à l’atelier Hayter, ainsi que la totalité des portefeuilles qui résulte du mariage de l’artiste avec de grands poètes comme Baudelaire, Octavio Paz, Eugenio Montale et d’autres encore. Cet ouvrage de référence sur l’œuvre graphique de Guillaume Corneille est préfacé par Enrico Baj. On notera qu’une intéressante introduction du lithographe Michel Cassé, qu’un essai passionnant de Graham Birtwistle, ainsi qu’une importante documentation bibliographique complètent l’ouvrage, créant ainsi une image totale de l’univers de Corneille.
    Coudrain Brigitte
    "Werkverzeinis der Radierungen, 1957-1975", Rolf Schmücking, Verlag Galerie Schmücking, 1976

    Catalogue raisonné - Brigitte Coudrain

    "Werkverzeinis der Radierungen, 1957-1975",
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    Le catalogue raisonné des gravures de Brigitte Coudrain, « Werkverzeichnis der Radierungen 1957-1975 », a été établi par Rolf Schmücking et publié par la Galerie Schmücking (Braunschweig) en 1976. L’ouvrage porte sur les deux premières décennies de création graphique de l’artiste et l’auteur répertorie ici 275 estampes originales, gravures isolées ou réalisées dans le cadre essentiel pour l’artiste du livre illustré ou du portfolio. Brigitte Coudrain a 20 ans lorsqu’elle devient l’élève de Johnny Friedlaender ; sa vie dédiée à la gravure se déroulera auprès de ce maître jusqu’à la disparition de celui-ci (1992). Dès 1958, Brigitte Coudrain participe à d’importantes biennnales de gravure (Grenchen, Ljubijana, etc). En 1959, l’artiste est remarqué au Salon de la jeune Gravure Contemporaine (Musée d’Art Moderne, Paris) et obtient, cette même année, un prix à la Biennale de Paris. Elle montrera désormais avec régularité son travail dans tous les événements majeurs organisés autour de la gravure (Tokio, Krakau, Biella, Pescia, Epinal, Angoulême, Mulhouse, Berlin, New York, etc.). Les thèmes de l’artiste sont récurrents : les animaux (le cheval notamment), les paysages, les végétaux. Sa facture est reconnaissable entre toutes, facture où la précision du trait gravé confère à chaque thème traité une charge d’infini. « La compréhension par Brigitte Coudrain des mécanismes de la nature, du rythme et des lois des saisons lui donne le privilège d'expliquer ce que chacun perçoit confusément, lui permet de donner forme concrète à sa construction intellectuelle et spirituelle, » écrit Jacques Lassaigne en 1978.
    Courtin Pierre
    "L'oeuvre gravé 1944-1972", Yves Rivière, Ed. Yves Rivière, Paris, 1973.

    Catalogue raisonné - Pierre Courtin

    "L'oeuvre gravé 1944-1972",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Pierre Courtin réalisées jusqu'en 1972, a été établi par Yves Rivière à l'occasion de l'exposition de l'artiste au Musée-Château d'Annecy et à l'atelier des Halles de Montbéliard. Le catalogue raisonné proprement dit est précédé par les préfaces de Jacques Demougin et Daniel Meiller, par trois textes de l'artiste lui-même accompagnés de photographies (« Lamentation du graveur », « Tel un petit fonctionnaire » et « Essai biographique sur l'oeuvre et la personne de Robert Célestin Lebret dit Célestin d'Etampes »), par une notice biographique et un avant-propos de Jacques Putman. L'ouvrage propose la compilation de près de trente années de création graphique de l'artiste, de 1944 à 1972, soit un ensemble de 400 gravures au burin réalisées par Pierre Courtin sur cette période ; on découvrira quelques estampes pour lesquels d'autres techniques de gravure ont été utilisées, comme par exemple la pointe sèche ou l'utilisation de la roulette. On notera que des références spécifiques ont été attribuées à chaque gravure réalisée pour un ouvrage (par exemple pour « Six poèmes de Nicolas Beauduin » en 1950 ou pour « Images pour Eluard » avec ces 30 gravures de 1952). Bien sûr, un tel ouvrage permettra de découvrir l'évolution du travail de l'artiste au fil des ans, une technique, une « manière » et un monde graphique qui émergeront peu à peu, avant de s'affirmer. On notera que les huit dernières gravures du présent catalogue raisonné sont reproduites en couleurs. En fin d'ouvrage, la liste bienvenue de tous les titres des gravures aidera les amateurs de l'oeuvre de Pierre Courtin.
    « L'oeuvre de Pierre Courtin, / . . . / non pas vestige d'un monde perdu, mais matériau préservé pour bâtir les mythes futurs, » écrit Jacques Demougin.
    Cuttoli Marie
    "Teppiche - Tapis", catalogue d'exposition, Ed. Galerie Beyeler, Bâle (Suisse), 1961

    Catalogue raisonné - Marie Cuttoli

    "Teppiche - Tapis",
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    Ce catalogue d'exposition, à la Galerie Beyeler de Bale (Suisse) en 1961, peut être considéré comme un apport important à la connaissance et à la mise en lumière des tapis d'artistes.  Cette exposition présente ceux réalisés par les  Editions Myrbor (Marie Cuttoli et Lucie Weill). Tapis de laine, point noué à la main, on y retrouve les signatures brodées au verso de Arp, Bissier, Bissière, Calder, Ernst, Vieira da Silva, Klee, Laurens, Léger, Miro, Nicholson ou Picasso. Après une courte introduction de Marie Cuttoli, on découvrira ici 35 références dont 28 reproductions de tapis à images collées (en couleurs ou noir et blanc). Les textes sont en langue française et le catalogue est non paginé.
  • D
    Dali Salvador
    "Dali et les livres ", par Eduard Fornés et autres, Editorial Mediterrània, Barcelone, 1984

    Catalogue raisonné - Salvador Dali

    "Dali et les livres ",
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    Catalogue d'exposition, si « Dali et les livres » ne constitue pas à proprement parlé un catalogue raisonné, il doit être considéré comme un ouvrage de toute première importance dans le domaine abordé. Hommage du peuple catalan à Dali, l'exposition portant titre fut présentée pour la première fois en 1982 dans la Chapelle Royale de Barcelone ; elle le sera, deux ans plus tard, à Nîmes dans le cadre de son musée d'Art. L'ouvrage, comme l'exposition, est scindé en deux parties : Dali écrivain et Dali illustrateur. Salvador Dali collaborera, à partir de 1926, à des revues catalanes, françaises, espagnoles et anglaises, ses textes permettent de déceler l'évolution de l'artiste. « La Femme visible », « La Conquête de l'irrationnel », « L'amour et la mémoire », « Babaouo » et « La Métamorphose de Narcisse », ouvrages publiés à Paris à l'époque du Surréalisme, puis « La Vie secrète de Salvador Dali », publié à New York, sont autant de balises, de points de repère dans la longue trajectoire littéraire de l'artiste. L'ouvrage propose, dans sa seconde partie, un répertoire des livres et des revues avec textes qui ont été illustrés par Dali, écartant les simples portfolios de gravures. Le présent ouvrage présente plus de 400 notices dans un ordre chronologique.
    "Graphic Works", Albert Field, Ed. The Salvador Dali Archives, New York, 1996

    Catalogue raisonné - Salvador Dali

    "Graphic Works",
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    Si les deux volumes publiés par Michler & L. W. Löpsinger aux Editions Prestel en 1994 et 1995 ont souvent fait référence concernant les estampes de Dali, on doit considérer le catalogue raisonné établi par Albert Field en collaboration avec l'artiste lui-même, « The official catalog of the Graphic Works of Salvador Dali », comme la référence absolue. Ce travail, en effet, a été publié avec l'autorisation de Dali par « The Salvador Dali Archives » de New York en 1996. On y découvrira, notamment et par exemple, qu'un ensemble de 56 estampes que montre le « Michler & L. W. Löpsinger » n'a pas reçu l'aval de cette institution. On sait que de nombreuses fausses estampes du Maître ont été publiées au fil du temps et le présent ouvrage aide à s'y retrouver. Comme il se doit pour une telle somme de références, le catalogue raisonné comporte un index des titres. En outre, en fin d'ouvrage, on découvrira un guide à l'attention des collectionneurs des estampes de Dali avec de très nombreuses aides (signatures de l'artiste, les tampons secs, etc.), parmi lesquelles « les estampes dénoncées par Dali », « les estampes d'interprétation », « les pastiches », « les contrefaçons » et autres « facsimilés ».
    "Les gravures et techniques mixtes, 1924-1980", par R. Michler & L. W. Löpsinger, Ed. Prestel, 1994

    Catalogue raisonné - Salvador Dali

    "Les gravures et techniques mixtes, 1924-1980",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre graphique de Salvador Dali, en deux volumes, a été établi par R. Michler et L. W. Löpsinger et publié par les éditions Prestel (Munich) en 1994 et 1995. Alors que le volume II s’intéresse plus particulièrement aux lithographies et bois gravés de l’artiste pour la période 1956-1980, le volume I répertorie les gravures et les estampes à technique mixte entre 1924 et 1980. Ce premier volume référence 937 œuvres imprimées sur papier, y compris - et elles sont très nombreuses - celles ayant été réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille. On y suivra l’évolution picturale de l’artiste au fil des ans. L’ensemble du catalogue raisonné répertorie plus de 1500 œuvres sur papier. L’œuvre graphique de Salvador Dali, par sa très large diffusion de par le monde, a certainement participé à la notoriété planétaire de l’artiste.
    "Les lithographies et bois-gravés, 1956-1980", par R.Michler & L. W. Löpsinger, Ed. Prestel, 1995

    Catalogue raisonné - Salvador Dali

    "Les lithographies et bois-gravés, 1956-1980",
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    Bien qu’ayant abordé le monde de l’estampe et notamment de la gravure plus de 30 ans auparavant (1924), Salvador Dali rejeta l’idée de la technique lithographique jusqu’en 1956. Publié par les éditions Prestel (Munich, 1994 et 1995), le catalogue raisonné de l’œuvre graphique de Salvador Dali, en deux volumes, a été établi par R. Michler et L. W. Löpsinger. Si le volume I s’intéresse aux gravures et aux estampes à technique mixte entre 1924 et 1980 (937 œuvres imprimées répertoriées), le volume II se consacre aux estampes, lithographies et bois gravés de l’artiste pour la période 1956-1980. On trouvera dans ce second volume la description de 587 œuvres sur papier, y compris celles ayant été réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille. L’œuvre graphique de Salvador Dali a été très largement diffusée de par le monde et a certainement participé à la notoriété planétaire de l’artiste. Si l’œuvre graphique de Dali suit pas à pas l’œuvre peint de l’artiste, on peut parfois regretter dans l’œuvre imprimé des tirages qui semblent beaucoup trop importants et qui placèrent Dali dans un espace particulier.
    Danielis Massimo
    "Druckgraphik The prints", M. Danielis und M. von Manstein Verlag, Pfaffenhofen, 2008

    Catalogue raisonné - Massimo Danielis

    "Druckgraphik The prints",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Massimo Danielis a été établi par l’artiste lui-même en collaboration avec Marianne von Manstein. Publié en 2008, l’ouvrage est bilingue allemand-anglais ; les auteurs répertorient l’ensemble des gravures et lithographies publiées par Danielis sur la période 1995-2007, soit 392 estampes originales. On notera que les gravures de l’artiste sont réalisées dans les techniques classique de cet art (eau-forte et pointe-sèche) et que les lithographies sont réalisées à partir d’un travail sur plaque d’aluminium. La totalité de ces estampes a été tirée par l’artiste dans son propre atelier, ce qui lui assure une plus grande liberté et un résultat qu’il juge optimum. L’ouvrage, en outre, s’ouvre sur une préface donnant les clefs du travail de l’artiste ; il est clos par une brève biographie et une gravure originale. Le terme de « Peintre-graveur », inventé au 19ème siècle par Adam von Bartsch, s’applique véritablement à Massimo Danielis. L’artiste utilise souvent différentes techniques pour la création d’une seule et même estampe, avec grande précision et bonheur. Il travaille par série. Par son approche si personnel, Massimo Danielis invite celui qui regarde à participer, lui ouvrant le chemin d’autres façons de penser ou d’autres directions.
    Davis Stuart
    "« Stuart Davis, Graphic work and related paintings with a catalogue raisonné of the prints »", Sylvan Cole and Jane Myers, Ed. Amon Carter Museum, Fort Worth, Texas, 1986.

    Catalogue raisonné - Stuart Davis

    "« Stuart Davis, Graphic work and related paintings with a catalogue raisonné of the prints »",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Suart Davis a été publié à l'occasion de l'exposition de l'artiste, « Suart Davis : Graphik Work and related paintings », au Musée Amon Carter à Fort Worth au Texas en 1986. En 1984, le musée avait fait l’acquisition d'une quarantaine d'oeuvres de l'artiste, des estampes (lithographies et sérigraphies), mais aussi d'un ensemble de dessins.
    C'est grâce à cet achat que naitra l'idée de l'exposition et du catalogue. L'exposition, qui met en parallèle estampes et dessins, permet ainsi de mieux comprendre la méthodologie de l'artiste. On remarquera au fil des pages que l'oeuvre graphique permet à l'artiste de réinterpréter certains motifs jusque là dessinés et aussi d'explorer de nouvelles idées picturales. Sylvan Cole and Jane Myers  répertorie ici 25 estampes réalisées entre 1915 et 1929 ; elles sont reproduites et mises directement en parallèle avec des dessins de l'artiste. Ce catalogue raisonné est basé sur la liste établie quelques années auparavant, en 1976, par Sylvan Cole dans son ouvrage « The print of Stuart Davis », liste qui a été modifiée, augmentée et amélioré dans le catalogue présenté ici en fonction des nouvelles connaissances acquises. Comme pour son œuvre peint, l'oeuvre de graphique de Stuart Davis préfigure les nombreux mouvements qui allaient bientôt apparaître, allant de l'art conceptuel au pop art.
    De Almeida David
    "Gravura em retrospectiva",
    De Chirico Giorgio
    "Catalogo dell’opera grafica", Vol. I, par A. Vastano, Ed. Bora, Bologne, 1996

    Catalogue raisonné - Giorgio De Chirico

    "Catalogo dell’opera grafica",
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    Réalisé en deux volumes et en langue italienne, le catalogue raisonné de l’oeuvre graphique de Giorgio de Chirico - « Catalogo dell’opera grafica » - porte sur une période de plus d’un demi siècle de création de l’artiste, entre 1921 et 1977 : Vol. I de 1921 à 1969 et Vol. II de 1969 à 1977, année précédente à celle de la disparition de l’artiste. Publiés en 1996 et 1999 par les Editions Bora de Bologne, l’ensemble fait référence dans le domaine de l’art graphique de l’artiste. Les auteurs, Antonio Vastano (Vol. I, présenté ici) et Edoardo Brandani (Vol. II), répertorient les éléments d’un œuvre constitué de 386 références (177 + 209) : gravures et lithographies, noir ou couleurs, y compris les estampes réalisées dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille. Dès ses débuts les thèmes métaphysiques seront la marque de l’artiste et les chevaux toujours présents. L’élaboration de ces deux volumes a été supervisée par la « Fondazione Giorgio e Isa de Chirico ».
    "Catalogo dell’opera grafica", Vol. II, par E. Brandani, Ed. Bora, Bologne, 1999

    Catalogue raisonné - Giorgio De Chirico

    "Catalogo dell’opera grafica",
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    Supervisé par la « Fondazione Giorgio e Isa de Chirico » et réalisé en deux volumes (en langue italienne), le catalogue raisonné de l’oeuvre graphique de Giorgio de Chirico - « Catalogo dell’opera grafica » - porte sur la période 1921-1977, période de plus de cinquante ans de création graphique de l’artiste. Le volume I, établi par Antonio Vastano, répertorie 177 références d’œuvres imprimées sur papier ou estampes : gravures et lithographies ; le volume II (présenté ici), établi lui par Edoardo Brandani, en compte 209, repartis également sur ces deux techniques. Dans chaque tome, publié par les Editions Bora (Bologne, 1996 et 1999), sont décrites les œuvres réalisées par de Chirico dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille.
    "Catalogo dell’opera grafica, 1921-1969", Alfonso Ciranna, Ed. La Medusa, Rome, 1969

    Catalogue raisonné - Giorgio De Chirico

    "Catalogo dell’opera grafica, 1921-1969",
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    Avant sa publication définitive (1996 et 1999) en deux volumes, un premier catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Giorgio Chirico, regroupant les gravures et les lithographies de l'artiste, fut établi par Alfonso Ciranna et publié, à Rome, par les Editions La Medusa. Après une introduction de Cesare Vivaldi, l'auteur y répertorie 174 estampes pour une période de création graphique de 49 années, entre 1921 et 1969. L'ouvrage est divisé en deux chapitres : les gravures (10 références) et les lithographies (164 références, chaque lithographie faisant partie d'un ouvrage représentant une référence). Les œuvres réalisées par de Chirico dans le cadre du livre illustré ou du portefeuille sont bien évidemment décrite une à une. On notera que, contrairement au catalogue définitif, les estampes sont ici reproduites en noir et blanc. Le présent catalogue raisonné est clos sur des index suivant la progression des dates de création, puis par titre dans un ordre alphabétique. Le catalogue raisonné définitif en deux volumes (voir autres entrées), qui couvre l'oeuvre graphique de l'artiste jusqu'en 1977, présente 386 estampes.
    De Kooning Willem
    "L'oeuvre gravé, 1957-1971", Vol. I, Lanier Graham, Ed. Baudouin Lebon, Paris, 1991

    Catalogue raisonné - Willem De Kooning

    "L'oeuvre gravé, 1957-1971",
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    Le volume I du catalogue raisonné de « L'oeuvre gravé, 1957-1971 » de Willem de Kooning a été établi par Lanier Graham et publié, en 1991, par les Editions Baudouin Lebon (Paris). L'ouvrage, trilingue (anglais, français et allemand), s'ouvre sur une introduction qui situe les expressionnistes abstraits américains par rapport à l'estampe (domaine qu'ils n'abordèrent véritablement qu'au début des années 60), se poursuit sur le parcours en ce domaine de Willem de Kooning qui s'initia - de façon peu orthodoxe - à la lithographie en 1960 ; on découvrira également la retranscription d'une intéressante interview de l'artiste par l'auteur. On notera que l'artiste travailla pour une brève période (début des années 40) dans l'Atelier 17 de Stanley William Hayter. Les premières estampes de l'artiste datent de l'année 1943, estampes disparues sans laisser la moindre trace. Sa première estampe connue est une eau-forte que l'artiste réalisa pour « 21 Etchings and Poems » en 1960. Cette gravure est donc l'estampe n°1 du catalogue raisonné proprement dit dans lequel l'auteur répertorié 51 estampes sur la période étudiée. Lanier Graham a scindé son étude en 3 sections : 1/ Les éditions limitées et signées (28 références : une eau-forte et 27 lithographies) 2/ Les épreuves signées (13 références : lithographies) 3/ Les éditions limitées non signées (10 références : lithographies). Avec ses rythmes visuels d'une grande richesse, l'oeuvre de de Kooning - comme celle de Pollock, Dubuffet, Fautrier ou Jorn - oscille entre le figuratif, le non-figuratif, et un mélange des deux.
    De la Bourdonnaye Alain
    "Gravures et livres illustrés", Christine Martinent de Vitry, Aux Dépens de l'artiste, Paris, 2011

    Catalogue raisonné - Alain De la Bourdonnaye

    "Gravures et livres illustrés",
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    Etabli par Christine Martinent de Vitry, le catalogue raisonné des « Gravures et livres illustrés » d'Alain de la Bourdonnaye a été publié en 2011 Aux Dépens de l'artiste. L'auteur y recense 162 références, dont les planches des différents ouvrages de l’artiste (un numéro pour chacun des titres) ; les planches isolées, les essais ou les planches uniques ont été comptabilisées séparément. En fin d'ouvrage, le catalogue donne également à découvrir toutes les cartes de vœux réalisées par Alain de la Bourdonnaye depuis 1956, soit 34 cartes gravées, toutes reproduites en couleurs. Outre les estampes (au total 450 reproductions en couleurs et en noir), l'ouvrage est agrémenté de reproductions de six photographies représentant l’artiste travaillant sur sa presse. Introduit par un poème de Vivant Gautrot, suivi par deux textes, « Alain de la Bourdonnaye graveur ! » de Marcelle Elgrishi- Gautrot et « L’œuvre gravé d’Alain de la Bourdonnaye » de Christine Martinent de Vitry, le catalogue permet de saisir l’ensemble de l’œuvre gravé et illustré de l’artiste, et plus particulièrement encore, la place des diverses formes de la gravure dans la création de l'artiste.
    De Staël Nicolas
    "L'oeuvre sur papier", Françoise de Staël, Ed. Ides et Calendes, Lausanne, 2013

    Catalogue raisonné - Nicolas De Staël

    "L'oeuvre sur papier",
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    Françoise de Staël, veuve de l'artiste décédée en mars 2012, est l'auteur de cet ouvrage. Le catalogue raisonné de l'oeuvre sur papier de Nicolas de Staël a été édité par les Editions Ides et Calendes (Lausanne) en 2013. Au delà des dessins, le catalogue raisonné regroupe l'ensemble de l'oeuvre graphique de l'artiste ; ce travail, très attendu, reproduit en effet près de mille six cents dessins ou estampes. D'une aquarelle peinte à 19 ans en Hollande et vendue aussitôt à un pêcheur, aux dernières études du Fort Carré d'Antibes de 1955, on peut suivre toutes les recherches de l'artiste. De magistrales réflexions préparatoires alternent avec des dessins « qui ne sont pas des études pour ses tableaux mais des oeuvres placées à égalité, répondant par leur économie de moyens à la magnifique turbulence de la peinture, et qui contribuent à la structure », souligne Germain Viatte dans sa préface à propos d'oeuvres de la fin des années 1940. L'œuvre graphique de Nicolas de Staël était resté jusqu'ici confidentiel, rarement montré au public, sauf à l'occasion de quelques publications et d'expositions. Ce catalogue raisonné des dessins va permettre à chacun, pour la première fois, d'approfondir sa connaissance du travail de l'artiste et d'avoir un regard exhaustif sur sa production graphique. Nicolas de Staël voyait le dessin en tant qu'œuvre en soi, mais également comme un travail préparatoire à l'élaboration d'une peinture. Nous suivons à travers cet ouvrage le fil biographique de Staël et visitons les lieux qui ont marqué sa vision. L'évolution du dessin à travers les dix années de sa production le fait passer de l'abstraction à la figuration, d'une composition enchevêtrée de lignes à un fil épuré qui innerve l'espace. La richesse des outils, des techniques comme la mine de plomb, le fusain, le feutre, la gravure, l'encre de Chine, la lithographie ou encore les papiers collés, révèle l'ampleur des recherches du peintre. L'oeuvre gravé, repris intégralement du catalogue raisonné de Françoise Woimant (paru en 1979 dans les « Nouvelles de l'Estampe ») est situé en fin d'ouvrage (p. 507 à 547) ; les estampes (bois gravé, linogravure, eau-forte, burin, lithographie achevé ou inachevé) sont, lorsqu'il y a lieu, reproduites en couleurs.
    "L’oeuvre gravé", par F. Woimant et F. de Staël, Ed. Bibliothèque Nationale, 1979

    Catalogue raisonné - Nicolas De Staël

    "L’oeuvre gravé",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Nicolas de Staël a été publié par les « Nouvelles de l’Estampe » en 1979, à l’occasion de la Donation de Staël au Cabinet des Estampes de Paris et de l’exposition de l’œuvre gravé de l’artiste à la Bibliothèque Nationale. Etabli par Françoise Woimant et l’épouse de l’artiste, le catalogue répertorie les 107 planches que Nicolas de Staël grava sur la période 1949-1954, dans les cinq dernières années de sa vie ; 42 d’entre elles parurent dans des livres, parmi lesquels les célèbres « Poèmes » de René Char et « Ballets-Minutes » de Pierre Lecuire qu’il faut inclure parmi les plus beaux livres illustrés qui inaugurent la seconde moitié du XX° siècle. L’on compte sur l’ensemble de ses œuvres imprimées sur papier, seules deux linogravures, une quarantaine de bois gravés, autant sur cuivre et une vingtaine d’œuvres conçues sur la pierre ou lithographies. Plus encore que son attirance pour l’estampe en couleurs, sa passion pour la poésie et son amitié pour les poètes ont conduit le peintre à s’intéresser au livre, par la même à la gravure, aux techniques plus austère du bois de bout et de la taille-douce en noir et blanc.
    "L’oeuvre gravé", "L’oeuvre peint",
    Debré Olivier
    "Les estampes et les livres illustrés", par E. Pernoud, Ed de la Sorbonne, 1991

    Catalogue raisonné - Olivier Debré

    "Les estampes et les livres illustrés",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre graphique d’Olivier Debré a été établi par Emmanuel Pernoud et publié par les Editions de la Sorbonne, Paris, en 1991. Cet ouvrage de référence en ce domaine pour l’artiste étudie l’ensemble de l’œuvre pour la période 1945-1991. Olivier Debré débute la gravure dès 1945 : eaux-fortes en noir, lithographies en couleurs, sérigraphies ou pochoirs, ses estampes sont nombreuses et de technique variées. Beaucoup d’entre elles furent destinées à l’illustration et témoignent des rencontres de l’artiste avec écrivains et poètes (Francis Ponge, Edmond Jabès, Michel Déon, Bernard Noël, Michel Butor, Pierre Torreilles, Julien Gracq). L’auteur répertorie 470 références sur ces 46 années de création graphique. En outre, des estampes de reproduction sont proposées en fin d’ouvrage. On retrouvera dans son œuvre imprimée, les « Signes-personnages » des années 1950-1955, son art évoluant, à partir de 1960, vers un espace pictural qui renvoie à la liberté et exalte la couleur.
    Degas Edgar
    "Gravures - monotypes", par J. Adhemar et F. Cachin, Ed. Arts et Métiers graphiques, 1973

    Catalogue raisonné - Edgar Degas

    "Gravures - monotypes",
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    Cet ouvrage est le premier qui publie l'ensemble des estampes connues d'Edgar Degas. "Gravures - Monotypes" a été établi par Jean Adhémar et Françoise Cachin et publié par les Editions Arts et Métiers graphiques en 1973. Les 68 lithographies et gravures, parmi lesquelles d'admirables portraits et autoportraits de jeunesse, comme la célèbre série de Mary Cassatt en visite au Louvre (une des plus belles du XIXe siècle), sont cataloguées et présentées par Jean Adhémar, conservateur en chef du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale dans les années 70. Les 201 monotypes en noir et blanc et en couleurs le sont par Françoise Cachin. Le thème le plus fréquent, celui des maisons closes, exclusivement réservé par l'artiste aux monotypes, fait apparaître pour la première fois au grand public l'aspect le plus secret et le plus humoristique de Degas, ainsi qu'une liberté technique toute moderne. L'ouvrage s'ouvre sur une préface générale de John Rewald et chacune des deux sections est précédé de longues introductions par les auteurs du catalogue raisonné. L'ouvrage est clos par le catalogue des gravures, puis par celui des monotypes.

    Delaunay Robert
    "L'oeuvre lithographique", Jacqueline Loyer, in Nouvelles de l'estampe n°15, Paris, 1974

    Catalogue raisonné - Robert Delaunay

    "L'oeuvre lithographique",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre lithographique de Robert Delaunay fut établi par Jacqueline Loyer et publié dans la revue Nouvelles de l'estampe n°15 (Paris), en 1974. Les 36 estampes et illustrations originales de Robert Delaunay n'avaient fait, jusqu'à cette publication, l'objet d'aucune description d'ensemble. La seule exception à la technique de la lithographie originale de l'artiste concerne une gravure sur rhodoïd (n° 36 du catalogue). On notera que l'épouse de l'artiste, Sonia Delaunay, donna une aide de première importance à l'auteur pour la réalisation de ce travail. Les lithographies originales de Robert Delaunay, peu nombreuses, ont été pour la plupart tirées en un seul ton, le noir (auquel l'artiste a parfois ajouté une planche de soutien en bistre). L'artiste, sur le plan graphique, reprend quelques-unes de ses pièces magistrales (peintures, art mural) et quelques-uns de ses thèmes majeurs. De 1922 à 1928, l'artiste n'a réalisé que 5 lithographies originales indépendantes, estampes dont le tirage est inconnu (« L'équipe de Cardiff », « Saint-Severin », « La tour », « Le fenêtre sur la ville » et « Le baiser »). Les autres estampes originales de l'artiste ont été réalisées pour l'illustration d'ouvrages (« Allo! Paris » de Joseph Delteil, « La relève du matin » de Henry de Montherlant et « Clefs des pavés » d'Anatole Delagrave, ce dernier avec la gravure sur rhodoïd).
    Delaunay Sonia
    "Donation Sonia Delaunay", collectif, Ed. Bibliothèque Nationale, 1977

    Catalogue raisonné - Sonia Delaunay

    "Donation Sonia Delaunay",
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    Réalisée au début des années 70, l’impressionnante donation de Sonia Delaunay à la Bibliothèque Nationale, d'une richesse exceptionnelle, sera suivi d'une exposition de tout premier plan qui présentait la quasi totalité de cette donation : manuscrits, livres, reliures originales, estampes, dessins et recherches graphiques. L'ouvrage présenté ici est le catalogue de cette exposition, sorte de catalogue raisonné de la donation ; les auteurs y répertorient 541 références. On verra que les noms de Robert et Sonia Delaunay y sont constamment associés. Intéressés par toutes les créations d'avant-garde, qu'elles fussent d'ordre littéraire ou artistique, le couple se plaça toujours au cœur de la modernité. Avant 1914, ils découvrirent ensemble un système artistique qui leur permettait de communiquer « l'éblouissement que procure la vue de la lumière . . . indépendamment des objets à travers lesquels elle circule ».
    Cette donation, cette exposition, se veut apporter une connaissance plus complète et plus intérieure des deux artistes en montrant l'ensemble de leur œuvre gravé et en faisant revivre leurs recherches, leurs pensées quotidiennes, leurs tâtonnements, le décor familier qu'ils s'étaient composé et le cercle des amis qui furent sensibles à leur rayonnement.
    En outre, ce catalogue se referme sur un inventaire sommaire de la Donation Sonia Delaunay.
    Delvaux Paul
    "Das Graphische Werk", Mira Jacob, Editions André Sauret, Monaco, 1976

    Catalogue raisonné - Paul Delvaux

    "Das Graphische Werk",
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    La rencontre, en 1934, avec l’oeuvre de Giorgio de Chirico conduira Paul Delvaux sur les chemins de l’imaginaire et du rêve qui lui permettront de bâtir son œuvre. Publié un an après le catalogue raisonné de l’œuvre peint de Paul Delvaux (Cosmos Monographies, Bruxelles, 1975), le catalogue raisonné de l’œuvre graphique de Paul Delvaux - ici en version allemande -, « Das Graphische Werk », a été établi par Mira Jacob - comme la préface et les notices d’accompagnement - et publié par les Editions André Sauret (Monaco, 1976). On notera que la description des planches est en langue anglaise. L’auteur y répertorie 97 estampes réalisées par l’artiste sur une période de 15 années, entre 1960 et 1975. Estampes souvent réalisées en noir et blanc, l’artiste s’exprimera tout d’abord par la gravure (1960), puis par la lithographie ; la toute première lithographie de Delvaux - en couleurs - sera exécutée en 1966. L’auteur répertorie 26 gravures et 71 lithographies ; ces dernières sont souvent réalisées en deux versions, une version en noir et blanc, puis une version mise en couleurs. A l’exception des toutes premières gravures des années 1960, Paul Delvaux utilisera cette technique exclusivement dans le cadre des deux livres illustrés pour lesquels il collaborera : « Sept dialogues avec Paul Delvaux » (texte de Jacques Meuris, Ed. Soleil Noir, Paris, 1971) et « Topologie d’une Cité fantôme » (Alain Robbe-Grillet, Ed. Galerie Le Bateau-Lavoir, Paris, 1975). Dans un univers surréaliste et comme dans son œuvre peint, la femme est au centre de l’oeuvre graphique de Paul Delvaux.
    Denis Maurice
    "L'oeuvre gravé et lithographié", Pierre Cailler, Ed. Pierre Cailler, Genève, 1968

    Catalogue raisonné - Maurice Denis

    "L'oeuvre gravé et lithographié",
    Pic
    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé et lithographié de Maurice Denis a été établi par Pierre Cailler et édité par sa propre maison d'édition à Genève en 1968. Dans sa courte introduction, l'auteur nous dit les difficultés à réaliser ce travail, essentiellement due à la grande rareté des planches. L'auteur a pris le parti de ne présenter ici que les estampes originales, soit 233 références, écartant les bois gravés d'interprétation pourtant d'une grande beauté réalisés par Jacques Beltrand, l'ami de Maurice Denis. Les oeuvres présentées couvrent une période de 40 années de création graphique, essentiellement réalisées sur la pierre lithographique, de l'année 1889 à l'année 1939. Chaque estampe, lorsqu'elle a été conçue pour un ouvrage en contenant plusieurs, a reçue une référence indépendante. On trouvera, en fin d'ouvrage, la liste – bien utile  - des titres des estampes classées par ordre alphabétique.
    Deyrolle Jean
    "L'oeuvre peint, 1944-1967",
    "L’oeuvre gravé", par Georges Richar, Ed. Les Amis de Jean Deyrolle, 1976

    Catalogue raisonné - Jean Deyrolle

    "L’oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Jean Deyrolle par Georges Richar répertorie 137 références – voir les variantes -, linogravures, lithographies, gravures et oeuvres graphiques réalisées dans les domaines de la presse ou du livre illustré. L’oeuvre gravé de l’artiste est le reflet, le prolongement de l’oeuvre peint. On compte parmi cet ensemble, une presque centaine (99) de lithographies, quinze linogravures, treize eaux-fortes, une poignée de gravures sur bois, quelques pochoirs, une sérigraphie et autres. Lorsque l’on parcourt l’oeuvre graphique de Jean Deyrolle, on peut parfaitement suivre son itinéraire plastique ; l’artiste a produit plus de mille toiles. Comme dans sa peinture, on peut y découvrir, si présent, si caractéristique, « le sentiment de la nature » dans ses formes, dans son expression, dans sa logique. On notera que, en ce domaine aussi, la pondération des moyens utilisés par l’artiste renforce l’intensité de son oeuvre. Avec la plus grande des libertés, l’artiste reconstruit ce monde invisible qu’il explore humblement.
    Di Rosa Hervé
    "Graphic", Jean Seisser, Angel Art Servanin, Fage Editions, Lyon, 2012

    Catalogue raisonné - Hervé Di Rosa

    "Graphic",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Hervé Di Rosa, « Hervé Di Rosa graphic », a été établi par Jean Seisser en collaboration avec l'artiste, et publié par Fage Editions à Lyon en 2012. Le catalogue proprement dit est précédé d'une introduction de l'artiste et par un chapitre « zoom » qui montrent, en grand format ou en pleine page, une large sélection d'oeuvres. Le catalogue a lui été établi par années successives suivant les 35 années de création graphique de l'artiste, soit des années 1977-1982 à l'année 2012 ; l'auteur, dans cette première partie, recense 647 références. La fin du catalogue est consacrée aux éditions (DIROSA Magazine, éditions d'art, livres d'artiste, catalogues d'exposition, cartes de voeux, etc). L'artiste s'exprime au fil des ans dans toutes les techniques liées au monde de l'art graphique : gravure (eau-forte, pointe sèche, aquatinte), linogravure, sérigraphie, lithographie, reproduction offset, pochoir, bois gravé, technique mixte. Chaque section correspondante à une année de création est introduite par les faits marquants dans la vie de l'artiste pour la dite année (phrases de la main de l'artiste). Un ouvrage indispensable pour les amateurs de Hervé Di Rosa ou pour tous ceux qui aimeraient le découvrir.
    "Les estampes de Hervé Di Rosa, 1981-1996",
    Dine Jim
    "Complete graphics", par T. Towle et Galerie Mikro (Berlin), Ed Petersburg Press (Londres), 1970

    Catalogue raisonné - Jim Dine

    "Complete graphics",
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    Le premier volume du catalogue raisonné de l’œuvre graphique de Jim Dine, « Complete graphics », porte sur les dix premières années de création graphique de l’artiste, de 1960 à 1969. Etabli par Tony Towle et la Galerie Mikro de Berlin, l’ouvrage a été publié par Petersburg Press de Londres en 1970. L’auteur y répertorie 77 œuvres imprimées sur papier, estampes originales de l’artiste, réalisées en différentes techniques : lithographies, gravures, sérigraphies, estampes mariant la gravure et la photographie, estampes avec collage, etc., y compris les œuvres réalisées dans le domaine de l’affiche ou du portfolio. Très vite, le support papier représentera un intérêt de premier ordre pour l’artiste et Jim Dine créera sa première lithographie en 1962 (Universal Limited Art Editions). A ce jour, le catalogue raisonné de l’œuvre graphique de Jim Dine compte quatre volumes et, le dernier, « Jim Dine Prints, 1985-2000 », a été publié en 2002 par le Minneapolis Institute of Art.
    "Jim Dine - Aldo et moi", Aldo Crommelynck, Ed. Steidl / Bibliothèque nationale de France, Paris, 2007.

    Catalogue raisonné - Jim Dine

    "Jim Dine - Aldo et moi",
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    Ce catalogue n'est pas un catalogue raisonné à proprement dit, mais un ouvrage de référence très interessant pour les amoureux de l'artiste t pour loes amateurs d'estampes. Il a été publié à l’occasion de l’exposition « Jim Dine : Aldo et moi. Estampes gravées et imprimées avec Aldo Crommelynck » présentée à la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, du 24 avril au 17 juin 2007.
    Depuis leur rencontre en 1975 jusqu’à la publication de ce catalogue en 2007, Jim Dine et Aldo Crommelynck ont gravé et imprimé 126 planches, dont 41 contenues dans deux livres illustrés.
    L’ouvrage, outre une préface de Jean-Noël Jeanneney, un texte de Meira Perry-Lehmann, un texte de Jim Dine et un d’Aldo Crommelynck évoquant leurs relations, répertorie 104 planches toutes reproduites en pleine page et décrites en fin de catalogue.
    Tous les textes et les descriptifs d’œuvres sont à la fois en français et en anglais, en fin d’ouvrage on trouve aussi une bibliographie sélective ainsi qu’une biographie de l’artiste et du graveur.
    "Prints 1977-1985 ", par E. G. D’Oench, Harper and Row Publishers, New York, 1986

    Catalogue raisonné - Jim Dine

    "Prints 1977-1985 ",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique du peintre Jim Dine se compose de quatre volumes ; l’ensemble de ces ouvrages de référence porte sur une période de quarante années de création, de 1960 à 2000. E. G. D’Oench, l’auteur du troisième volume présenté ici, « Jim Dine, prints 1977-1985 » (Harper and Row Publishers, New York, 1986) répertorie 206 estampes de l’artiste : lithographies, gravures à l’eau-forte et à l’aquatinte, pointes-sèches, gravures sur carton, bois gravés, linogravures ; ce travail a été précédé par un premier volume, « Jim Dine, the complete graphics, 1960-1969 » (Ed. Galerie Mikro, Berlin, 1970), qui concernait les dix premières années de création de l’artiste en ce domaine, puis par « Jim Dine, prints 1970-1977 » publié en 1977 (Thomas). Le quatrième volume, « Jim Dine Prints, 1985-2000 », a lui été publié en 2002 par Ed. Minneapolis Institute of Art. Le présent volume, en langue anglaise, s’ouvre par deux textes d’introduction sur l’œuvre graphique de Jim Dine par E. G. D’Oench et Jean E. Feinberg.
    "Prints, 1985-2000", par E. Carpenter et autres, Ed. Minneapolis Institute of Art, 2002

    Catalogue raisonné - Jim Dine

    "Prints, 1985-2000",
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    « Je suis né pour faire des estampes. Je crois cela. Je peux penser à l’envers, » a déclaré récemment l’artiste. Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Jim Dine se compose de quatre volumes ; l’ensemble porte sur une période de quarante années de création, de 1960 à 2000. Le premier volume, « Jim Dine, the complete graphics, 1960-1969 » (Ed. Galerie Mikro, Berlin, 1970), fut consacré au dix premières années de l’artiste en ce domaine ; il fut suivi un second volume, « Jim Dine, prints 1970-1977 » (Thomas, 1977), qui répertorie 224 œuvres imprimées sur papier. Un troisième volume (« Jim Dine, prints 1977-1985 », Feinberg, 1985), puis un quatrième (« Jim Dine Prints, 1985-2000 », par E. Carpenter et autres, Ed. Minneapolis Institute of Art, 2002) vinrent continuer de constituer, à ce jour, la référence dans le domaine de l’art graphique pour l’artiste. On y découvrira que l’artiste utilisa et utilise toutes les différentes techniques liées à l’estampe : lithographies, gravures à l’eau-forte et à l’aquatinte, pointes-sèches, gravures sur carton, bois gravés, linogravures, carborundum.
    Disler Martin
    "L'Oeuvre Gravé - Die Druckgraphik - The Prints, 1978-1988", J. Willi-Cosandier & R. M. Mason, Ed. Cabinet des Estampes de Genève, 1989

    Catalogue raisonné - Martin Disler

    "L'Oeuvre Gravé - Die Druckgraphik - The Prints, 1978-1988",
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    Si la première eau-forte de Martin Disler date de 1970 et que 3 estampes ont été réalisé avant 1978, ce n'est pourtant qu'au début des années 80 que l'artiste s'engage réellement dans la gravure. Le catalogue raisonnée de l'oeuvre graphique de Martin Disler est paru en une seule version trilingue (français, allemand, anglais) : "L'Oeuvre Gravé - Die Druckgraphik - The Prints, 1978-1988". Cette période de 11 années de création a été étudié par Julian Willi-Cosandier et Rainer Michael Mason ; elle est publiée par le Cabinet des Estampes de Genève en 1989. Les auteurs répertorient 316 estampes de l'artiste pour une période de 11 années, entre 1978 et 1988, ce qui porte à 319 estampes lorsque l'on démarre ce comptage en 1970. Si les gravures (eau-fortes, aquatintes, pointes sèches, vernis mou, roulette) sont les plus nombreuses, on découvrira de nombreuses estampes réalisées dans d'autres techniques : sérigraphies (2 en 1976 et 1977), linogravures, bois gravés et lithographies (à partir de 1988). « Au cours des années 80 - écrit Martin Disler -, je fus aspiré lentement mais régulièrement, jusqu'à tomber enfin dans la dépendance des pratiques de la gravure. . . . La passion commença par la taille-douce » ou encore : « Le cuivre brille intérieurement, le bois brûle de façon invisible, une pierre froide comme la mort, il faut la réchauffer! ». L'ouvrage est enrichi de textes de l'artiste et des auteurs. En outre, il comporte de nombreuses annexes en partie finale (usage du catalogue, vocabulaire, biographie, liste des expositions personnelles, bibliographie, index des titres).    

    Domela César
    "L'oeuvre en relief", par Alain Clairet, Ed. Carmen Martinez, 1978

    Catalogue raisonné - César Domela

    "L'oeuvre en relief",
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    Il n’existe à ce jour, à notre connaissance, aucun catalogue raisonné de l’œuvre graphique de César Domela-Nieuwenhuis. Etabli par Alain Clairet et publié par les Editions Carmen Martinez en 1978 (bilingue français-anglais), le catalogue raisonné de l’œuvre en relief de l’artiste – peintures, reliefs, sculptures -, présenté ici, est l’un des ouvrages de référence sur l’artiste d’origine hollandaise qui consacra cinquante ans de travail et de recherche à l’abstraction. Domela sera l’un de ceux, même dans les moments les plus difficiles, qui ne s’écartèrent jamais de la voie de l’art figuratif. Outre le fait de présenter 262 œuvres de l’artiste, on y découvrira plusieurs éléments d’intérêt : biographique, bibliographique, concernant des expositions de l’artiste, et un ensemble de documents primordiaux à la connaissance de l’artiste.
    Dorazio Piero
    "Opera incisa, 1962-1993", G. Simongini, Ed. Pananti, Firenze, 1995

    Catalogue raisonné - Piero Dorazio

    "Opera incisa, 1962-1993",
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    Il n’existe pas, à ce jour et à notre connaissance, de Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique complet de Piero Dorazio. Aucun ouvrage ne semble répertorier les pourtant nombreuses lithographies et sérigraphies de l’artiste. Le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé de l’artiste italien Piero Dorazio, « Catalogo Ragionato dell’opera incisa » 1962-1993, a été établi par Gabriele Simongini et publié par les Ed. Pananti (Florence) en 1996. L’auteur y répertorie 327 références, œuvres sur papier réalisées selon les principales techniques liées exclusivement au monde de la gravure : gravures à l’aquatinte, à l’eau-forte, pointes-sèches, gravures sur cuivre, sur zinc, œuvres gravées individuelles ou réalisées pour l’illustration d’un ouvrage ou d’un portfolio dans lesquels l’artiste intervient individuellement ou dans un collectif d’artiste. Piero Dorazio participa effectivement largement au monde de la bibliophilie, ses gravures accompagnant des auteurs ou des poètes tels Giuseppe Ungaretti, Vinicius de Moraes, Léopold Sédar Senghor et d’autres encore. En outre le présent catalogue – en langue italienne- est accompagné d’un important nombre d’annexes sur l’œuvre graphique de l’artiste. Le présent ouvrage ne répertorie aucune des œuvres de Dorazio réalisées en technique lithographique ou sérigraphique.
    Dorny Bertrand
    "L’oeuvre gravé, 1962-1991 ", Ed. PACA (Présence de l’Art Contemporain Angers) 2002

    Catalogue raisonné - Bertrand Dorny

    "L’oeuvre gravé, 1962-1991 ",
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    Le catalogue raisonné définitif de l’œuvre gravé de Bertrand Dorny, « L’oeuvre gravé, 1962-1991 », a été publié par Présence de l’Art Contemporain (Angers) en 2002. Il fait suite à un premier ouvrage de ce type (« L’oeuvre gravé, 1967-1980 »), préfacé par Bernard Gheerbrant et publié en 1981 par les Ed. Sources (Paris). L’auteur de cet ouvrage, qui fait aujourd’hui référence, répertorie 630 estampes pour ces trente années de création graphique de Dorny. « Trente ans de gravure » est d’ailleurs le titre de l’essai de Jean-Pierre Arnaud qui ouvre le catalogue, après la préface du poète - et ami de l’artiste - Yves Peyré. En outre, le catalogue présenté ici comporte plusieurs annexes et documents d’intérêts : un entretien de l’artiste avec Bernard Gheerbrant, entretien réalisé en 1972 (à l’occasion de la publication par La Hune d’une suite de 9 gravures de l’artiste), un aperçu biographique, la liste des principales expositions particulières de l’artiste, ainsi que celle des Salons, Biennales et expositions collectives pour lesquels l’artiste apporta sa contribution. L’ouvrage est clos sur une bibliographie sélective et sur le listing de tous les titres des gravures de Dorny. « A quoi bon ajouter de la peinture à la peinture... On se trouve sans cesse dans un labyrinthe. On cherche la sortie en jouant pour éviter l'angoisse, et ce jeu a besoin de jalons afin d'être vécu comme une promenade, » dit l’artiste.
    "L’oeuvre gravé, 1967-1980", B. Dorny, Ed. Galerie Sources, Paris, 1981

    Catalogue raisonné - Bertrand Dorny

    "L’oeuvre gravé, 1967-1980",
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    Paru 20 ans avant l’ouvrage qui fait aujourd’hui référence (« L’œuvre gravé, 1967-1991 », Ed. Présence de l’Art, Angers, 2002), le premier catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Bertrand Dorny concernait la période 1967-1980. Etabli par l’artiste lui-même, présenté par Bernard Gheerbrant (La Hune), cet ouvrage a été publié en 1981 par les Editions de la Librairie Sources (Paris). Bertrand Dorny y répertoriait déjà 416 estampes originales (le catalogue définitif en recense 630 pour les 30 années de création graphique de l’artiste). Si Dorny reconnaît lui-même le début de son œuvre gravé avec « Atome intérieur » réalisé en 1967 (référence n°1 du catalogue raisonné présenté ici), l’artiste a illustré auparavant en 1962, 1963, 1966 trois livres de 10, 7 et encore 10 eaux-fortes. Son parcours artistique commence ainsi 10 ans avant 1967 ; avant que la gravure ne « l’envahisse », l’artiste peint, voyage, expose (Boston, Paris, Westport). Dorny fera le choix de la gravure en taille douce, emploiera l’eau-forte et l’aquatinte à la résine pour animer et colorer les surfaces, il choisira pour sa malléabilité le zinc plutôt que le cuivre. Les couleurs utilisées par Bertrand Dorny sont pures, employées en à plat. L’artiste considère le blanc (du papier) et le noir comme des couleurs à part entière.
    Dotremont Christian
    "Les estampes - De Prenten", Ed. Samuel Vanhoegaerden Gallery, Knokke (Belgique), 2007

    Catalogue raisonné - Christian Dotremont

    "Les estampes - De Prenten",
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    Ayant fait parti du mouvement surréaliste et célèbre pour ses logogrammes, le catalogue raisonné des estampes du peintre et poète belge Christian Dotremont, "Les estampes - De Prenten", a été publié par la Galerie Samuel Vanhoegaerden de Knokke (Belgique) en 2007. L'ouvrage est publié en bilingue (dont français). Après une introduction de Hugo Claus (« J'écris, donc je crée »), l'auteur répertorie 98 estampes de l'artiste pour une période s'étalant de l'année 1971-72 à l'année 1978. L'oeuvre graphique de l'artiste est composée d'impressions lithographiques, de lithographies, de sérigraphies, et de différentes estampes réalisées à deux mains : logogrammes avec travaux de Pierre Alechinsky (lithographies, gravures, linogravures, offset), dessins-logogrammes de Karrel Appel (sérigraphies) ou travaux avec Mogens Balle (gravures sur bois, sérigraphies et impression lithographique) ou encore avec Michel Mineur (impression lithographique). Cet ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition « En écriture dans le texte » à la Galerie Samuel Vanhoegaerden de Knokke. Il se clos sur une courte biographie.

    Doucet Jacques
    "L’oeuvre complet, 1942-1994 ", Andrée Doucet, 3 volumes, Ed. Galilée, 1996, 1998, 1999.

    Catalogue raisonné - Jacques Doucet

    "L’oeuvre complet, 1942-1994 ",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre complet du peintre Jacques Doucet, en 3 volumes, a été établi par Andrée Doucet, l’épouse de l’artiste. L’ensemble a été publié par les éditions Galilée en 1996 (T. I, montré ici), 1998 (T. II) et 1999 (T. III). On notera la qualité et la très grande richesse des textes biographiques de la complice de vie de l’artiste. Deux des volumes sont préfacés par Michel Ragon, le volume II s’ouvre lui sur une préface d’Edouard Jaguer. L’œuvre graphique de Jacques Doucet fait partie intégrante de l’ensemble de l’étude ; l’artiste réalisera au fil des ans des estampes selon différentes techniques : gravures, lithographies et sérigraphies. On notera, en ce domaine, la participation de Doucet à l’aventure du livre illustré, puis à l’édition de portfolios. C’est en 1956, se liant d’amitié avec le lithographe Jean Pons, que Doucet réalisera sa première lithographie dans l’atelier de celui-ci ; « Le travail de la pierre lithographique est en symbiose parfaite avec la matière, » dira Doucet. Comme pour tant d’autres artistes de renom, l’atelier Pons deviendra le lieu privilégié des créations graphiques de l’artiste. Plus tard (1982), Jacques Doucet collaborera également avec l’atelier Michel Cassé. C’est en 1965, auprès de son ami André Marfaing, que Doucet aborde la technique de la gravure ; Marfaing initie Doucet à quelques différents procédé de la gravure, comme il les enseignera à Guillaume Doucet, le fils de l’artiste. Plus tard, Guilaume Doucet, devenu graveur, tirera les épreuves de son père. C’est en 1955 que l’artiste abordera pour la toute première fois la technique de la sérigraphie (pour la Galerie Ariel, atelier Morgenstein). Les trois volumes ont pour titre : « Parcours 1942-1959 », « Parcours 1960-1976 » et enfin « Parcours 1977-1994 » « L’œuvre complet, 1942-1994 », 3 volumes, Andrée Doucet, Ed. Galilée, 1996, 1998, 1999.
    Drouart Raphaël
    "Catalogue complet de son oeuvre gravé", Thierry Lefrançois, Ed. des Musées d'Art et d'Histoire de La Rochelle, 1990.

    Catalogue raisonné - Raphaël Drouart

    "Catalogue complet de son oeuvre gravé",
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    Le catalogue complet de l'oeuvre gravé de Raphaël Drouart (1984-1972) a été établi par Thierry Lefrançois et publié en 1990 par les Ed. des Musées d'Art et d'Histoire de La Rochelle. Peintre, graveur et illustrateur, Raphaël Drouart commence à maîtriser les différentes techniques de gravure (cuivre, bois, eau forte, lithographie) avant 1914, mais mobilisé au début de la Première Guerre mondiale, il ne réussit à exprimer son art qu'après 1918. Il présentera ses premières estampes au Salon de 1919 et rejoint aussitôt la Société de la gravure sur bois originale. Dans les années 1920, l'artiste commence à travailler comme illustrateur pour de nombreux éditeurs d'art, entre autres Arthur Goldscheider, lequel regroupa tous ses collaborateurs artistes sous le nom de « L'Évolution » ; ils montreront leurs productions durant l'exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes (Paris, 1925). Il illustrera de ses estampes (lithographies, gravures et bois gravés) un très grand nombre de poètes et auteurs (Verlaine, Ronsart, Balzac, Flaubert, André Chenier, Shakespeare, Baudelaire, Poe, Musset, Pierre Louÿs, entre autres). En 1931, Drouart publie un album contenant 26 lithographies, qu'il avait réalisées dans les années 1920. On notera qu'il est l'un des trois artistes présentés dans l'ouvrage « Graveurs et lithographes contemporains », tome 1, répertoriant l'oeuvre gravé et lithographié de Robert Bonfils, André Dauchez et Raphaël Drouart édité en 1937 à l'occasion de l'Exposition universelle. Raphaël Drouart développa une version très personnelle de la technique du monotype (par l'enfumage d'une plaque de verre en la plaçant au-dessus d’une lampe à pétrole) ; de même, dérivé de la technique utilisée pour le monotype, il réalise des gravures au noir de fumée (elle consiste à enduire le cuivre de noir de fumée pour y dégager les blancs).
    Dubuffet Jean
    "Catalogue des travaux de J. Dubuffet, Théâtres de la mémoire", Fascicules XXXII et XXXIII, Ed. de Minuit, 1982

    Catalogue raisonné - Jean Dubuffet

    "Catalogue des travaux de J. Dubuffet, Théâtres de la mémoire",
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    La publication du catalogue raisonné intégral des travaux de Jean Dubuffet a commencé en 1964. Sous la forme de 38 fascicules, dont chacun regroupe un ensemble de travaux de l’oeuvre appartenant au même cycle, ce catalogue permet de découvrir les oeuvres de Jean Dubuffet à partir de leur origine, en 1917, jusqu'au dernier dessin, en avril 1985. Un texte de présentation accompagne chaque volume, de Max Loreau pour les vingt-huit premiers fascicules et de l’artiste lui-même pour les dix suivants. Les publications se sont succédées de 1964 à 1991 avec différents éditeurs : Ed. Pauvert, Ed. Weber, Ed. de Minuit, puis la Ed. Fondation Dubuffet. De « Marionnettes de la ville et de la campagne » (fascicule I, 1942-1945) à « Derniers dessins » (fascicule XXXVIII, 1983-1985), ce catalogue raisonné, la référence incontournable sur l’œuvre de Jean Dubuffet, regroupe une somme d’informations impressionnantes sur l’homme et son œuvre.
    "Catalogue général autoritaire des gravures et lithographies", Noel Arnaud, Ed. Musée de Silkeborg pour le bon plaisir d'Asger Jorn, 1961

    Catalogue raisonné - Jean Dubuffet

    "Catalogue général autoritaire des gravures et lithographies",
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    Le « Catalogue général autoritaire des gravures et lithographies de Jean Dubuffet », constitué en 1961 par Noel Arnaud, a été publié – aux frais et pour le bon plaisir d’Asger Jorn – à l’occasion de l’exposition de ces ouvrages au Musée de Silkeborg (Danemark). Un tirage de tête des textes en langue française, présenté ici, fut réalisé en 18 exemplaires avec pour couverture une lithographie originale de Jean Dubuffet en 3 couleurs. L’auteur présente ici 517 estampes originales de Jean Dubuffet, estampes réalisées sur quarante années de création graphique de l’artiste : de « Anges musiciens », une gravure sur bois de 1921, à la lithographie qui compose précisement la couverture du présent ouvrage. Les estampes sont regroupées par rubriques : période préhistorique, premières lithographies, à l’école de la lithographie, le temps de Mirobulus et d’Elégies, gravures en l’honneur de l’art brut, retour à la lithographie, incursion de la botanique dans la lithographie, les rapports d’assemblage et planches diverses, les Phénomènes, les Barbes. On notera que cette importante collection ne constitue cependant pas l’ensemble complet des estampes réalisées par Dubuffet sur cette période. Dans sa préface, Jean Dubuffet écrit : « Son désir (celui d’Asger Jorn) d’acquérir pour son cher musée de Silkeborg une collection complète de toutes mes ravures et lithographies ne put malheureusement pas être entièrement satisfait, aucun exemplaire de certaines des planches ne se trouvant plus en ma possession et n’ayant pu être retrouvé par ailleurs ».
    "L'oeuvre gravé et les livres illustrés", Vol. I et II, Sophie Webel, Ed. Baudoin Lebon, 1991

    Catalogue raisonné - Jean Dubuffet

    "L'oeuvre gravé et les livres illustrés",
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    « Tout au long de son œuvre, de façon intermittente et par accès soudains, comme saisi d’une fièvre particulière, Jean Dubuffet a confié à l’estampe (lithographies, gravures, sérigraphies) quelques-uns des développements les plus importants - sinon les plus spectaculaires - de ses travaux », écrit le préfacier, Daniel Abadie. Le catalogue raisonné de l’œuvre graphique de l’artiste a été établi en deux volumes par Sophie Webel et publié par les éditions Baudoin Lebon (Paris) en 1991. L’ensemble porte sur une période de création s’étalant de 1961 à 1984 (Vol. I, 1921-1961, et Vol. II, 1961-1984). Commencée par 5 bois gravés occasionnels (1921) pour l’illustration des quatrains de Roger Vitrac, l’œuvre graphique de Dubuffet va véritablement naître en 1944, sous forme de lithographies ; on notera que dès 1944, Dubuffet utilisera la couleur. L’auteur, sur l’ensemble des 2 volumes, répertorie près de 1500 œuvres imprimées sur papier. On y découvrira toute l’importance donnée par l’artiste au livre et à la chose écrite.
    Duchamp Marcel
    "Complete catalogue raisonné of the works of Marcel Duchamp", Arturo Schwarz, Thames and Hudson Publisher, 1969

    Catalogue raisonné - Marcel Duchamp

    "Complete catalogue raisonné of the works of Marcel Duchamp",
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    Ce catalogue complet des œuvres de Marcel Duchamp, compilé et écrit par Arturo Schwarz, inclut plus de 780 illustrations en couleurs et en noir et blanc. Il a été créé et conçu sur de longues années de travail par son auteur, en étroite collaboration avec l'artiste ; l'ouvrage doit être considéré comme une référence définitive sur l'oeuvre de Marcel Duchamp. Le livre est divisé en trois parties : la première qui est consacrée aux œuvres réalisées dans la première partie de la vie artistique de l'artiste, y compris ses « Ready-mades » et travaux optiques, donne également des informations biographiques ; la deuxième partie est consacré à « The Bride Laid Bare by Her Bachelors », la pièce que Arturo Schwarz considère comme le foyer central de l'oeuvre de Duchamp ; la troisième partie est consacrée au matériel source suivi d'un Index Topographique des Oeuvres de Duchamp et d'une bibliographie descriptive des écrits, lectures, traductions et interviews de l'artiste. On notera que ce catalogue raisonné sera de nouveau publié par Thames and Hudson Publisher en 1970, dans une version revue, puis en 1997 (en 2 volumes), dans une version revue, corrigée et augmentée.
    "Graphics", Arturo Schwarz, Ed. Kyoto Shoin Co, Kyoto, 1991

    Catalogue raisonné - Marcel Duchamp

    "Graphics",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Marcel Duchamp, « Marcel Duchamp Graphics », a été publié en langue japonaise par les Editions Kyoto Shoin Co à Kyoto en 1991. L'auteur, y compris du texte d'introduction, en est Arturo Schwarz. Le présent catalogue porte sur 178 références sur une période de création de 65 années (de 1904 à 1968) : dessins, estampes, affiches, y compris les oeuvres réalisées dans le cadre du livre. Chacun comprendra la difficulté à aborder cette ouvrage en langue japonaise et il n'existe malheureusement pas, à notre connaissance, de version anglaise de cet ouvrage (et à fortiori de version française). On notera cependant que l'oeuvre graphique d'Albert Duchamp a été intégrée au catalogue raisonné de l'oeuvre complet de l'artiste qui, lui, a été publié en langue anglaise (« The complete works of Marcel Duchamp », Arturo Schwarz, Ed. Delano Greennidge, New York, 1997, en 2 volumes pour cette troisième édition).

    Dunoyer de Ségonzac André
    "L’œuvre gravé", 8 volumes., par Aimée Lioré et Pierre Cailler, Ed. P. Cailler, Genève, 1958-1970

    Catalogue raisonné - André Dunoyer de Ségonzac

    "L’œuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé d’André Dunoyer de Segonzac a été établi par Aimée Lioré et Pierre Cailler. Publié en huit volumes par les Editions Pierre Cailler de Genève, l’ensemble des ouvrages a été édité sur une période de 13 ans, entre 1958 (1er volume) et 1970 (année de publication du dernier volume). Les sept premiers volumes suivent la création graphique de l’artiste au fil des ans : Vol. I pour la période 1919-1927 (les 187 premières références), Vol. II pour les années 1928-1939 (jusqu'à la référence 464), Vol. III pour la période 1930-1932 (jusqu'à la référence 694), Vol. IV pour les années 1933-1935 (jusqu'à la référence 835), Vol. V pour les vingt années suivante de 1927 à 1947 (jusqu'à la référence 1103), Vol. VI pour la période 1948-1952 (jusqu'à la référence 1244) et le Vol. VII pour la période 1953-1956 (jusqu'à la référence 1544) ; le dernier volume (VIII) est lui consacré au « Dernières gravures retrouvés et états retrouvés ». L’œuvre graphique d’André Dunoyer de Segonzac est considérable et se compose de ces plusieurs centaines d’estampes (1544), gravures à l’eau-forte pour l’essentiel. De même, l’artiste a abondamment participé au monde du livre illustré, accompagnant écrivains et poètes célèbres (Giono, Flaubert, Carco, Dorgeles, Courteline, Tristan Bernard, Maupassant, etc.). On notera que les trois premiers volumes ont été préfacés par trois différents auteurs prestigieux : Julien Cain, Jean-Vallery Radot et Jean Adhémar.
    Dürer Albrecht
    "L’oeuvre graphique", par Alain Borer, Ed. Hubschmidt et Bouret, 1980, ré-Ed. Booking International, 1995

    Catalogue raisonné - Albrecht Dürer

    "L’oeuvre graphique",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique d'Albrecht Dürer, a été réalisé par Alain Borer, en 1980, et publié par les éditions Hubschmid & Bouret, Paris.
    Cet ouvrage contient la totalité des gravures sur bois (374) et sur cuivre (83) réalisées par l'artiste, une introduction d'Alain Borer, ainsi que des notes et légendes de Cécile Bon le complète. Les reproductions des gravures sont groupés en deux parties. La première partie, consacrée à la gravure sur bois, est divisée en trois chapitres : Les illustrations d'ouvrages, les suites et les gravures isolées.
    La deuxième partie, rassemble les gravures sur cuivre, d'abord les suites puis les gravures isolées.
    Chaque gravure est reproduite en noir et blanc, les descriptions comportent le titre, la date, ainsi que les dimensions de chaque estampe. Pour les illustrations d'ouvrage et les suites, les descriptifs sont plus complets et comportent aussi des indications de tirages, des citations de contemporains de Dürer sur son travail et aussi des citations de l'artiste lui-même sur son travail.
    A la fin du catalogue, on trouve aussi un tableau chronologique des événements marquants qui se sont déroulés du vivant de Dürer, une bibliographie, ainsi que la table des matières, comportant aussi les titres des ouvrages et gravures.
    Dussau Georges
    "L’œuvre gravé 1969-1986", André Laurencin, Musée Denon, Chalon-sur-Sâone, Ed. Jacqueline de Champsvallins, Paris, Ricardo de Bernardi, Aix-la-Chapelle et Antarès, Paris, 1986

    Catalogue raisonné - Georges Dussau

    "L’œuvre gravé 1969-1986",
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    Le catalogue raisonné de Georges Dussau, L’œuvre gravé 1969-1986, par André Laurencin a été publié fin 1986 ; il a été co-édité par les Editions Jacqueline de Champsvallins, Paris, Ricardo de Bernardi, Aix-la-Chapelle et Antarès, Paris, 1986. L’ouvrage réalisé à l’occasion d’une exposition de l’artiste à Chalon-sur-Sâone - sa ville natale -, s’ouvre sur un avant-propos et une préface de l’auteur, André Laurencin (correspondant de l’Institut Conservateur du Musée Denon de Chalon-sur-Sâone), puis sur un texte de l’éditrice, Jacqueline de Champsvallins ; on notera que l’ensemble de ces textes préliminaires sont en trois langues (français, anglais et allemand). Précédé d’un autre texte de Jacques Chadourne, qui analyse le parcours et les intentions de l’artiste, l’auteur répertorie 103 gravures pour cette période de 17 années de création graphique (de 1969 à 1986) de Georges Dussau, toutes avec la technique de la taille douce (gravure en creux), sans doute la plus nerveuse et expressive des techniques de la gravure.  
    L’ouvrage se referme sur le catalogue des titres et formats des gravures, avant de se clore sur une biographie succincte avec la liste des expositions personnelles et collectives de l’artiste. 
  • E
    Ensor James
    "L'oeuvre graphique", A. Taevernier, ré-Ed. SDZ Pandora (Belgique), 1999

    Catalogue raisonné - James Ensor

    "L'oeuvre graphique",
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    Le catalogue de l'oeuvre graphique de James Ensor (en 3 langues, dont français et anglais) a été établi par Auguste Taevernier ; publié initialement en 1973, l'ouvrage a été réédité par les Editions SDZ Pandora (Belgique) en 1999. L'auteur répertorie 142 estampes, en 4 chapitres différenciés : gravures à l'eau-forte, pointes-sèches, lithographies et affiches. Une cinquième partie, qui n'existait pas dans l'ouvrage initial, montre 23 estampes rehaussées par l'artiste. James Ensor, bien qu'âgé de vingt-six ans, a déjà peint des toiles décisives lorsqu'il fait ses premiers essais sur cuivre ou sur zinc en 1886. Avide de traduire les apparences sans se laisser emprisonner ni par l'observation ni par le rêve, son oeuvre gravé obéira parallèlement aux mêmes critères que son oeuvre peint et y traitera les différents thèmes de l'existence humaine. « Oui, je veux parler longtemps aux hommes de demain. Je veux survivre et je songe aux cuivres solides, aux encres inaltérables, aux reproductions faciles, aux tirages fidèles, et j'adopte l'eau-forte comme moyen d'expression, » écrira James Ensor.
    "L’oeuvre gravé", Musée du dessin et de l'estampe originale en l'Arsenal de Gravelines, Musée d’Art Moderne de Troyes, 1986

    Catalogue raisonné - James Ensor

    "L’oeuvre gravé",
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    En 1986, deux musées français (Musée du dessin et de l'estampe originale en l'Arsenal de Gravelines, Musée d’Art Moderne de Troyes) organiseront une exposition de l'Oeuvre gravé complet de James Ensor. Grâce aux prêts du Musée des Beaux-Arts d'Ostende et du Musée Plantin Moretus d'Anvers, 146 estampes de l'artiste purent ainsi être présenté. Le présent catalogue, publié à l'occasion de cet événement, propose l'ensemble de ces estampes, entre « Le Christ insulté » (n°1, eau-forte de 1886) et « Le Moulin au Diable » (n°146, vernis-mou de 1934). En 1886, six ans après avoir terminé ses études à l'Académie de Bruxelles, Ensor commence à faire des eaux-fortes. En 1888, l'année où l'artiste peint son plus célèbre tableau (« L'entrée du Christ à Bruxelles »), Ensor gravera 45 eaux-fortes ! Ensor produira 133 gravures, pointes-sèches et vernis-mou. On est frappé par la grande diversité thématique de l'artiste, par les différences spectaculaires sur le plan technique, par les différentes « écritures », et enfin, par les rapports évidents entre nombre de gravures et certains dessins ou tableaux de l'artiste.
    Equipo Cronica
    "Equipo Cronica, catalogo razonado", Michèle Dalmace, Ed. IVAM (Institut d'Art Moderne de Valence), 2002

    Catalogue raisonné - Cronica Equipo

    "Equipo Cronica, catalogo razonado",
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    Le catalogue raisonné complet des oeuvres d'Equipo Cronica, en langue espagnol, a été établi par Michèle Dalmace et publié par l'IVAM (Institut d'Art Moderne de Valence) en 2002. Fondé en 1964 par Rafael Solbes, Manolo Valdés et Juan Antonio Toledo, Equipo Cronica ne sera plus constitué à partir de 19?? que par les deux premiers. Cet énorme ouvrage de référence (716 pages !) est constitué de très nombreux chapitres, chacun avec une introduction, chapitres basés sur des périodes de création, des thèmes ou médias d'expression. De très nombreuses annexes enrichissent l'ouvrage ; de même, on trouvera en fin d'ouvrage une traduction de l'ensemble des textes en langue anglaise. L'oeuvre d'Equipo Cronica, collectif majeur du pop art espagnol qui a été actif sur près de deux décennies (1964-1981), est faite de citations picturales, d'anachronismes et de pastiches doux-amers. Art jubilatoire, mais pas joyeux, car l'ombre du franquisme est présente tout au long de leur création. L'auteur du présent catalogue raisonné répertorie 634 oeuvres originales pour l'ensemble de la production peinte du collectif, le répertoire des estampes ne faisant pas partie de l'ouvrage.
    "Obra gráfica y Múltiples - 1965-1982", Michèle Dalmace-Rognon, Ed. Museo de Bellas Artes de Bilbao, 1988

    Catalogue raisonné - Cronica Equipo

    "Obra gráfica y Múltiples - 1965-1982",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique d'Equipo Crónica (Rafael Solbes y Manolo Valdés) a été publié à l'occasion d'une exposition par le Musée des Beaux-Arts de Bilbao en 1988. Après une introduction en 5 langues, dont le français, l'auteur (commissaire de l'exposition), Michèle Dalmace-Rognon, recense 104 estampes et 37 multiples pour une période s'étalant de 1969 à 1975. Ces derniers sont constitués d'oeuvres en volumes, de peintures sur carton, de sérigraphies sur carton, de foulards, etc. Concernant les estampes, si l'on y découvre des lithographies et des linogravures (7 en 1965), l'essentiel est constitué de sérigraphies, isolées ou en portfolio. L'ouvrage se conclut traditionnellement par une biographie et une bibliographie. La mort, en 1981, de Rafael Solbes mettra un terme à l'expérience « Equipo Crónica ».
    Erni Hans
    "Die Plakate - Les affiches", Jean-Charles Giroud, Ed. Benteli, Berne, Suisse, 1993

    Catalogue raisonné - Hans Erni

    "Die Plakate - Les affiches",
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    Le catalogue raisonné « Die Plakate – Les affiches » de Hans Erni a été établi par Jean-Charles Giroud et publié, en 1993, par les éditions Benteli (Berne, Suisse). L'ouvrage couvre la période de création de l'artiste en ce domaine, entre 1929 et 1992. L'artiste de Lucerne trouvera dans l'affiche un moyen exceptionnel de se faire entendre. Hans Erni a composé 311 affiches qui, souvent, correspondent à la mission difficile que s'est imposé l'artiste ; elles racontent l'histoire tumultueuse d'un siècle et les combats de l'artiste pour la paix, pour l'amitié des peuples, pour la protection de l'environnement ou pour d'autres causes encore. Les affiches d'Erni - parfois abstraites, le plus souvent figuratives -, ont été imaginé dans un style et un langage très personnels, exprimant la vision du monde et la réflexion de l'artiste sur la société. Hans Erni n'avait que vingt ans lorsqu'il réalisera sa première affiche , et il va peu à peu s'investir avec passion dans ce domaine, en exploitant au fil du temps toutes les ressources. Par ses affiches d'exposition, l'artiste va se révéler progressivement, par ses affiches engagées, il témoigne sans ambiguïté de convictions.
    "Les Livres Illustrés", par Jean-Charles Giroud, Ed. P. Cramer, Genève, 1996

    Catalogue raisonné - Hans Erni

    "Les Livres Illustrés",
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    Ce Catalogue Raisonné révèle un domaine très important dans l’œuvre de Hans Erni. Etabli par Jean-Charles Giroud et publié par les Editions Patrick Cramer (Genève, 1996), l’ouvrage comprend la description de 92 livres illustrés, albums et catalogues enrichis de gravures ou de lithographies originales de l’artiste. Cette étude exhaustive porte sur une période de plus de 60 années de création d’Erni en ce domaine, de 1935 à 1996. Hans Erni aime le livre avec passion ; certains de ses ouvrages lui demanderont plusieurs années de travail patient. Lorsque l’artiste participe à l’illustration d’un ouvrage, il aime intervenir sur tous les aspects de sa mise en forme : choix des caractères, du papier, du format, présentation typographique, reliure, couverture et page de titre. Seul le texte lui échappe ! En 1962, il cédera pour la première fois au plaisir d’illustrer ses propres poèmes. L’œuvre de Hans Erni est immense et le livre y tient une place à part, son jardin personnel. Le Catalogue Raisonné de « L’œuvre gravé et lithographié » de Hans Erni, en 2 volumes, a lui été établi par Pierre Cailler qui en a assuré l’édition (Genève) ; il porte sur les périodes 1930-1957 et 1958-1970.
    "L’œuvre gravé et lithographié ", 2 Vol., Pierre Cailler, Genève, 1969 et 1971

    Catalogue raisonné - Hans Erni

    "L’œuvre gravé et lithographié ",
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    Le Catalogue Raisonné de « L’œuvre gravé et lithographié » de Hans Erni, en 2 volumes (ici, couverture du volume I), a été établi par Pierre Cailler qui en a assuré l’édition (Genève). Le premier volume, publié en 1969, porte sur la période de création de l’artiste en ce domaine pour la période de 1930 à 1957. Le second volume, publié deux ans plus tard (1971), porte sur les douze années suivantes (1958-1970). Sur l’ensemble de ces deux ouvrages, l’auteur répertorie 455 estampes originales de Hans Erni : lithographies « classiques » pour l’essentiel. Le volume prévu sur les gravures originales de l’artiste n’a, à ce jour et à notre connaissance, pas été publié. Il faut rajouter deux ouvrages, concernant l’œuvre graphique de l’artiste : la publication de « Werkverzeichis der Lithographien » (ABC Verlag, Zurich et Hans Erni Stiftung, Luzerne, 1993) qui fait aujourd’hui référence par rapport à l’ouvrage présenté ici, et la publication du Catalogue Raisonné « Les livres illustrés par Hans Erni », établi par J.-C. Giroud (Ed. P. Cramer, Genève, 1996).
    "Werkverzeichis der Lithographien ", ABC Verlag, Zurich et Hans Erni Stiftung, Lucerne, 1993

    Catalogue raisonné - Hans Erni

    "Werkverzeichis der Lithographien ",
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    « Werkverzeichis der Lithographien », le présent catalogue raisonné des lithographies de Hans Erni a été publié en 1993 - en 4 langues (allemand, anglais, italien et français) - en co-édition entre les éditions ABC (Zurich) et le Hans Erni Stiftung (Luzerne). L’ensemble de toutes les lithographies réalisées de Hans Erni entre 1929 à 1992 (avec une interruption entre 1935 et 1950), soit 773 estampes originales, sont répertoriées dans le présent ouvrage, y compris les estampes réalisées dans le cadre du livre. Après une préface, l’introduction présente le parcours d’Erni dans le domaine de l’art graphique, introduction enrichie de nombreuses photographies. C’est en 1929, à Berlin, à l’age de 20 ans, que Hans Erni fait ses premières expériences de l’impression à plat, procédé lithographique basé sur l’antagonisme entre l’eau et les corps gras. Les thèmes de l’artiste vont de la représentation d’un village de la Westphallie aux motifs connus et importants pour l’artiste, tels que sa propre famille, les couples d’amoureux, les animaux, les quatre saisons et les personnages mythologiques. On découvrira une biographie détaillée de l’artiste en fin d’ouvrage.
    Ernst Max
    "Das graphische Werk", par H.R. Leppien, Ed. DuMont Schauberg (Cologne), 1975

    Catalogue raisonné - Max Ernst

    "Das graphische Werk",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Max Ernst, « Das Graphische Werk », a été établi par H.R. Leppien et publié, en 1975, par les Ed. DuMont Schauberg (Cologne). L’auteur y présente environ 300 références qui regroupent des livres illustrés, pour l’essentiel, et des estampes diverses : lithographies, gravures, linogravures, techniques mixtes (photogrammes, frottages, photocollages) et enfin les estampes d’interprétation. Mis à part les toutes premières estampes, presque tout l’oeuvre gravé fut imprimé en France. Ce travail s’est inscrit sur une période de 65 années, entre 1911 et 1975. Publié en 1975, ce catalogue ne couvre pas les années 1975-1976 (une dizaine de références dont « Les oiseaux en périls »), il est possible de les retrouver dans l’ouvrage « Max Ernst : Graphische Welten - Die Sammlung Schneppenheim », publié également par les Ed. DuMont, en 2003.
    "Graphik und Bücher", Werner Spies, Ed. Gerd Hatje, Stuttgart, 1991

    Catalogue raisonné - Max Ernst

    "Graphik und Bücher",
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    L’essentiel de l’œuvre gravé de Max Ernst a été réalisée dans le cadre du livre illustré ou de la série en portfolio. Gravures, lithographies et estampes diverses ont accompagnés un grand nombre d’auteurs et de poètes. L’ouvrage « Graphik und Bücher » de Werner Spies, publié par les Ed. Gerd Hatje (Stuttgart) en 1991, est une référence en ce domaine. Cet ouvrage est un bon complément au Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Max Ernst, « Das Graphische Werk » établi par H.R. Leppien et publié par les Ed. DuMont Schauberg (Cologne) en 1975 ; après la série de 8 lithographies « Fiat Modes » de 1919, on y découvre deux premiers ouvrages illustrés par l’artiste en 1922 : « Répétition » et « Les malheurs des immortels » de Paul Eluard. Ernst, au fil des ans, mettra son art au service de Benjamin Péret, d’Eluard encore, d’André Breton, de Hans Arp, de René Crevel, de Leonora Carrington, de Jean Tardieu et de beaucoup d’autres grands noms de la littérature ou de la poésie.
    "Oeuvre sculpté 1913-1961", Ed. Le Point Cardinal, Paris, 1961

    Catalogue raisonné - Max Ernst

    "Oeuvre sculpté 1913-1961",
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    Premier catalogue raisonné de l'oeuvre sculpté de Max Ernst, l'ouvrage a été publié par la Galerie Le Point Cardinal à Paris, à l'occasion d'une exposition sur ce thème qui s'est tenue à la dite galerie fin 1961. L'ouvrage, qui s'ouvre sur une préface d'Alain Bosquet, est scindé en six différentes sections : Reliefs (7 références), sculptures (38 références), masques (26 références), granits sculptés de Maloja, reliefs et sculptures de Saint-Martin d'Ardèche, puis reliefs et sculptures de Sédona. Pour les trois premières sections, les plus conséquentes - consacrées aux reliefs, aux sculptures et aux masques -, l'auteur répertorient 71 références pour les 42 années de création de l'artiste, entre 1919 (un relief en bois peint) et 1961. Les masques (46 à 71) sont des pièces uniques exécutées en métal ciselé et repoussé, or fin ou argent fin, par François Hugo, orfèvre à Aix-en-Provence. Chacune des trois dernières sections est enrichie d'un court texte de présentation.
    Erro Guomundur
    "Catalogue général 1944-1974", Ed. Galerie Beaubourg et Chêne (pour l'édition française), Paris, 1976

    Catalogue raisonné - Guomundur Erro

    "Catalogue général 1944-1974",
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     Le présent catalogue raisonné « Erro - catalogue général 1944-1974 » a été publié par la collaboration de la Galerie Beaubourg et des Editions Chêne (Paris) en 1976 à l'occasion de l'exposition de l'artiste « Erró - Tableaux chinois » à la Galerie Beaubourg (Paris) cette même année. L'ouvrage présente plusieurs centaines d'oeuvres originales de l'artiste (essentiellement des peintures sur toile), dans l'ordre chronologique des séries réalisées par celui-ci. L'itinéraire d'un peintre comme Erro regroupe celui des idées et celui des événements politiques et sociaux les plus significatifs d'une époque. Voyageur inlassable et curieux de tout, il fait de son art la somme de toutes ses connaissances visuelles. Rien ne lui échappe et, partout où il passe, il se constitue une énorme masse de documents qu'il accumule et classe, et dont il se servira plus tard. Ses premiers collages datent de 1959 et préfigurent à eux seuls le Pop Art. Le volume 2 du catalogue général de l'artiste (1974-1986) a été publié dix ans plus tard que le catalogue présenté ici, en 1986, par les Ed. Hazan (Paris). Le volume 3 (1984-1998) a été publié en 1998 chez Hazan. Un nouveau volume 3 (1987-2006) a été publié par Hazan en 2007 et le volume 4 (2007-2012) paraîtra en 2012 chez ce même éditeur. On notera que les estampes de l'artiste sont le plus souvent réalisées d'après des toiles originales.
    "Catalogue général 2007-2012", Vol. V de l'oeuvre, Ed. Hazan, Paris, 2012

    Catalogue raisonné - Guomundur Erro

    "Catalogue général 2007-2012",
    Pic
    Depuis la fin des années cinquante l'ouvre d'Erro explore toutes les potentialités de l'image narrative telle qu'elle nous parvient par les canaux industriels de la diffusion de masse. L'ouvrage s'ouvre sur le communiqué de presse de Esther Schlicht, commissaire de l'exposition « Erro. Portrait et paysage » qui s'est tenu fin 2011-début 2012 à la Schirn Kunsthalle de Francfort et sur un extrait du texte de Wolfang Ullrich, paru dans le catalogue de cette même exposition (« Le Second visage et l'art du pendant »). Le présent catalogue raisonné « Erro - catalogue général 2007-2012 » a été publié en 2012. Il constitue le volume V du catalogue général des oeuvres de l'artiste, après le volume I (voir cette entrée pour la période 1944-1974), le volume II (1974-1986), le volume III (1984-1998) et le volume IV (2007-2012). On notera que les estampes de l'artiste sont le plus souvent des estampes d'interprétation réalisées d'après des toiles originales. Publié, comme les trois précédents par les Ed. Hazan à Paris (le volume I l'a été par une collaboration de la Galerie Beaubourg et des Editions Chêne à Paris), ce volume comporte 559 références. Le travail pictural d'Erro se fait par des séries successives. On découvrira, en fin d'ouvrage, une « Erro chronologie » établie par Danielle Kvaran. Le regard critique d'Erro sur l'avalanche des sollicitations alimentée par le monde médiatique, et le paroxysme de violence et de sexe qu'il véhicule à travers le cinéma et les bandes dessinés, en particulier, l'entraîne à surenchérir sur cette inflation pour en dénoncer le caractère absurde au moyen de la technique du collage.
    Escher Maurits Cornelius
    "His life and complete graphic work", F. Bool et J. Kist, Ed. Abradale Press H. C. Abrams, New York, 1992

    Catalogue raisonné - Maurits Cornelius Escher

    "His life and complete graphic work",
    Pic
    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique de Maurits Cornelis Escher, « His life and complete Graphic Work », a été édité en 1992 par les Editions Abradale Press H. C Abrams de New York. Etabli par F.H. Bool, J. L. Locher et F. Wierda, les auteurs du présent ouvrage répertorient un ensemble de 448 œuvres imprimées sur papier de l’artiste. Cet ouvrage de référence porte sur une période de plus de cinquante années de création graphique s’étalant de 1916 - un linoléum représentant le père de l’artiste - à 1969 (3 ans avant la disparition d’Escher), un bois gravé caractéristique de l’artiste, entrelacs de trois serpents. Bien que l’on y découvre des gravures sur linoléum, des gravures « de technique classique », des lithographies, la grande majorité de l’œuvre imprimée se compose de bois gravés, le style reconnaissable entre tous d’Escher s’établissant peu à peu au fil des ans. « Je tente par mes estampes de témoigner que nous vivons dans un monde magnifique et ordonné, pas dans un chaos sans norme, comme souvent il nous semble, » écrivit Escher.
    Esteve Maurice
    "L'oeuvre gravé", par M.Prudhomme & H.Moestrup, Ed. Forlaget Cordella, Copenhague, 1986

    Catalogue raisonné - Maurice Esteve

    "L'oeuvre gravé",
    Pic
    Si Maurice Estève commença son oeuvre imprimé par des linogravures entre 1929 et 1934 (16 oeuvres), il se concentra essentiellement sur l’art de la lithographie entamé en 1949. De 1949 à 1986, à quelques exceptions près, l’artiste n’a opté, dans son oeuvre graphique, que pour la seule technique de la lithographie. Maurice Estève y aura été aussi exigeant que dans le domaine de la peinture, ne reculant devant aucune difficulté liée aux principes particuliers de la lithographie. Il y a parfaite osmose entre le travail du peintre et son oeuvre sur papier. Sa première lithographie, en noir, date de 1949 (n° 17 du C.R.) ; sa première lithographie en couleur est éditée trois ans plus tard (n° 18 du C.R.), la dernière - qui figure dans le C.R. -, « Le petit ramoneur », sortira de l’atelier Mourlot en 1986 (n° 94). Oeuvre restreint, il n’existe qu’un peu plus de 80 lithographies originales de l’artiste. Il faut en compter moins de dix qui seront, après la lettre, affiches (Galerie Galanis, Galerie Claude Bernard, Musée de Grenoble, Atelier Mourlot). On notera également sept gravures d’interprétation, eaux-fortes et aquatintes, pour l’ouvrage « Tombeau de mon père » d’André Frénaud (1961) et 3 lithographies d’interprétation seulement, toutes réalisées par Charles Sorlier.
    "L'oeuvre peint",
  • F
    Fautrier Jean
    "Les estampes", Rainer Michael Mason, Cabinet des Estampes, Genève, 1986

    Catalogue raisonné - Jean Fautrier

    "Les estampes",
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    Le Catalogue Raisonné des estampes de Jean Fautrier a été publié par le Cabinet des Estampes (Genève) en 1986 et réalisé par Rainer Michael Mason. Cet ouvrage de référence répertorie 286 œuvres sur papier sur une période de plus de quarante ans, comprenant l’ensemble des lithographies et gravures, héliogravures et sérigraphies originales de l’artiste, y compris son œuvre dans le domaine du livre illustré. En outre, en fin d’ouvrage, sont présentés des œuvres d’interprétations et des originaux multiples. Les premières gravures de l’artiste apparaissent en 1923, des eaux-fortes, tout comme sa toute première lithographie. Citons la conclusions de l’auteur : « Il faudra multiplier encore les Fautrier pour rendre fertile cette autonomie du regard envers la norme, qui est justement la leçon de ses estampes ». L’œuvre graphique de Jean Fautrier reste proche du dessin et de la peinture.
    "Oeuvre gravé - Oeuvre sculpté", Edwin Engelberts, Ed. Galerie Engelberts, Genève, 1969

    Catalogue raisonné - Jean Fautrier

    "Oeuvre gravé - Oeuvre sculpté",
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    Avant le catalogue Raisonné des estampes de Jean Fautrier établi par Rainer Michael Mason et publié par le Cabinet des Estampes (Genève) en 1986, un premier ouvrage « Essai de catalogue raisonné - Oeuvre gravé - Oeuvre sculpté » fut réalisé par Edwin Engelberts et publié en 1969. L’auteur, pour ce qui concerne l’œuvre graphique, répertoriait 105 estampes de l’artiste pour une période de 40 années de création, entre l’année 1925 et l’année 1964 : 102 gravures à l’eau-forte, un bois gravés et 2 lithographies. On notera que le présent ouvrage s’ouvre sur deux textes de Jean Foutrier (« A chacun sa réalité » paru dans la revue XX° siècle en juin 1957 et « Paralléles sur l’informel ») ; ces textes de l’artiste sont suivis par des extraits de textes d’André Malraux publiés auparavant (dont « Les otages » écrit pour une exposition de l’artiste à la Galerie Drouin de Paris et « Réponse à un ami américain » écrit pour la Galerie Iolas de New York). La partie consacrée au catalogue raisonné de l’œuvre sculpté de Jean Fautrier comporte la description de 22 sculptures de l’artiste, sculptures réalisées entre 1927 et 1943.
    Favier Philippe
    "Gravures 1981-1990", D. Abadie et D. Tonneau-Ryckelynck, Ed. Musée de l'Estampe de Gravelines, 1990

    Catalogue raisonné - Philippe Favier

    "Gravures 1981-1990",
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    Le catalogue raisonné des gravures de Philippe Favier, pour la période 1981-1990, a été publié par le Musée de l'Estampe de Gravelines en 1990 à l'occasion de l'exposition de l'artiste, cette même année, au Musée de Gravelines, au Musée de la Cohue de Vannes et au Nouveau Théâtre d'Angers. Les auteurs, Daniel Abadie et Dominique Tonneau-Ryckelynck, répertorient 250 estampes de l'artiste pour ces dix années de création graphique. L'oeuvre gravé de Philippe Favier est composé en quasi exclusivité de gravures (pour quelques très rares lithographies) : gravures sur cuivre, sur zinc, sur fond de boîte de conserve, eaux-fortes, aquatintes et pointes sèches. « A la différence de la plupart des artistes qui n'abordent la gravure qu'une fois établis la thématique et les moyens de l'oeuvre, pour en faire une façon d'état définitif et duplicable. Favier assure à l'oeuvre gravé, dès son commencement, un statut essentiel, celui d'une démarche parallèle et d'un prolongement naturel de ses recherches. » écrit Daniel Abadie dans sa préface. Il y a ici délicatesse et profondeur, ironie et tragédie, profusion et simplicité apparente, un univers noir et parfois grinçant, toujours d'une grande poésie.
    Fenosa Apelles
    "L'oeuvre graphique", Nicole Fenosa et Bertrand Tillier, Ed. Poligrafa, 2008

    Catalogue raisonné - Apelles Fenosa

    "L'oeuvre graphique",
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    Etabli par Nicole Fenosa et Bertrand Tillier, le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique - illustrations de début de carrière, dessins originaux, gravures et lithographies - du sculpteur espagnol Apelles Fenosa (1899-1988) a été publié par les Editions Poligrafa en 2008. Après une introduction de Bertrand Tillier et une préface de Bernard Noël, les auteurs répertorient pas moins de 2043 références (illustrées). Concernant Fenosa, on doit considérer que le présent ouvrage vient en complément du catalogue raisonné publié en 2002 sur la sculpture de l'artiste, ouvrage conçu par les même auteurs et également publié par les éditions Poligrafa. Bien que surtout réputé pour son travail sculptural, que ce soit pour ces petites pièces ou ses pièces monumentales, Fenosa était aussi très habile avec le crayon, le pinceau ou les instruments liés au monde de l'estampe. L’art de Fenosa est fait de sensibilité, imprégné de surréalisme ainsi que d’un sens profond de l’arabesque. Apelles Fenosa est particulièrement attaché à la représentation sensuelle et presque exclusive du principe féminin. Comme dans les multiples voies créatives dont Fenosa se servit pour s'exprimer, toute figure féminine lui offrit d’infinies possibilités d’invention plastique et de mobilité formelle.
    Folon Jean-Michel
    "Folon, 20 ans d’affiches ", Paul et Claire Augé, Ed. F.O.L. 92, Circa 1985

    Catalogue raisonné - Jean-Michel Folon

    "Folon, 20 ans d’affiches ",
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    Il ne s’agit pas ici d’un catalogue raisonné des affiches de Jean-Michel Folon, mais d’un catalogue d’exposition dont les auteurs, Paul et Claire Augé, répertorient un grand nombre d’entre elles pour la période 1963-1984. Le catalogue s’ouvre sur une interview de l’artiste portant sur le sujet (« Folon, l’art de l’affiche »). L’ensemble des affiches montrées n’est pas classé par année de conception, mais par thèmes et suivant l’étude des auteurs : Repères pour un voyage à l’intérieur d’un style, De la conception à la reproduction, Les trois « destinées », L’impact intemporel. On découvrira, en fin de catalogue, un ensemble d’annexes sur les affiches de Folon avec notamment un inventaire des signés contenus dans celles-ci et une liste de correspondances avec la mythologie universelle. Le catalogue est clos par le catalogue raisonné des affiches présentées : titres, années de réalisation, dimensions, techniques d’impression, natures des documents de base, annonceurs ou éditeurs, ateliers d’impression. On notera qu’il existe, au fil du temps, un assez grand nombre de catalogues d’exposition de l’artiste sur le sujet.
    Fontana Lucio
    "Graphics, multiples and more", par H. Ruhé et C. Rigo, Ed. Tuja Books, Amsterdam, 2006

    Catalogue raisonné - Lucio Fontana

    "Graphics, multiples and more",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique et des multiples de Lucio Fontana, en langue anglaise, a été publiée par les éditions Tuja Books (Amsterdam) en 2006. Etabli par H. Ruhé et C. Rigo, l’ouvrage répertorie non seulement les réalisations de l’artiste dans le domaine de l’estampe (gravures, lithographies et sérigraphies), mais également les multiples dans différents médias (bronzes, céramiques, bijouterie, etc.). On trouvera également une sélection d’affiches originales de Lucio Fontana et d’autres éditions. Dans son travail d’art graphique, comme dans les autres domaines de sa création, Lucio Fontana aura mené intensément toutes sortes d’expériences et, avec l’aide d’hommes d’atelier, la plupart des techniques d’impression auront été utilisées. Le présent catalogue raisonné répertorie 56 gravures, 30 lithographies et 20 sérigraphies sur une période de près de 20 ans (1951-1968).
    Foujita Léonard
    "Inédits", Sylvie Buisson, Ed. A l'Encre Rouge - Archives Artistiques - Fondation Nichido, 2007

    Catalogue raisonné - Léonard Foujita

    "Inédits",
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    L'énorme ouvrage « Foujita - Inédits » a été conduit par Sylvie Buisson et édité, en 2007, par les Editions A l'Encre Rouge - Archives Artistiques  et la Fondation Nichido. Il est le fruit de plusieurs années de recherche mené par la grande spécialiste du peintre. Son travail, mené en France comme au Japon, avec les chercheurs, les amis et la famille de l'artiste, s'appuie sur une documentation qui recense près de 4000 oeuvres de Foujita et plus de mille photographies, revues et ouvrages le concernant. Le présent ouvrage est le complément indispensable du catalogue raisonné de l’œuvre de Léonard Foujita, publié en 2 volumes (en 1987 et 2001) par les Ed. ACR à Paris. Parmi les 523 oeuvres inédites présentées ici (huiles sur toile, dessins au crayon, encre, etc.), on notera la présence de 21 estampes inédites : gravures, lithographies, estampes et bois gravés ; celles-ci sont d'époque différentes. Toutes les oeuvres, y compris les estampes, sont représentées par des reproductions photographiques que l'on découvre au fil de la lecture passionnante de plusieurs chapitres qui suivent pas à pas la chronologie de la vie de l'artiste.

    "L’oeuvre", Vol. I et II, Sylvie et D. Buisson, Ed. ACR, Paris, 1987 et 2001

    Catalogue raisonné - Léonard Foujita

    "L’oeuvre",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre de Léonard Foujita, en 2 volumes, a été établi par Sylvie Buisson (et Dominique Buisson pour le premier volume). Cette énorme somme de connaissance a été publiée sur une période de près de 15 ans, en 1987 (Vol. I) et 2001 (Vol. II), par les Editions ACR (Courbevoie, Paris). Le volume I offre les reproductions de près de 1200 œuvres originales du plus parisien des peintres japonais, Tsuguharu Fujita, qui devint Léonard Foujita en 1959 par la vertu du baptême. Le volume II présente lui plus de 2000 œuvres originales. Catalogue raisonné certes, mais importante monographie, qui montre comment Foujita a ouvert toute grande la porte par laquelle l’Est rencontre l’Ouest et qui balise une longue existence d’amitié entre l’artiste et la France.
    Francis Sam
    "Intaglio prints, Screenprints & posters 1960-1990", par Connie W. Lembark, Ed. Hudson Hills Press, New York, 1992

    Catalogue raisonné - Sam Francis

    "Intaglio prints, Screenprints & posters 1960-1990",
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    Publié en 1992, et en deux volumes, par les Editions Hudson Hills Press(New York), le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique, en langue anglaise, de Sam Francis rassemble l’intégralité des oeuvres imprimées sur papier de l’artiste pour la période 1960-1990. Si le premier volume s’intéresse exclusivement aux lithographies originales de Sam Francis - 338 oeuvres y sont référencées -, le second est consacré aux gravures, sérigraphies et affiches de l’artiste. Etabli par Connie W. Lembark, ce volume II répertorie 115 gravures originales, essentiellement des aquatintes, 21 sérigraphies et 8 affiches. Sam Francis fut sans doute le premier peintre américain de l’après-guerre à être reconnu internationalement et son art fut célébré autant en Europe qu’aux Etats-Unis. Sam Francis a su transmettre à son art graphique à la fois son geste spontané et la forme abstraite qui lui est personnelle.
    "Les monotypes de Sam Francis", par G. Tullis, Pontus Hulten et autres, Ed. Daco Verlag, Stuttgart (Allemagne), 1996

    Catalogue raisonné - Sam Francis

    "Les monotypes de Sam Francis",
    Pic
    L'ouvrage, en trois langues (anglais, français et allemand), s'ouvre sur une préface de Pontus Hulten, que suit un texte (« Une voie de perfection » ) de Garner Tullis, les deux enrichis de nombreuses photographies de l'artiste. « Les monotypes de Sam Francis » a été publié par Daco Verlag en 1996. Il ne s'agit pas ici d'un catalogue raisonné, mais d'une sélection de 150 monotypes de l'artiste américain. Les dates de création de l'ensemble de ces oeuvres uniques courent sur 15 ans de création, de l'année 1974 à l'année 1988. Ce qui distingue le monotype des autres sortes d'estampes, c'est qu'il n'existe par définition qu'en un seul exemplaire. Il y a une part d'impondérable dans le procédé du monotype qui peut se révéler très séduisante. L'art de Sam Francis gravite autour de deux pôles, l'espace et la couleur, et il est rare de voir un grand artiste se consacrer aussi exclusivement à si peu de composantes élémentaires de la création graphique. L'ouvrage est clos, traditionnellement, par des annexes (biographie, bibliographie, liste des expositions personnelles et collectives de l'artiste, presse, etc).
    "The Prints, 1960-1990", par Connie W. Lembark, Ed. Hudson Hills Press, New York, 1992

    Catalogue raisonné - Sam Francis

    "The Prints, 1960-1990",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique, en deux volumes et en langue anglaise, de Sam Francis a été publiée par les éditions Hudson Hills Press, New York, en 1992. Etabli par Connie W. Lembark, ces ouvrages répertorient et décrivent l’ensemble de l’œuvre imprimée de l’artiste sur la période 1960-1990 ; le premier volume est exclusivement consacré aux lithographies de l’artiste, pendant que le second s’intéresse à ses gravures, sérigraphies et affiches. Les lithographies originales de l’artiste sont répertorié en deux catégories : les lithographies et les lithographies d’autoportrait (50 œuvres) ; ainsi, un total de 338 œuvres imprimées sur papier selon cette technique sont référencées dans le volume I du présent catalogue raisonné. Sam Francis fut sans doute le premier peintre américain de l’après-guerre a être reconnu internationalement et son art fut célébré autant en Europe qu’aux Etats-Unis. Sam Francis a su transmettre à son art graphique à la fois son geste spontané et la forme abstraite qui lui est personnelle.
    Frankenthaler Helen
    "Prints 1961-1994", Pegram Harrison, Harry N. Abrams Inc. Publishers, New York, 1996

    Catalogue raisonné - Helen Frankenthaler

    "Prints 1961-1994",
    Pic
    Le catalogue raisonné des estampes de l'artiste peintre américaine Helen Frankenthaler a été établi par Pegram Harrison et publié, en 1996, par les Editions Harry N. Abrams Inc. à New York. L'ouvrage porte sur une période de 34 années de création graphique s'étalant de l'année 1961 à l'année 1994. Après un texte d'introduction de Suzanne Boorsch, Pegram  Harrison, l'auteur du catalogue raisonné, répertorie 235 estampes de l'artiste : lithographies, sérigraphies, gravures souvent en techniques mixtes (eau-fortes, aquatintes, vernis mous, pointes sèches, burins), estampes au pochoir, bois gravés, techniques mixtes, "monoprints", monotypes ou mixographies. Chaque estampe est ici présentée en grand format et en couleurs, accompagnées souvent de la reproduction des différents états ou épreuves expérimentales et essais, et avec un maximum d'informations. L'ouvrage est rythmé par des chapitres correspondant aux décennies de réalisation. L'ouvrage est enrichi de nombreuses photographies ; en outre, en fin d'ouvrage, on découvrira plusieurs annexes : les éditions offset et estampes non éditées, une biographie sélective recentrée les activités liées à l'estampe de l'artiste, une importante bibliographie, un index des titres des estampes, des index de tous les noms cités, des éditeurs et des imprimeurs. Il s'agit ici d'un livre incontournable pour tous les collectionneurs et amateurs de cette immenses artiste morte en 2011.

    Freddie Wilhelm
    "Det grafiske vaerk",
    Frélaut Jean
    "Jean Frélaut - L'oeuvre gravé 1926-1954", 4 volumes, Denise Frélaut, Bertrand Frélaut, Ed. La Bibliothèque des Arts, Lausanne/Paris, 1977 (T. 1 : 1926 - 1935), 1979 (T. 2 : 1936 - 1941), 1984 (T. 3 : 1942 - 1946) et 1999 (T. 4 : 1947 – 1954).

    Catalogue raisonné - Jean Frélaut

    "Jean Frélaut - L'oeuvre gravé 1926-1954",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Jean Frélaut comporte 4 volumes, tous publiés par les  Ed. La Bibliothèque des Arts, Lausanne/Paris, entre 1977 et 1999. Etablis par Denise Frélaut (Vol. I) et par Bertrand Frélaut pour les volumes 2, 3 et 4, les auteurs répertorient un énorme ensemble de 1434 gravures de l'artiste pour une période de création graphique de 38 années (V. 1 : n°1 à 437, V. 2. : n°438 à 729, V. 3 : n°730 à 1019 et V. 4 : de n°1020 à 1434). On notera, en fin du volume 4, quelques corrections portant sur les volumes précédents. Chaque volume est enrichie d'une préface écrite par différents auteurs : Jacques Guignard (V. 1), Jacques de Laprade (V. 2), Pierre Gassier (V. 3) et Jean-Eugène Bersier (V. 4). Chaque volume se referme sur un répertoire des titres des estampes. L'on y découvrira au fil du « métier » de Jean Frélaut toutes les techniques de la gravure utilisées par l'artiste - burin sur bois, eau-forte, et principalement pointes sèches -, mais aussi des lithographies. On notera également que Jean Frélaut a illustré de nombreux auteurs et poètes (Jean de La Fontaine, Châteaubriant, Alain-Fournier, Georges Duhamel, Paul Verlaine, Alexandre Arnoux, Charles d'Orléans, etc). Comme ce fut le cas dans son œuvre peint, les thèmes essentiels traités sont la Bretagne et, à travers elle, la nature pour laquelle il éprouvait un véritable amour.
    Freud Lucian
    "Etchings 1946-2004", par Craig Hartley, Ed. National Galleries of Scotland, 2004

    Catalogue raisonné - Lucian Freud

    "Etchings 1946-2004",
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    Le catalogue "Etchings 1946-2004" a été publié à l'occasion d'une même exposition (portant titre) organisée en 2004 et 2005 par cinq différentes institutions : Scottish National Gallery d'Edimbourg, Abbot Hall Art Gallery de Kendal, The Fitzwilliam Museum de Cambridge, Waterhall Gallery of Modern Art de Birminghan et Marlborough Graphics de Londres. Il ne s'agit pas ici d'un catalogue raisonné, mais d'un simple catalogue d'exposition qui viendra en complément à celui-ci qui portait sur la période 1946-1995 (voir le lien ci-dessous). Le long et très intéressant texte de Craig Hartley, grand spécialiste des gravures de l'artiste (et auteur du catalogue raisonné) est enrichi des dernières connaissances sur les estampes de Lucian Freud et d'un catalogue de 61 gravures dont 18 (10 reproduites) ne figurent pas dans l'ouvrage de référence et qui ont été exécutées entre 1995 et 2004. Comme dans la période précédente (avant 1994), le thème principal de ces nouvelles gravures est le portrait et le nu. Les eaux-fortes réalisées par Lucian Freud forment un ensemble extraordinaire qui offre une vision en profondeur de l'oeuvre de l'un des plus importants artistes figuratifs du XX° siècle.
    "The etchings, 1946-1995", Craigh Hartley, Editions Malborough Graphics, Londres, et Galleria Ceribelli, Bergame, 1995

    Catalogue raisonné - Lucian Freud

    "The etchings, 1946-1995",
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    Ami de Francis Bacon avec qui, entre autres, il forme ce que l'on appellera l' « Ecole de Londres », petit-fils du médecin et fondateur de la psychanalyse (Sigmund Freud), Lucian Freud est considéré comme l'un des artistes majeurs du XX° siècle. En langue anglaise, le catalogue raisonné des gravures de Lucian Freud, "The etchings, 1946-1995", a été établi par Craigh Hartley et co-édité par les Editions Malborough Graphics de Londres et par la Galerie Ceribelli de Bergame en 1995. Après sa propre introduction à l'ouvrage qui replace et analyse l'oeuvre gravé de l'artiste dans son contexte, l'auteur répertorie 51 gravures à l'eau-forte (avec pointe sèche pour une seule des références) pour une période de 50 années de création graphique s'étalant de l'année 1946 à l'année 1995, date de la disparition de l'artiste. « L'analyse scrupuleuse de Freud - sans fascination, sentiment ou préjugé - suppose une grande force morale. Ses gravures transforment la sincérité en vérité inconfortable », écrit l'auteur. Réalisé en parallèle à sa peinture, on notera que le travail sur les gravures permet à l'artiste de réduire ses représentations aux éléments élémentaires. Ses nombreux portraits traitent de personnes « ordinaires », en général des proches du peintre. L'ouvrage est clos sur une bibliographie liée aux gravures de l'artiste.
    Friedlaender Johnny
    "L'oeuvre gravé, 1988-1992 ", Vol. V, Ed. Galerie Peerlings, Krefeld, 1999

    Catalogue raisonné - Johnny Friedlaender

    "L'oeuvre gravé, 1988-1992 ",
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    Le volume V, et dernier volume, du catalogue raisonné complet de l’œuvre gravé de Johnny Friedlaender, paru en 1999, a été publié par la Galerie Peerlings (Krefeld). Ouvrage bilingue (allemand, « Radierungen, 1988-1992 », et français), il s’interesse à la période 1988-1992 et ne comporte que 33 gravures, n° 808 (« Octobre ») à n° 840 (« Graffiti »), dernière estampe de l’artiste réalisée en 1992 et publiée par l’auteur de l’ouvrage. Ce catalogue s’ouvre sur une introduction de Werner Schmidt : « Reflexion sur les gravures à l'eau-forte de Johnny Friedlaender ». Comme pour l’ensemble de la production graphique de Johnny Friedlaender, c'est à partir de la tonalité d'un fond à l'aquatinte, d'où émerge la figure de l'image, que se disposent les éléments de l'œuvre - la couleur participant toujours de manière décisive à l’œuvre -. Le préfacier écrit : « Les eaux-fortes de ses dernières années créatives perpétuent avec une sublime assurance le style que l'artiste avait forgé au début des années 60 et porté ensuite à la plénitude ». On trouvera, en fin d'ouvrage, une biographie et une bibliographie essentielle sur l'artiste.
    "Radierungen, 1930-1972", Vol. I, Rolf Schmücking, Ed. Galerie Schmücking, 1973

    Catalogue raisonné - Johnny Friedlaender

    "Radierungen, 1930-1972",
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    L’ensemble de plus de 950 œuvres imprimées de Johnny Friedlaender est répertorié dans cinq volumes constituant le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé. Le premier volume (période 1930-1972, avec 477 gravures répertoriées), à lui seul, décrit près de la moitié de l’œuvre imprimée de l’artiste ; établi par Rolf Schmücking, il paraîtra en 1973 aux Editions Galerie Schmücking Braunschweig. Une « Jeune fille au collier », gravure de 1930, ouvre le banc de ce premier volume de près de 500 pages où toutes les reproductions des planches sont en noir et blanc. On notera que les 19 derniers numéros de l’ouvrage (459 à 477) répertorient les affiches originales de Friedlaender réalisées entre 1951 (Galerie La Hune, Paris) et 1970 (Galerie Schmücking, Braunschweig). Cet ouvrage, comme le sont les quatre autres volumes, est sans doute l’incontournable référence pour connaître et comprendre la démarche et l’évolution de l’artiste au fil de ans.
    "Radierungen, 1973-1976", Vol. II, Rolf Schmücking, Ed. Galerie Schmücking, 1977

    Catalogue raisonné - Johnny Friedlaender

    "Radierungen, 1973-1976",
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    « Je crains le hasard dans mon métier, il n’est pas mon maître ; ma règle c’est la rigueur », écrit Johnny Friedlaender en 1988. Peintre, mais avant tout graveur et aquarelliste, l’œuvre imprimé de l’artiste est prolifique, puisqu’il compte plus de 950 œuvres. L’ensemble est répertorié dans cinq volumes constituant le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé. Le premier volume (pour la période 1930-1972, avec 477 gravures répertoriées) paraîtra en 1973 aux Editions Schmücking. 104 œuvres sont répertoriées dans le volume II, du n° 478 au n° 582, volume qui porte sur la période 1973-1976. Le rapport de l’artiste avec le cuivre aura été une relation d’élection, le trait incisif de Friedlaender le vouant à ce médium. Son esprit inventif lui suggérera toutes les possibilités techniques en taille directe ou avec l’intermédiaire de l’acide.
    "Radierungen, 1982-1988", Vol. IV, Ed. Galerie Peerlings, 1988

    Catalogue raisonné - Johnny Friedlaender

    "Radierungen, 1982-1988",
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    Les motifs de Johnny Friedlaender - signes, cercles, damiers, trames diverses - se développent dans de grandes aquatintes en couleurs, comme de véritables partitions. L’artiste ne voulait-il pas être musicien dans une seconde vie ? Acteur notable de l’« Ecole de Paris », l’artiste sera l’un des maîtres dans l’art de graver. Le Catalogue Raisonné de l’œuvre gravé de Johnny Friedlaender est constitué de cinq volumes (pour un total de 950 œuvres imprimées sur une période de plus de 60 ans). Alors que 122 estampes de l’artiste sont répertoriées dans le volume III (1977-1981), l’auteur du volume IV recense 101 œuvres originales de l’artiste, du n° 706 au n° 807, pour la période 1982-1988. Otto Mueller, son professeur à l’académie de Breslau alors qu’il avait 16 ans, avait dit de lui : « Il dessine comme un égyptien » ! Très tôt, le jeune homme sera marqué par les travaux de Käthe Kollwitz et d’Otto Dix . . .
    "Werkverzeichnis der Radierungen, 1977-1981", Vol. III, Verlag Galerie Schmücking, Braunschweig, 1982

    Catalogue raisonné - Johnny Friedlaender

    "Werkverzeichnis der Radierungen, 1977-1981",
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    Comme les deux précédents, le troisième des cinq volumes du catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Johnny Friedlaender, « Werkverzeichnis der Radierungen, 1977-1981», a été publié (en 1982) par les Editions de la Galerie Schmücking. On sait que le premier volume (période 1930-1972, avec 477 gravures répertoriées), à lui seul, décrit près de la moitié de l’œuvre imprimée de l’artiste qui est constitué de 950 estampes. Le présent volume répertorie, sur une période de quatre années de création graphique, un ensemble de 123 estampes (du n°583 au n°705). On notera que le présent volume III a été tiré à seulement 400 exemplaires numérotés et qu'il est en langue allemande. Il est accompagné, classiquement, d'une biographie sommaire de l'artiste, d'une liste de ses principales exposition depuis 1930, de la représentation et de l'évolution de ses différentes signatures, ainsi que de notes pour le bon usage du catalogue raisonné.
    Frink Elisabeth
    "Original prints", Caroline Wiseman, Ed. Art books International, Londres, 1998

    Catalogue raisonné - Elisabeth Frink

    "Original prints",
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    En langue anglaise, le catalogue raisonné des estampes d'Elisabeth Frink, "Original prints", a été établi par Caroline Wiseman et publié par les Editions Art books International de Londres en 1998. L'ouvrage s'ouvre sur une préface de Lin Jammet, sur des textes d'Edward Lucie-Smith, de Caroline Wiseman, Stanley Jones (« Lithographies »), Nigel Oxley (« Gravures ») et Kip Gresham (« Sérigraphies »). L'auteur répertorie 162 références pour une période de 29 années de création graphique s'étalant de l'année 1964 à l'année 1992. L'artiste utilise différentes techniques dans son expression graphique : lithographies, gravures à l'eau-forte (couplée parfois à l'aquatinte) et quelques sérigraphies. Son travail est réalisé le plus souvent par séries où les animaux (notamment les oiseaux et les chevaux) tiennent une place privilégiée. La mythologie est un autre thème récurrent de l'artiste. Quelques multiples, la liste des imprimeurs, quelques photographies de l'artiste, un glossaire des techniques, une biographie, une bibliographie et la liste des titres des estampes, constituent l'ensemble des annexes en fin d'ouvrage.

    Fruhtrunk Gunter
    "Serigraphien", Peter Kirchhoff, De Gruyter Verlag, Allemagne, 2017.

    Catalogue raisonné - Gunter Fruhtrunk

    "Serigraphien",
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    Après des années de recherches intensives, Peter Kirchhoff a réalisé ce catalogue raisonné, édité en langue allemande, qui reproduit et répertorie plus de 150 sérigraphies de Gunter Fruhtrunk (1923-1982), artiste prépondérant de l'art concret et de l'abstraction géométrique allemand. Le volume montre, pour la première fois, l’oeuvre imprimé de ce grand artiste qui participa notamment à la 4ème documenta et à la 34 ème Biennale de Venise en 1968.  L'ouvrage est précédé d'une introduction de Florian Illies qui marque le début de cette publication ; le répertoire exhaustif des sérigraphies de Gunter Fruhtrunk montre la pureté et la véhémence des couleurs qui se déploient notamment dans son oeuvre imprimé dans lequel l'artiste reprend les importantes recherches et avancées sur la couleur qu'il fit au travers de sa peinture. Gunter Fruhtrunk, connu pour sa conception de l'iconique Aldi-Nord (Aldi-Tüte), n’était pas seulement omniprésent dans la République de Bonn des années 1960 et 1970 ; ses œuvres, composées de diagonales, de bandes et de lignes rythmées, font toujours partie intégrante de nombreuses collections et musées de premier plan, tels que le Centre Pompidou de Paris, la Kunstsammlung NRW, la Munchner Lenbachhaus ou la Neue Nationalgalerie de Berlin.
  • G
    Gabo Naum
    "Monoprints from engraved wood blocks and stencils", par Graham Williams, Ed. The Florin Press pour Kettle's Kard, Cambridge, et The Talbot Rice Gallery, Edimbourg, 1987

    Catalogue raisonné - Naum Gabo

    "Monoprints from engraved wood blocks and stencils",
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    Architecte, peintre et sculpteur avant tout, Naum Gabo, né Naum Neemia Pevsner, avait rédigé - en 1920 - un manifeste esthétique, avec son frère Antoine Pevsner, qui est considéré comme le manifeste du constructivisme russe. Réalisé à l'occasion de l'exposition posthume de l'artiste à Cambridge et à Edimbourg, le catalogue "Monoprints from engraved wood blocks and stencils" a été réalisé par Graham Williams et édité en 1987 par The Florin Press pour Kettle's Kard (Cambridge) et The Talbot Rice Gallery (Edimbourg), soit dix ans après la disparition de l'artiste. On y découvre 60 reproductions d'estampes, qui se repartissent en deux sections : « Color section » and « Monotone section ». Naum Gabo a tiré certaines de ses estampes à la fois en couleur et en noir et blanc, et chaque estampe est ici décrite dans la partie « Monotone section ». Ce petit ouvrage est enrichi de textes de Graham R. Williams, Sir Norman Reid, Martin Hammer and Christina Lodder. Naum Gabo avait rédigé - en 1920 - un manifeste esthétique, avec son frère Antoine Pevsner, qui est considéré comme le manifeste du constructivisme russe.
    Gargallo Pablo
    "L'oeuvre complet",
    Gauguin Paul
    "Catalogue Raisonné of his Prints", par E. Mongan, E.W. Kornfeld et H. Joachim, Kornfeld Publishers, 1988

    Catalogue raisonné - Paul Gauguin

    "Catalogue Raisonné of his Prints",
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    Après un premier catalogue raisonné des estampes de Paul Gauguin établi par Marcel Guérin et publié en 1927, la Galerie Kornfeld de Berne éditera, en 1988, l’ouvrage qui fait aujourd’hui référence sur l’artiste en ce domaine : zincographies (lithographies sur zinc), gravures (pointes sèches, burins), bois gravés pour l’essentiel, lithographies, pour un ensemble de 78 références, y compris les états d’avancements et variantes. En outre, en fin d’ouvrage, deux sections supplémentaires répertorient des tirages provenant de sculptures et reliefs de l’artiste (5 références, qui ne sont pas considérés comme des gravures originales de Gauguin) et 4 épreuves - bois gravés - dont on a pas la certitude qu’ils aient été réalisé par Paul Gauguin. L’oeuvre graphique de l’artiste débute en 1889, à Paris, par 10 zincographies imprimées chez Edouard Ancourt. Ces premières oeuvres seront suivies par les dix extraordinaires bois gravés de « Noa Noa », réalisés d’après des dessins que Paul Gauguin a exécutés à Tahiti. D’autres viendront peu après. Paul Gauguin est venu à Tahiti pour tenter d’accorder son cheminement intérieur et son oeuvre : « Là je pourrai, au silence des belles nuits tropicales, écouter la douce musique murmurant les mouvements de mon cœur ».
    Giacometti Alberto
    "Catalogue raisonné des estampes", Vol. I et II, Eberhard W. Kornfeld et Fondation Giacometti - Ed. Fondation Giacometti, Paris/Galerie Kornfeld, Bern, 2016

    Catalogue raisonné - Alberto Giacometti

    "Catalogue raisonné des estampes",
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    Ce nouveau catalogue raisonné en deux volumes (1917/1958 et 1958/1965) fait désormais référence en ce qui concerne les estampes originales d'Alberto Giacometti. Il est le fruit de longues recherches menées de 1963 à 2016 par Monsieur Eberhard Kornfeld, auxquelles la Fondation Giacometti s'est associée dès 2005. L'ouvrage s'ouvre sur une préface de Eberhard Kornfeld et une introduction de Mathilde Lecuyer-Maillé. La présentation des estampes (lithographies, eaux-fortes, burins, bois gravés et quelques cuivres) suit un ordre strictement chronologique. Il est à noter que chaque estampe constitue une référence en elle-même, même lorsqu'elle appartient à un ouvrage qui en contient plusieurs de l'artiste. Ces deux volumes rassemblent 452 références, parmi lesquelles de nombreuses ne figurent pas dans le Lust, et fait remarquable : sont aussi répertoriés tous les essais non édités connus à ce jour. Un troisième volume est en préparation, entièrement consacré à l'ouvrage "Paris sans fin".
    "The complete graphics", par Herbert C. Lust, Ed. Alan Wofsy Fine Arts, 1991

    Catalogue raisonné - Alberto Giacometti

    "The complete graphics",
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    Le Catalogue Raisonné de l’œuvre graphique d’Alberto Giacometti – « The complete graphics » -, réalisé par Herbert C. Lust (1970) et complété par Alan Wofsy, a été publié par les Editions Alan Wofsy Fine Arts (San Francisco) en 1991. Les auteurs y répertorient près de 400 références, lithographies et gravures, y compris les œuvres sur papier imprimées dans le domaine du livre illustré, comme le véritable testament de l’artiste que constitue « Paris sans fin » et ces 150 lithographies, livre considéré par beaucoup comme l’un des plus beaux livres du XXème siècle. A l’époque de la première publication du catalogue raisonné (quatre ans après la mort de l’artiste), cette publication éclaira le fait que le sculpteur était l’un des maîtres incontestés de l’art graphique de son siècle. L’édition de 1991, présentée ici, fit découvrir 43 nouvelles œuvres par rapport à l’édition originale, ainsi que de nouvelles informations et autres corrections sur les œuvres présentées dans l’ouvrage original.
    Gilot Françoise
    "Stone echoes - original prints", Mel Yoakum, Ed. P. and M. Berman Museum of Art at Ursinus College, 1995

    Catalogue raisonné - Françoise Gilot

    "Stone echoes - original prints",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Françoise Gilot, mère de Claude et Paloma Picasso, comporte 110 références pour une période de 55 années de création graphique couant de 1940 à 1994. « Stone echoes - original prints » a été publié en 1995 par les Editions Philip and Muriel Berman Museum of Art at Ursinus College (Etats-Unis). L'oeuvre graphique de l'artiste est composée essentiellement de lithographies en couleurs, mais également de 2 linogravures (n°s 1 et 2 du C.R. Réalisée en 1940 et 1942) et de quelques gravures (des aquatintes principalement). Après la préface de Lisa Tremper Barnes, on découvrira quelques mots de Jacques Mourlot avec lequel Françoise Gilot travailla et une introduction de Mel Yoakum. Un long chapitre (« Françoise Gilot : artist and printmaker »), agrémenté de nombreuses photographies et de documents, précède le catalogue raisonné proprement dit.

    Gleizes Albert
    "L'oeuvre complet",
    "L'oeuvre gravé", par J. Loyer, Ed. Nouvelles de l’Estampe, 1976

    Catalogue raisonné - Albert Gleizes

    "L'oeuvre gravé",
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    Le Catalogue des estampes de l’artiste (« L’œuvre gravé de Albert Gleizes »), a été établi par Jacqueline Loyer et publié en 1976, dans le cadre de la Revue « Les Nouvelles de l’Estampe », n° 26 de mars-avril 1976. L’auteur de ce travail de référence sur l’oeuvre graphique de l’artiste - estampes et illustrations - répertorie l’ensemble des œuvres originales ou d’interprétation imprimées sur papier de l’artiste, scindant son répertoire selon les techniques utilisées par Gleizes ou par ceux qui gravèrent selon son œuvre peint : 79 gravures originales en taille-douce, réalisées pour la plupart pour des ouvrages (« Du cubisme » de l’artiste et de Metzinger, « Poésie des mots inconnus » Ed. Iliazd et « Les Pensées » de Pascal »), 71 bois gravés originaux réalisées pour les illustrations de deux ouvrages (« Le Bocage amoureux » de Roger Allard en 1911 et « Au pays du mufle » de Laurent Taihade en 1920), une lithographie d’interprétation réalisée en 1951 par Pierre André Benoit d’après un dessin de l’artiste en 1921, et 11 pochoirs.
    Gnoli Domenico
    "Domenico Gnoli - Graphik-Prints", Ed. Galerie Thomas Levy, Hambourg, Allemagne, Fondation Yannick et Ben Jakober, Mallorca, 2000.

    Catalogue raisonné - Domenico Gnoli

    "Domenico Gnoli - Graphik-Prints",
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    Trilingue (anglais-italien-allemand), le catalogue raisonné des estampes de l'artiste italien Domenico Gnoli (1933-1970) a été réalisé, et publié à 300 exemplaires en 2000, par la Galerie Thomas Levy de Hambourg (Allemagne). Conçu à l'occasion de l'exposition de l'artiste dans la dite galerie (sept-oct. 2000), l'auteur le considère comme un essai de catalogue raisonné. Il comporte la liste complète des estampes de l'artiste entre 1950 et 1966, les reproductions photographiques, uniquement en noir et blanc, n'étant ici que relatives à six années de création graphique, de l'année 1960 à l'année 1966.
    L'auteur répertorie 35 références pour l'ensemble de l'oeuvre :  neuf pointes-sèches, vingt-quatre eaux-fortes et deux lithographies.
    Ce petit catalogue raisonné de 32 pages se termine classiquement par une courte biographie de l'artiste et la liste de ses expositions.
    Parfois rapprochée du Pop art pour sa thématique ou de l'hyperréalisme pour le rendu des détails en vue rapprochée, son œuvre atypique à la technique parfois archaïsante s'en distingue toutefois par un dessin épuré et précis, des teintes douces et rompues conférant aux objets quotidiens détachés de leur contexte ou de leur fonction (fils de tissu, chaussures, cravate, fruit, collier, cheveux) une dimension poétique et mystérieuse, proche de l'abstraction et de la peinture métaphysique. 
    Goetz Henri
    "L'oeuvre Gravé", par Gunnar Bergstom, Ed. Sonet (Suède), 1973

    Catalogue raisonné - Henri Goetz

    "L'oeuvre Gravé",
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    Le catalogue raisonné des Editions Sonet, établi en 1973, présente et répertorie 167 références entre 1940 et1972. Comme dans le catalogue raisonné de K. Mansrour (1977), on y découvre la richesse des techniques utilisées par Henri Goetz dans son oeuvre graphique : pointes-sèches, burins, eaux-fortes, aquatintes, vermis mou, gravure sur plomb, linogravures, etc. Le « Procédé Goetz » ou gravure au carborundum y tient le rôle vedette à partir de 1968, date de la mise au point par l’artiste de cette évolution majeure dans l’art de graver. On ne compte pas les peintres-graveurs qui s’empareront, avec bonheur, de cette avancée ; Joan Miro en est un symbole évident. Henri Goetz fut peintre, graveur, chercheur, éducateur dans l’âme. Il eut une carrière d’enseignant dans différentes Académies ou ateliers parisiens et de province (peinture, dessin et gravure). Il fondera sa propre Académie en 1965. Nombre d’expositions personnelles de l’artiste furent consacrées uniquement à la gravure (La Hune, Galeries Hervieu ou Boisserée à Cologne, etc.) et de grands éditeurs publièrent son œuvre sur papier (La Hune, Berggruen, Maeght, etc.).
    "L'oeuvre gravé 1909-1989", Stanko Josimov, Université Paris IV-Sorbonne, 2009-2013

    Catalogue raisonné - Henri Goetz

    "L'oeuvre gravé 1909-1989",
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    Si déjà deux précédents catalogue raisonné avait été établi sur l'oeuvre gravé de Henri Goetz (par Gunnar Bergstom aux Editions Sonet en 1973 et par K. Masrour aux Editions Art Moderne en 1977), le présent catalogue, établi par Stanko Josimov et d'accès gratuit en ligne, en est le complément indispensable. Il constitue le Mémoire de Master 2 de l'auteur à l'UFR Histoire de l'art et archéologie de l'Université  IV-Sorbonne, soutenu en septembre 2009. La version présentée ici est la version corrigée de 2013. Ce travail a pour but de répertorier la deuxième partie de la production graphique de l'artiste, en y incluant les estampes datant d'avant mai 1977 (fin du CR de Masrour) ayant échappé à l'attention de Masrour, et notamment les estampes réalisées pour des livres illustrés, qui n'étaient pas systématiquement incluses dans le catalogue de 1977, et les estampes réalisées par Henri Goetz jusque deux ans avant sa disparition en 1989. Ce « Supplément au catalogue de l'oeuvre gravé de Henri Goetz » est ici enrichi d'une étude approfondie sur la vie de l'oeuvre de Goetz dont on trouvera ci-après les titres des chapitres abordés : 1.Une vie, un oeuvre 2. L'oeuvre gravé de Henri Goetz 3. La gravure au carborundum et la question de la technique Chez Goetz 4. L'enseignement de la gravure. Voici le lien qui vous permettra d'accéder à ce complément : L'oeuvre gravé 1909-1989.
    "Oeuvre gravé", par K. Masrour, Ed. Art Moderne, 1977

    Catalogue raisonné - Henri Goetz

    "Oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné de l’œuvre gravé d’Henri Goetz établi en 1977 par K. Masrour répertorie 280 références entre 1940 et 1977. Si l’on y découvre des lithographies et quelques sérigraphies, l’essentiel de l’œuvre graphique de l’artiste se compose de gravures, exécutées suivant toutes les champs possibles ouverts par ce domaine : pointes-sèches, burins, eaux-fortes, aquatintes, vermis mou, gravure sur plomb, linogravures, etc., et . . . carborundum. Cette dernière technique, découverte et mise au point par Henri Goetz au début de l’année 1968, rend l’artiste célèbre. Elle va être sa marque à partir de la fin des années 60 et ouvrira de nouvelles perspectives aux peintres-graveurs qui la font leur. Joan Miro et son incroyable créativité pousseront sans doute cette voie au-delà de son « inventeur ». Les Editions Maeght publieront un manuel dans lequel Goetz explique ses méthodes (Préface de Miro). Celles-ci seront adaptées, modifiées, parfois simplifiées par d’autres, donnant à chacun de nouvelles pistes de création.
    Gonzalez Julio
    "Sculpture", par Jörn Merkert, Ed. Electa, Milan, 1987

    Catalogue raisonné - Julio Gonzalez

    "Sculpture",
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    Le catalogue raisonné « Julio Gonzalez - Sculpture » a été établi par Jörn Merkert et publié par les Editions Electa (Milan) en 1987, sous les auspices de l'IVAM/Instituto Valenciano de Arte Moderno - Centre Julio Gonzalez (Valence). Après une préface de Tomas Llorens et une introduction de Margit Rowell (« La genèse de la sculpture en fer »), l'auteur répertorie l'ensemble des oeuvres de l'artiste, soit 249 références, entre « Eve » (cuivre repoussé - circa 1900-1910) et son ultime sculpture, « Tête Montserrat criant » réalisée en 1942, date de disparition de l'artiste. Le style personnel de Gonzalez, et son oeuvre en métal soudé, se sont révélés assez tard dans sa vie. Cependant leur importance lui valut le titre de « père de toute la sculpture en fer de ce siècle » que lui décerna le sculpteur américain David Smith. La sculpture de Julio Gonzalez reflète les contradictions fondamentales entre le surréalisme et le constructivisme, la figuration et l'abstraction, les conventions académiques et l'avant-garde. Julio Gonzalez réussit à fondre ces différentes approches de la sculpture en un seul langage à la fois singulier et personnel. Unir la matière à l'espace. Julio Gonzalez aida à la transformation de la notion même de sculpture au XXe siècle, d'un art de la représentation à un art de l'invention.
    Goya Francisco
    "Estampas - grabado y litografia", par Juan Carrete Parrondo, Ed. Electa, 2007

    Catalogue raisonné - Francisco Goya

    "Estampas - grabado y litografia",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Goya, « Estampas - grabado y litografia », a été établi par Juan Carrete Parrondo et publié par les Editions Electa en 2007. L'auteur y recense 287 références entre l'année (circa) 1775 (« La huida de Egipto », une eau-forte) et l'année 1824-25 (« El cantor », une eau-forte et aquatinte), soit sur plus de cinquante années de créationdans les domaines de la gravure et de la lithographie. Après la préface, on découvrira la retranscription de nombreux textes écrits par Goya, textes en relation avec sa propre création graphique. Des annexes importantes concluent l'ouvrage : catalogue technique, bibliographie, chronologie de la vie de Goya en relation avec son activité de graveur et lithographe, glossaire des techniques de gravure et lithographie, bibliographie sélective.
    Groborne Robert
    "L'oeuvre gravé 1963-1996", Philippe Siauve, Ed. Ville de Cherbourg, 1997

    Catalogue raisonné - Robert Groborne

    "L'oeuvre gravé 1963-1996",
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    Le catalogue des estampes de Robert Groborne, « L'oeuvre gravé 1963-1996 », a été établi par Philippe Siauve et publié par la Ville de Cherbourg, en 1997, à l'occasion de l'exposition « Robert Groborne, rétrospective de l'oeuvre gravé ». L'ouvrage nous permet de suivre l'évolution du travail gravé de l'artiste au fil des ans, de ces rencontres, de ces expériences. Après une importante analyse de l'oeuvre par Yves-Michel Bernard, l'auteur répertorie 150 références pour une période de plus de trente années de création graphique. Si la majorité des estampes - isolées, en série ou pour un ouvrage - est constituée par des gravures sur cuivre, zinc ou plexiglas, notamment des gravures à l'eau-forte, on découvrira également des aquatintes, des estampes réalisées en technique mixte, des burins, des pointe-sèches, des procédés au sucre, des linogravures, des gaufrages, un pochoir, des lithographies, des estampes d'après clichés typographiques, des bois gravés. On notera que, Robert Groborne souhaitant que l'on puisse avoir une lecture sans rupture de l'ensemble de son oeuvre gravé, les notices descriptives de ces estampes ont été reportées en fin de catalogue. Le présent catalogue se refermé sur des annexes traditionnelles : livres de l'artiste, biographie avec les expositions personnelles ou collectives de l'artiste, audiovisuel, émissions radiophoniques, collections publiques, bibliographie.
    Gromaire Marcel
    "L'oeuvre gravé", Vol. I et II, par François Gromaire, Ed. La Bibliothèque des Arts, 1976

    Catalogue raisonné - Marcel Gromaire

    "L'oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné « l’œuvre gravé » de Marcel Gromaire, en deux volumes, a été établi par François Gromaire (fils de l’artiste) et publié en 1976 par les Editions La Bibliothèque des Arts à Paris. Dans le volume I, l’auteur répertorie exclusivement les gravures sur métal éditées séparément pour la période 1921-1939. Dans le volume II sont répertoriées à la fois les gravures sur métal éditées séparément pour la période 1944-1961, les gravures sur métal pour les illustrations de livres, les gravures sur bois (période 1918-1922), qu’elles aient été publiées de façon isolée ou dans le cadre du livre illustré. Œuvre graphique commencée par la seule pointe-sèche de l’artiste (« Nu couché vu de dos », 1921), l’artiste va par la suite réaliser 120 gravures sur zinc ou sur cuivre, gravures à l’eau-forte, pour la période d’avant-guerre. On notera que Marcel Gromaire n’a jamais exécuté de gravures en couleurs. L’artiste a donné la primeur de sa création graphique à la technique de l’eau-forte, celle-ci lui permettant de parfaire son travail, de le reprendre après morsure ou d’un état à l’autre, de parvenir à une finition que l’on retrouve dans ses dessins à l’encre de Chine.
    Grosz George
    "Das druckgraphische Werk - The Graphic Work", Alexander Dückers, Ed. Alan Wofsy Fine Arts, San Francisco, 1996

    Catalogue raisonné - George Grosz

    "Das druckgraphische Werk - The Graphic Work",
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    Le catalogue raisonné des estampes de George Grosz présenté ici (bilingue : allemand et anglais), « Das druckgraphische Werk / The Graphic Work », a été établi par Alexander Dückers et publié par les Editions Alan Wofsy Fine Arts (San Francisco) en 1996. Il s'agit d'une édition corrigée et augmentée de l'ouvrage paru initialement en 1979 en Allemagne. Très documenté, présentant pas moins de 427 illustrations et enrichi d'une importante introduction, ce catalogue raisonné fait aujourd'hui autorité dans le domaine de l'oeuvre graphique de l'artiste. L'auteur répertorie les estampes de George Grosz par chapitres successifs : épreuves individuelles, estampes appartenant à des portfolios, à des livres illustrés, dessins et oeuvres reproduits dans des ouvrages ou revues. Dans le sens traditionnellement admis, il y a peu d'estampes originales de l'artiste ; ce sont généralement des reproductions de dessins ou aquarelles en technique lithographique ou offset. Comme le note l'auteur dans sa préface, « l'oeuvre graphique de George Grosz colle au plus près de son oeuvre dessiné, reproduisant toujours le meilleur ». Une oeuvre critique de son temps et engagée.
  • H
    Haass Terry
    "L'oeuvre graphique - Graphisches Werk - The graphic work", Peter Spielmann, Stiftung zur Förderung von Kultur und Wissenschaft, Bochum, 1997.

    Catalogue raisonné - Terry Haass

    "L'oeuvre graphique - Graphisches Werk - The graphic work",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre graphique de Terry Haass (en trois langues : allemand, français, anglais) a été établi par Peter Spielmann et publié, en 1997, par Stiftung zur Förderung von Kultur und Wissenschaft (Bochum). On découvrira, en début d'ouvrage, cinq textes de différents auteurs (Peter Spielmann, Dora Vallier, Ole Henrik Moe, Régine Rémon et Patrick-Gilles Persin) qui permettent à la fois de retracer le parcours de l'artiste et d'en comprendre la démarche. L'auteur du catalogue raisonné proprement dit répertorie un total de 286 références, estampes isolées ou groupes d'estampes publiées dans le cadre du portfolio ou du livre illustré. Si Terry Haass réalisa également des bois gravés, des lithographies et des sérigraphies, l'essentiel de son oeuvre graphique est constitué de gravures. Très tôt, par son travail au sein de l'Atelier 17, donc auprès de Hayter, l'artiste d'origine tchèque aiguisera son goût de l'expérimentation des techniques et de l'invention formelle. L'oeuvre de Terry Haass porte sur la lumière et l'espace, « la lumière qui de par son existence peut également signifier le temps, » écrit Peter Spielmann. Les rapports entre la perception et la forme expressive s'entremêlent ici de façon sublimée ; ces formes métaphoriques, symboliques, abstraites, tiennent compte de la réalité physique, de la nature même et sont, sans doute, des images philosophiques de l'intérieur des êtres.
    Hajdu Etienne
    "Sculptures ", Ionel Jianou, Ed. d’Art Arted, Paris, 1972.

    Catalogue raisonné - Etienne Hajdu

    "Sculptures ",
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    Le catalogue raisonné des sculptures, abstraites, d’Etienne Hajdu a été établi par Ionel Jianou et publié par les Editions d’Art Arted, Paris, en 1972. Ouvrage de 70 pages, il présente 83 photographies d’oeuvres en noir et blanc du sculpteur français d’origine hongroise : marbre, pierre, bronze, duralium (un alliage à base essentiellement d’aluminium), cuivre et aluminium ; reliefs et bas-reliefs. Après un entretien avec l’artiste, puis un long texte d’introduction de l’auteur (L’artiste, sa vie et son œuvre), on trouvera une courte biographie, la liste de ses expositions et une bibliographie. Ionel Jianou répertorie ensuite toutes les sculptures de l’artiste réalisées sur 34 années de création (de 1937 à 1971), artiste qui contribua puissamment au renouveau de l’art et au rayonnement de l’Ecole de Paris.
    Né en Transylvanie en 1907, Hajdu déménage à Paris pour ses études et, en 1927, devient l’élève d’Antoine Bourdelle à l’Académie de la Grande Chaumière. Il poursuit ses études à l’École nationale supérieure des beaux-arts et à l’École nationale supérieure des arts décoratifs. Hajdu parcourt à bicyclette la France des églises romanes et gothiques et découvre Vézelay en 1937. En 1939, il fait ses débuts à la galerie Jeanne Bucher, aux côtés de Szenes et Vieira da Silva. La notoriété de Hajdu s’établira et sera conforté tout d’abord à l’étranger puis en France dans les années 1950.
    Hamilton Richard
    "Prints 1939-83", Ed. Hansjorg Mayer, Stuttgart-Londres, 1984

    Catalogue raisonné - Richard Hamilton

    "Prints 1939-83",
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    Avant « Prints and multiple, 1939-2002 » (E. Lullin, Richter Verlag, 2003), catalogue raisonné définitif qui fait aujourd'hui référence dans le domaine de l'oeuvre graphique de Richard Hamilton, un premier ouvrage, « Prints 1939-83 », fut publié en 1984 par les Ed. Hansjorg Mayer (Stuttgart-Londres). Ce premier catalogue de l'oeuvre graphique complet, présenté ici, proposait un ensemble de 134 estampes de l'artiste, oeuvres imprimées réalisées dans des techniques différentes : gravures (pointes-sèches, aquatintes, eaux-fortes, etc.), lithographies, sérigraphies, héliogravures, techniques mixtes. Richard Hamilton, qui deviendra l'un des membres éminents à la base de la fondation du pop'art britannique, entamera son oeuvre graphique - l'artiste a 17 ans - par une série de gravures classiques à la pointe-sèche réalisée dès 1939 dans le cadre de ses études. Cet ouvrage permet de constater la très rapide évolution de l'artiste, évolution qui l'entraînera à stigmatiser les clichés du monde des mass media et de la consommation à outrance, à l'instar de ses confrères américains du milieu des années 50. Par son oeuvre, l'artiste prend la place de témoin au regard ironique et critique, homme qui s'est donné pour but de réfléchir aux apparences contemporaines. De très nombreuses et importantes expositions d'estampes de Richard Hamilton seront organisées ; on notera notamment l'exposition de 1973 au Davison Art Center (Middletown, Etats-Unis) et l'exposition « Image and Process » à la Tate Gallery de Londres en 1984.
    "Prints 1984-1991", Ed. Hansjörg Mayer et Waddington Graphics, Stuttgart-Londres, 1992

    Catalogue raisonné - Richard Hamilton

    "Prints 1984-1991",
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    Avant « Prints and multiple, 1939-2002 » (E. Lullin, Richter Verlag, 2003), catalogue raisonné définitif qui fait aujourd'hui référence dans le domaine de l'oeuvre graphique de Richard Hamilton, un premier ouvrage, « Prints 1939-83 », fut publié en 1984 par les Ed. Hansjorg Mayer (Stuttgart-Londres), puis un second, présenté ici, « Prints 1984-1991 » publié en 1992. Ce dernier comporte 36 références, de 135 à 170, sur une période de 8 années de création de l'artiste. Après une introduction d'Allan Cristea (Waddington Graphics) et un texte de l'artiste (« Evolution »), l'ouvrage propose le catalogue raisonné proprement dit. Les oeuvres ont été réalisées dans des techniques différentes : gravures (pointes-sèches, aquatintes, eaux-fortes, etc.), lithographies, sérigraphies, héliogravures, techniques mixtes. De même, certaines références sont des portfolios, ou ouvrages divers, contenant plusieurs estampes. En fin d'ouvrage, on découvrira un addendum et une continuation à la biographie contenu dans le volume précédent, ainsi qu'une liste des principales expositions de l'artiste depuis 1950.
    "Prints and Multiples 1939-2002", Etienne Lullin, Ed. Kunstmuseum Winterthur et Yale Center for British Art, Richter Verlag, Dusseldorf, 2003

    Catalogue raisonné - Richard Hamilton

    "Prints and Multiples 1939-2002",
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    Avant le présent ouvrage « Prints and multiple, 1939-2002 », catalogue raisonné définitif qui fait aujourd'hui référence dans le domaine de l'oeuvre graphique de Richard Hamilton, un premier ouvrage, « Prints 1939-83 », fut publié en 1984 par les Ed. Hansjorg Mayer (Stuttgart-Londres). Le catalogue définitif présenté ici a été établi par Etienne Lullin et publié par les Editions Richter (Dusseldorf) en 2003 en collaboration avec le Kunstmuseum Winterthur et le Yale Center for British Art. Des textes de l'artiste et de Stephen Coppel accompagnent le catalogue proprement dit. L'auteur recense 191 estampes en différentes techniques pour les 63 années de création graphique de Richard Hamilton : gravures, lithographies, sérigraphies, etc. L'ouvrage s'ouvre sur une pointe-sèche réalisée sur celluloïd (1939) et se referme sur une sérigraphie (2002). Etienne Lulllin répertorie, dans une seconde partie, les multiples conçus par l'artiste ; Richard Hamilton commença à produire des multiples au cours de l'année 1968 (« People multiple »), ils sont au nombre de 12. Une troisième partie montre les livres illustrés par l'artiste (2) et l'auteur, dans un dernier chapitre, décrit quelques estampes d'interprétation réalisées par divers artistes selon des oeuvres de Richard Hamilton.
    Haring Keith
    "L'oeuvre imprimé complet", par Klaus Littmann, Hatje Cantz Verlag, 1997

    Catalogue raisonné - Keith Haring

    "L'oeuvre imprimé complet",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre imprimé complet de Keit Haring a été publié en un seule version trilingue (allemand, anglais et français) : « Editions on paper 1982-1990 - Das druckgraphische Werk - The complete printed works - L'oeuvre imprimé complet ». L'ouvrage a été réalisé, en 1997, à partir de la collection appartenant à l'Administration Keith Haring de NewYork et publié par les Editions Hatje Cantz. A la mort de l'artiste, en 1990, on était bien loin de connaître l'ensemble de son travail imprimé. Pendant les dix ans de sa carrière, Haring a fait des lithographies, des sérigraphies, des impressions en relief et des gravures. L'artiste a travaillé avec des imprimeurs aux Etats-unis, en Suisse, au Japon, en Allemagne, France, au Danemark et en Hollande. Au cours de cette courte carrière, Keith Haring a réalisé plus de 60 différentes éditions sur papier, des estampes séparées aussi bien que des séries. Cet ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition organisée à la Galerie Klaus Littmann de Bâle. Le catalogue raisonné proprement dit est précédé d'une préface de Klaus Littmann, d'une introduction de Julia Gruen et d'un écrit, « Le choix des supports », de Werner Jehle. Il est rythmé par des chapitres correspondant aux années de réalisation et se referme sur une liste des expositions personnelles et collectives de l'artiste et sur une bibliographie sélective.

    "Posters", Jürgen Döring, Claus von der Osten, Museum für Kunst und Gewerbe Hamburg, Ed. Prestel, Munich-Londres-New York, 2018.

    Catalogue raisonné - Keith Haring

    "Posters",
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    Le catalogue raisonné des affiches de Keith Haring, « Posters », a été établi par une collaboration entre Jürgen Döring et Claus von der Osten ; l'ouvrage a été publié en 2018 à l'occasion d'une exposition par le Museum für Kunst und Gewerbe de Hamboug avec les éditions Prestel. Mort du sida à l'âge de 31 ans, Keith Haring aura été d'une grande créativité dans tous les domaines qu'il aborda. Eclatante de couleurs, supports de messages puissants de l'artiste, ses affiches sont accompagnées de commentaires perspicaces et présentées par le biais de reproductions éblouissantes. Avec son style qui n'appartient qu'à lui, accessible et figuratif, Keith Haring y sensibilise à l'épidémie du sida, à l'apartheid ou y célèbre la vie, la musique et la danse. Ces affiches font véritablement parties du paysage culturel des années 1980. Il s'agit ici  d'un travail de référence important et une célébration vivante d'un artiste de renommé mondial.
    Keith Haring était conscient du pouvoir du symbole et a développé ce style singulier - essentiellement incarné par des figures aux épais contours, aussi minimalistes qu'expressives - dans une recherche de démocratisation de l'art auprès du plus grand nombre. Dessinateur, peintre, sculpteur, ce travail s'est aussi matérialisées sous forme d'affiches.
    Hartung Hans
    "Das graphische Werk, 1921-1965", Rolf Schmücking, Ed. Galerie Schmücking, 1965-1990

    Catalogue raisonné - Hans Hartung

    "Das graphische Werk, 1921-1965",
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    Le catalogue de l’œuvre gravé de Hans Hartung, réalisé en 1965 par Rolf Schmücking, répertorie 191 oeuvres sur papier, sans prendre en compte les variantes, entre 1921 et 1965 : Gravures, selon différentes techniques (eaux-fortes, bois gravés, linogravures), et lithographies. On compte 56 gravures réalisées par l’artiste entre 1921 et 1957 ; la première période, jusqu’en 1928, se compose d’oeuvres réalistes, pour la plupart des portraits auxquels viennent se joindre une composition de trois personnages et un nu. Aucune gravure ne sera réalisée par l’artiste entre 1928 et 1938. À partir de 1938, il s’agira d’une oeuvre entièrement non-figurative. N’oublions pas qu’Hans Hartung pratiquera une abstraction lyrique à compter de 1922. On notera que les oeuvres ne sont pas titrées, mais portent des numéros et que le catalogue raisonné de l’oeuvre graphique de l’artiste n’existe à ce jour qu’en langue allemande. L’oeuvre graphique de Hans Hartung n’est, à ce jour, pas répertorié entre 1965 et 1989, cette dernière année étant celle de la disparition de l’artiste.
    "Hans Hartung - Estampes-Druckgraphik", R.M. Mason, Ed. B.N.F. de Paris, Musée d'Art et d'Histoire de Genève et Staatliche Museen zu Berlin, 2010

    Catalogue raisonné - Hans Hartung

    "Hans Hartung - Estampes-Druckgraphik",
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    L'ouvrage « Hans Hartung - Estampes/Druckgraphik » a été publié à l'occasion des trois expositions de Berlin, Paris et Genève en 2010 par le Staatliche Museen, la B.N.F. et le Musée d'Art et d'Histoire. Sans être un catalogue raisonné au sens stricte du therme, ce catalogue doit être considérer comme une référence - papier - dans ce domaine de l'oeuvre de Hartung. Basé sur le catalogue raisonné proposé sur Internet (voir plus bas), l'ouvrage reproduit 126 estampes. Ouvrage en 2 langues (français et allemand), on trouvera de nombreux textes d'introduction et autres pièces annexes : « La vie de l'artiste en gravure » par Geneviève Laplanche, « Hans Hartung, peintre-graveur » par Céline Chicha-Castex, « La série comme principe et méthode chez Hans Hartung : aspects de l'oeuvre gravé » par Christian Rümelin et « De l'esprit des gestes. A propos des estampes de Hans Hartung » par Andreas Schalhorn. On notera que le « Catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Hans Hartung » proprement dit est depuis quelques mois directement consultable sur le site internet de la Fondation Hans Hartung et Anna-Eva Bergman d'Antibes (http://www.hhestampes.com), soit 605 estampes originales de l'artiste, gravures et lithographies, sur une période de 65 années de création graphique (1921-1985). Particulièrement bien fait et facile d'utilisation (voir le guide d'utilisation), il s'agit ici de l'accomplissement de nombreuses années de travail et une aide précieuse pour les professionnels de l'estampe comme pour tous les amateurs de l'artiste. Sans doute le premier catalogue raisonné de cette envergure sur internet, un fantastique travail et une formidable réussite !
    Hasegawa Soichi
    "Das Graphische Werk, 1962-1987", Ed. Vision Nouvelle, 1987

    Catalogue raisonné - Soichi Hasegawa

    "Das Graphische Werk, 1962-1987",
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    Elaboré par les Editions Vision Nouvelle à l’occasion des 25 ans de travail de l’artiste dans le monde de la gravure, le catalogue raisonné de l’œuvre gravé de Soichi Hasagawa, 1962-1987, répertorie 212 oeuvres imprimées sur papier. L’ensemble est constitué d’eaux-fortes - à une exception près, une lithographie ! -. Dans la dualité Orient-Occident, la précision du trait et la transparence des couleurs mènent la démarche créatrice de l’artiste. Arrivé à Paris au tout début des années 60, l’artiste va aussitôt faire ses premières armes de graveur dans l’Atelier 17. La rencontre de Stanley William Hayter s’avérera déterminante pour l’ensemble de sa carrière artistique. Il faut savoir que jusqu’en 1968, Hasegawa ira tous les jours - sauf le dimanche ! - chez Hayter, bénéficiant des cours et des conseils de son « maître ». Il y aura acquis toutes les techniques qu’il mettra à son profit.
    Hasegawa Kiyoshi
    "L'oeuvre gravé 1913-1971", Uozu Akio, Ed. Reifu Syobo, Tokyo (Japon), 1999

    Catalogue raisonné - Kiyoshi Hasegawa

    "L'oeuvre gravé 1913-1971",
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    Venu s'installer en France en 1919, Kiyoshi Hasegawa (artiste disparu en 1980) ne retournera jamais au Japon. Le catalogue raisonné son oeuvre gravé a été publié au Japon par les Editions Reifu Syobo de Tokyo en 1999 et établi par Uozu Akio. L'ouvrage est une publication bilingue (Japonais et français). Un premier catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Kiyoshi Hasegawa avait été publié par Bijutsu Shuppan à Tokyo en 1981. Les estampes sont ici classées en trois rubriques : les estampes originales (n°1 à 356), les estampes réalisées par l'artiste pour les revues ou les livres (n°357 à 575) et les estampes de petit format (n°576 à 634 : cartes de voeux, menus, etc.). En outre, on découvrira en fin d'ouvrage des estampes (4) de l'artiste dont les dates et les titres sont inconnues, ainsi qu'une liste d'oeuvres publiées après la disparition de l'artiste (13). L'artiste utilisa une large palette des techniques de l'estampe : bois gravé (bois de fil ou bois de bout), gravure à l'eau-forte, aquatinte, vernis mou, pointe sèche, burin, manière noire, roulette et lithographie. Le catalogue raisonné porte sur près de 60 ans de création graphique de Kiyoshi Hasegawa (1913-1971). L'oeuvre de Kiyoshi Hasegawa est faite de cette matière venue de l'âme, elle est subtile et délicate, elle est oeuvre idéale composée dans le silence de l'atelier avec des souvenirs visuels récents, mais transposés par la sensibilité orientale d'un pays lointain.
    Hayter Stanley-William
    "The prints", par Peter Black et Désirée Moorhead, Ed. Phaidon, 1992

    Catalogue raisonné - Stanley-William Hayter

    "The prints",
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    Le catalogue raisonné des estampes de Stanley William Hayter répertorie 452 oeuvres de l’artiste entre 1926 (N° 1 du C.R., « Fontainebleau aqueduct ») et 1987 (« Downward »). Plus de soixante années d’une vie consacrée à la gravure qui sera traitée, au cours du temps, dans la palette de toutes les techniques possibles et de celles qu’il . . . « inventera » ou prolongera. Le style du créateur de l’Atelier 17 évoluera largement au fil de sa vie, à celui de ses rencontres et de ses découvertes. A ses débuts figuratifs, l’artiste va plonger dans l’aventure surréaliste dans les années 30. D’autres mondes picturaux très personnels suivront. La première gravure en couleurs de Stanley William Hayter apparaît en 1943, ce sera « Centauresse » (n° 157 du C.R.) publié par Curt Valentin, New York. La seconde, la célèbre « Cinq personnages », le sera trois ans plus tard, première grande planche en plusieurs couleurs imprimées en un seul passage selon la technique mise au point par l’artiste. Communicateur, partageur, des centaines d’artistes viendront apprendre ou se parfaire auprès de lui. Hayter est considéré comme l’un des plus grands graveurs du XX° siècle.
    Hecht Joseph
    "L'oeuvre gravé", D. Tonneau-Ryckelynck et Roland Plumart, Ed. Musée de l'Estampe de Gravelines, 1992

    Catalogue raisonné - Joseph Hecht

    "L'oeuvre gravé",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre gravé de Joseph Hecht (1891-1951) a été publié par le Musée de l'Estampe de Gravelines en 1992. Précédé par deux articles d'André Suarès (« L'ymagier de l'Arche ») et Carla Esposito (« Hecht et Hayter : deux aristocrates du burin ») que suit une biographie de l'artiste, le catalogue proprement dit a été établi par Dominique Tonneau-Ryckelynck et Roland Plumart. Les auteurs répertorient 389 gravures et 20 ex-libris au burin de l'artiste pour une période de 40 années de création graphique de l'artiste, entre 1912 et 1951, année de la disparition de Joseph Hecht. « Profondément différents dans leur poétique et leur expression artistique, Hecht et Hayter sont liés par le même sentiment de la gravure pure, la même conception manuelle du métier. Tous deux ont exploité à l'extrême la technicité et l'aspect artisanal propres à ce moyen d'expression dans l'élan d'atteindre le plus haut niveau de l'art, » écrit Carla Esposito. Les gravures de Hecht sont des oeuvres isolées, souvent des séries, ou conçues pour des ouvrages. Joseph Hecht a une connaissance attentive de l'anatomie animalière et un don à saisir la valeur expressive et le mystère de la ligne. L'artiste est comme un enfant face à la Nature et son oeuvre est un hymne aux animaux. L'artiste gravera également abondamment son « Paris ».
    Heckel Erich
    "Das Graphische Werk", 3 volumes, Annemarie und Wolf-Dieter Dube, Ernest Rathenau Verlag, New York (anciennement Euphorion, Berlin), 1963, 1968 et 1974.

    Catalogue raisonné - Erich Heckel

    "Das Graphische Werk",
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    En langue allemande, le catalogue raisonné de l’œuvre graphique du peintre Erich Heckel lié au mouvement expressionniste, Das Graphische Werk, a été publié en trois volumes par Ernest Rathenau (anciennement Euphorion à Berlin), New York, en 1963, 1968 et 1974. Cet ouvrage de référence a été établi par Annemarie und Wolf-Dieter Dube. Le volume I est consacré aux bois gravés de l’artiste (447 références) ; il comporte des illustrations en rouge et noir suivies de 447 illustrations en noir et blanc, précédées d'une brève description de chaque pièce. Le deuxième volume est disposé de manière identique mais cette fois-ci avec 374 illustrations. Il est consacré aux gravures à l’eau-forte de l’artiste (196 références) et à ses lithographies (374 références). Le troisième et dernier volume se veut le complément des volumes I et II et ajoute quelques diverses pièces (bois gravés, gravures et lithographies).
    On sait l’importance de Erich Heckel qui sera en 1905 l’un des fondateurs de « Die Brücke » (Le pont), avec Fritz Bleyl et Karl Schmidt-Rottluff, groupe qui sera dissout en 1913. De même, l’artiste qui rencontra Franz Marc en 1912, exposera avec les peintres de « Der Blaue Reiter » (Le cavalier bleu). Il est important de savoir qu’Erich Heckel, avant la peinture se consacrera d’abord aux bois gravé (dès 1903), à la lithographie (1907) et à la gravure (1906), techniques dont il acquiert rapide-ment la maîtrise
    "Werkverzeichnis der Druckgraphik", 3 volumes, Renate Ebner, Andreas Gabelmann, Hirmer Verlag, Munich, 2021.

    Catalogue raisonné - Erich Heckel

    "Werkverzeichnis der Druckgraphik",
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    Après de nombreuses années de préparation, un nouveau catalogue raisonné des estampes d'Erich Heckel (1883-1970) a été publié, en 3 volumes et en langue allemande, par les Editions Hirmer à Munich en 2021. Etabli par Renate Ebner, Andreas Gabelmann, l'œuvre graphique de l'artiste expressionniste allemand comprend au total près de 1100 gravures sur bois, lithographies et eaux-fortes sur une période de travail de 65 ans, de 1903 à 1968. Cette nouvelle édition complète et annotée de manière critique du premier catalogue raisonné d'Anne-Marie et Wolf-Dieter Dube (datant de 1963/74) offre un aperçu fascinant de l'œuvre graphique à plusieurs niveaux de cet artiste majeur grâce à de nombreuses explications sur le contenu, la dénomination et la description des différentes gravures ainsi que des références croisées avec le reste de l'œuvre.
    Avec Ernst Ludwig Kirchner, Fritz Bleyl et Karl Schmidt-Rottluff, Erich Heckel fondera en 1904 le groupe d'artistes « Brücke ». Les œuvres de Heckel sont largement influencées par l'expérience de la nature dans sa forme la plus pure ainsi que par sa vie dans la grande ville de Berlin. Après la fin de « Die Brücke », en 1913, il s'attachera à des scènes de paysages, de ports et de villes dans un style cosmopolite et réaliste, le nu féminin restant un thème récurrent dans son oeuvre. Erich Heckel se rapprochera de James Ensor et rencontrera Max Beckmann. En 1918, il retournera à Berlin et rejoindra des organisations d'artistes socialistes, dont le Novembergruppe. Pendant la guerre et l'après-guerre, il créera de nombreux portraits, autoportraits et paysages incarnant l'isolement spirituel et la mélancolie. Sa production reflète également son long engagement dans les œuvres philosophiques et littéraires modernes, notamment celles de Friedrich Nietzsche et de Fiodor Dostoïevski.
    L'artiste utilise la gravure comme moyen de simplifier et d'aplanir radicalement les compositions. Il a réalisé, nous l'avons vu, plus d'un millier d'estampes au cours de sa longue carrière, dont près des trois quarts entre 1903 et 1923 ; la plupart ont été imprimées par lui-même en petits tirages, bien qu'après 1910, il ait parfois collaboré avec quelques éditeurs berlinois ; certaines de ses premières gravures sur bois ont été réimprimées dans les années 1950.
    Les nazis lui interdirent d'exposer et confisquèrent 729 de ses œuvres dans les collections publiques. L'atelier et son contenu à Berlin furent détruits pendant la Seconde Guerre mondiale.
    Hémery Pascale
    "Oeuvre gravé et lithographié 1988-2005", Roland Plumart, préface Michael Edwards, Ed. Musée de Gravelines, 2006.

    Catalogue raisonné - Pascale Hémery

    "Oeuvre gravé et lithographié 1988-2005",
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    Pascale Hémery, artiste peintre et graveur, est née en 1965 ; elle vit et travaille entre Paris et la Bourgogne. Le catalogue raisonné de l'Oeuvre gravé et lithographié 1988-2005 de Pascale Hémery a été réalisé par Roland Plumart et édité par le Musée de Gravelines à l'occasion d'une double exposition de l'artiste (Maubeuge et Gravelines). L'ouvrage est divisé en quatre parties pour un total de 352 références : bois gravés et linogravures (159 références pour 140 linogravures et 19 bois gravés), gravures (91 références - pointe sèche, eau-forte, aquatinte, sucre),  lithographies (24 références) et illustrations (78 références, essentiellement des linogravures pour des revues, magazines, journaux, etc).
    Les estampes de l'artiste font partie de collections publiques, telles que le musée Carnavalet, la BNF, les musées des Beaux-Arts de Nevers, Belfort, le Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines ainsi que de nombreuses collections privées en France et à l'étranger.
    Bien évidement, l'artiste a réalisé un grand nombre d'estampes, essentiellement des bois gravés, au cours des 12 années qui ont suivi la publication du présent catalogue raisonné. Voici, ci-après, un extrait de la préface de Philippe Garnier au catalogue de l'exposition « Les Cahiers dessinés » de 2015 à Paris (Halle Saint Pierre) : « Pascale Hémery dessine l'envers des grandes villes. Elle donne à voir le côté cour ou le côté terrasse avec de vastes vues plongeantes, comme si elle se tenait au sommet du plus haut immeuble. Elle compose un fragment de ville silencieux avec enchevêtrement de lignes qui laisse pressentir le chaos tout proche. Avec elle, la rêverie garde une grande précision de contour. Au fusain et parfois à la craie, elle parvient à faire vivre et respirer la surface d'un pan d'immeuble, elle fait vibrer le faisceau métallique d'une voie ferrée, elle restitue aux mastodontes urbains une part de douceur et de fragilité. Elle donne à ces dédales de ciment et de pierre la sensibilité d'un corps endormi. »
    Hepworth Barbara
    "The sculpture 1960-69",
    Herbin Auguste
    "L'oeuvre peint", Geneviève Claisse, Ed. du Grand-Pont, Lausanne, La Bibliothèque des Arts, Paris, 1993

    Catalogue raisonné - Auguste Herbin

    "L'oeuvre peint",
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    Le catalogue raisonné de l'oeuvre peint d'Auguste Herbin a été établi par Geneviève Claisse et co-édité en 1993 par les Editions du Grand-Pont (Jean-Pierre Laubscher), Lausanne, et La Bibliothèque des Arts, Paris, 1993. Ouvrage de référence absolue sur l'artiste, l'auteur y répertorie les 1060 peintures réalisées par Herbin sur une période de plus de soixante ans de création - entre 1899 et 1960 -, éclairant pas à pas son parcours ; chaque oeuvre, reproduite, est accompagnée de références muséographiques exhaustives. L'auteur nous fait partager sa connaissance de la biographie, de la démarche technique et de l'éthique de cet artiste exigeant, qui occupe une place éminente dans les étapes les plus marquantes de la révolution plastique du XX° siècle. Cofondateur du cubisme avec Georges Braque et Picasso, pionnier du cubisme synthétique, Auguste Herbin restera aussi et surtout dans l'histoire de l'art, l'inventeur et le maître français de l'abstraction géométrique.
    Hernandez Pijuan Joan
    "L'Oeuvre Gravé", Ed. Cabinet des Estampes du Musée d'Art et d'Histoire, 1979

    Catalogue raisonné - Joan Hernandez Pijuan

    "L'Oeuvre Gravé",
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    Le catalogue de l'oeuvre gravé de Hernadez Pijuan a été établi par Elvira Maluquer, et publié par le Cabinet des Estampes de Genève en 1979, à l'occasion d'une exposition organisée au Musée d'art et d'histoire de Genève par Charles Goerg.
    Le catalogue reproduit, en noir et blanc, 123 estampes (gravures, lithographies, sérigraphies, estampesoffset) réalisées par l'artiste de 1954 à 1978, y compris lorsqu'elles sont liées à un livre. Le texte de Charles Goerg, en introduction du catalogue, retrace le parcours artistique de l'artiste. L'ouvrage contient une biographie, une liste des expositions de l'oeuvre gravé de Hernandez Pijuan. Les descriptions précisent le titre, la date de création, la technique utilisée (eau-forte, aquatinte, manière noire ou technique mixte pour ce qui concerne les gravures), les dimensions et les indications sur le tirage et l'édition pour chacune des 123 estampes reproduites.
    Hiroshi Yoshida
    "The Complete Woodblock Prints", Tadao Ogura, The Mainichi Newspapers, Tokyo, 2019-2021.

    Catalogue raisonné - Yoshida Hiroshi

    "The Complete Woodblock Prints",
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    L'ouvrage présenté ici est le catalogue raisonné actualisé et complet sur l’artiste japonais Yoshida Hiroshi (1876 - 1950), une figure de proue du mouvement Shin Hanga (ou nouvelle estampe). Ce magnifique catalogue, en japonais et en anglais, propose des essais d'un grand intérêt. Les 259 bois gravés de l'artiste décrites sont toutes illustrées par des photos couleur de haute qualité. Bien qu’il existe des dizaines de catalogues sur le mouvement Shin Hanga qui illustrent les faits saillants de la carrière de Yoshida Hiroshi, il s'agit ici de l'ouvrage de référence qui illustre l’ensemble de son œuvre et il s'agit d'un incontournable pour les amateurs de Yoshida Hiroshi. L'artiste a travaillé principalement comme peintre jusqu’à la fin de la quarantaine où il est devenu littéralement fasciné par l’impression de blocs de bois. Après avoir travaillé avec l’imprimerie Watanabe pendant plusieurs années, Yoshida a décidé de financer son propre atelier. Contrairement aux artistes ukiyo-e (« image du monde flottant ») est un mouvement artistique japonais de l'époque d'Edo, 1603-1868) , il a été intimement impliqué dans toutes les parties du processus de gravure. Il a lui-même conçu les blocs-clés, choisi les couleurs pour les impressions et les a supervisé. Dans certains cas, Yoshida Hiroshi a même aidé à sculpter les blocs d’impression ce qui était tout à fait inhabituel, compte tenu, à l'époque, de la division traditionnelle du travail entre le graveur, le sculpteur et l’imprimeur. Ce catalogue a initialement été publié en 1987, re-édité en 1991.
    Hockney David
    "Etchings and lithographs 1961-1986", Marco Livingstone, Ed. Thames & Hudson Et Waddington Grahics, 1988.

    Catalogue raisonné - David Hockney

    "Etchings and lithographs 1961-1986",
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    Bien que le catalogue de David Hockney présenté ici ne soit pas à proprement dit un catalogue raisonné, il nous a semblé utile de vous donner ses références ; il a été publié à l’occasion de l’exposition de l’artiste qui s''est tenue à la Waddington Galerie de Londres d'octobre à novembre 1988.
    Après que l’ouvrage se soit ouvert sur un texte de Marco Livingstone (Pleasures of the senses), il répertorie un total de 98 estampes, gravures et lithographies, toutes classées chronologiquement et reproduites en couleur. 
    Cet ouvrage bien que non exhaustif, donne un aperçu très complet de l’œuvre graphique - gravures et lithographies - de l’artiste, de sa première gravure réalisée en 1961 (« Myself and my Heores ») le représentant lui-même en compagnie de Walt Whitman et Mahatma Gandhi à la gravure intitulée « A picture of two chairs » de 1986.
    On découvrira en fin d'ouvrage la liste des descriptions des estampes reproduites (titre, technique, dimensions de la plaque et du papier et tirage), et ainsi que la liste des éditeurs et une courte bibliographie de l'artiste.
    On trouve maintenant sur le site de la David Hockney Fondation, le catalogue raisonné des estampes de l’artiste de 1954 à 2015 :
    "Hockney posters ", B. Baggott et E. Shanes, Ed. Harmony Books et Pavilion Books L., New York et Londres, 1987